La Terreur

arrêtés ceux qui possèdent ou ont possédé des animaux domestiques de couleur noire ou blanche. Enfin, le Régime utilise la terreur pour réprimer tous les ennemis désignés et opposants au régime en place par le biais de la Police. Le parallèle pouvant être établi avec le régime nazi d'Adolf Hitler est assez intéressant et visible. Premièrement, les deux régimes, utilisent la Terreur pour réprimer les opposants comme tout régime totalitaire ; on peut citer l'exemple de la Gestapo en Allemagne. Deuxièmement

est-il devenu la forme la plus aboutit et extrême du totalitarisme ? Nous verrons dans un premier temps l’idéologie nazie, une idéologie raciste. Puis nous aborderons l’installation du régime totalitaire. Enfin, nous étudierons la répression et la terreur en Allemagne Nazi et la mise en place du système concentrationnaire Nazi. Tout d’abord, le parti nazi accède au pouvoir de manière démocratique grâce au contexte historique. En effet, Hitler prend la tête du parti NSDAP, dans la période d’après

Varennes et ramené à Paris. La Terreur : elle a transformé la République en dictature. Il n’est plus possible de critiquer Robespierre ou ses partisans. En juillet 1794, les députés de la Convention décident d’éliminer Robespierre et de mettre fin à la Terreur car : * La République n’est plus menacés (l’invasion étrangère à été repoussée et la plupart des révoltes intérieures ont été écrasée) * Il y a de grande lassitude de la population envers la Terreur. Le 24 juillet 1794, Robespierre

d’une minorité et ainsi contraire aux idées révolutionnaires. Cependant les Thermidoriens sont des révolutionnaires, alors pourquoi ont-ils un tel rejet de ces idées révolutionnaires et donc de la Constitution de 1793? Pour les Thermidoriens la «Terreur» fut l’une des conséquences des mouvements populaire émanant des idées révolutionnaires que défend notre auteur dans son texte, ligne 5, « L’autre parti veut la république pour ces vingt-quatre derniers million qui ont fondé les bases… ». Théorie

contagion des idées françaises au reste de l'Europe. La guerre éclate. • Le 10 juin 1792, la foule s'empare du château des Tuileries. Le roi est emprisonné : c'est la fin de la monarchie. 2. Les débuts de la République marqués par la violence de la Terreur (1792 - 1794) • La République est proclamée le 21 septembre 1792 après la victoire française de Valmy. • La nouvelle assemblée, la Convention, est composée de bourgeois républicains. Les Girondins sont les plus modérés, ils se méfient des sans-culottes

Biographie de Pierre Choderlos de Laclos (1741- 1803) Vie de Pierre Ambroise Choderlos de Laclos 1) Entre Crébillon fils, Rousseau et Sade 2) La Révolution et la Terreur 3) Ambiguïté de Laclos Vie de Pierre Ambroise Choderlos de Laclos : Pierre Ambroise Choderlos de Laclos naît à Amiens en 1741, dans une famille de la petite noblesse. Il choisit l’armée, et se retrouve affecté dans l’artillerie, car son extraction ne peut lui permettre plus noble carrière. Mais Laclos parvient à

distinguer 1) lecture contre révolutionnaire, 2) lecture libérale, 3) lecture républicaine, 4) lecture marxiste, 5) et une lecture néolibérale. Il s’agit pour tous ces auteurs de réfléchir sur la révolution. « Qui est responsable de la terreur, pourquoi la terreur, comment l’expliquer, doit on avoir une vision unitaire de la révolution ou doit on distinguer 1789 et 1793, quel est l’héritage révolutionnaire ? (…) » Questions fondamentale au 19e et aujourd’hui encore. 1) Lecture contre révolutionnaire :

et de Staline. La propagande de cette affiche fait de Staline un homme proche de son peuple et plus particulièrement des enfants. Cette peinture met donc en scène le "petit père des peuples" sous un jour favorable. 3) Le stalinisme suppose la terreur en effet ce régime frappe en tous premier lieu la résistance antisoviétique afin d’uniformiser et de consolider son état en créant une peur permanente. Ce régime emploie tous les moyens pour y arriver, par une police politique tels que la NKVD (Narodnyï

économique d'après-guerre, ainsi que le refus de voir une révolution écrasée, suscitent de fortes sympathies actives dans les couches populaires d'Europe pour la révolution d'Octobre - les exactions de la « terreur rouge » étant ignorées, niées, minimisées ou justifiées comme une simple réponse à la terreur blanche. Caricature antibolchevique parue en 1919 dans le New York Herald.En France, la révolution russe est lue au prisme de la mémoire toujours très vive de la Grande Révolution de 1789 : les

place du sacré, du religieux. Cette situation va entraîner la création d’un espace politique nouveau, propre au libéralisme politique. Mais, peu à peu, la Révolution va dériver vers un modèle autoritaire qui atteint son paroxysme en 1793 avec la Terreur. Ce bref exposé montre que les enjeux de l’interprétation de la décennie révolutionnaire se situent autour du positionnement vis-à-vis de deux grandes lignes de fractures qui divisent l’historiographie française : la nature du mouvement révolutionnaire