La Tête de maman

avec moi chez ta maman. On t'en donnera... un papa. Ils se mirent en route, le grand tenant le petit par la main, et l'homme souriait de nouveau, car il n'était pas fâché de voir cette Blanchotte, qui était, 10 contait-on, une des plus belles filles du pays ; et il se disait peut-être, au fond de sa pensée, qu'une jeunesse qui avait failli pouvait bien faillir encore. Ils arrivèrent devant une petite maison blanche, très propre. ― C'est là, dit l'enfant, et il cria : ― « Maman ! » Une femme se

Journalier de maternité Stage effectué à la clinique de Année 2010-2011 Partie maman : 1) Présentation de la famille et donnés générales : - Mme A née le (âge 28 ans) - Nationalité : Francaise - Profession : enseignante dans le primaire - Langue parlée : français - Condition de travail : en congé de maternité depuis le 4 octobre 2010 - Condition

crème exprès pour toi, bien qu’on sache qu’elle m’est contraire. Maman te gâte... N’est-ce pas, Thérèse, que maman gâte Laurent ? THÉRÈSE, sans, lever la tête. Oui. MADAME RAQUIN, emportant une pile d’assiettes. Ne les écoutez pas, Laurent. C’est Camille qui m’a révélé que vous préfériez la crème à la vanille, et c’est Thérèse qui a voulu la glacer avec du sucre en poudre. CAMILLE. Tu es une égoïste, maman. MADAME RAQUIN. Comment ! je suis une égoïste...

plusieurs jeunes filles, et au bout de quelques minutes ils tombèrent sous le charme d’une petite fillette qui peignait des tableaux dans sa chambre : elle se nommait Katy. Vers vingt heures, mes géniteurs rentrèrent à la maison et je vis une petite tête inconnue dépasser de la vitre de la voiture. Nous étions le mardi 19 décembre et cela faisait déjà une semaine que Katy faisait partie de la famille. La jeune fille s’intégrait bien, on était très proches et, malgré mon mutisme, on se comprenait d’un

Allaitement artificiel à la demande (quantité raisonnable et délai correct) Gabriel est encore en phase de récupération. Cette nuit il a bu à Il faut que les voies aériennes soient dégagées pour qu’elle puisse bien respirer J’indique à la maman les doses que bébé peut boire à j1, lui explique l’importance de garder à bras et de redresser bébé après biberon (rots, air avalé) Je veille à ce que Madame stimule bien son bébé pour le faire manger régulièrement Je surveille si Gabriel recrache

tenais encore dans mes bras et que j’avais du mal à présent à reconnaître. Et puis tout à coup, quelqu’un m’a agrippé le bras et m’a porté. J’ai fait tomber le bébé. Ses vêtements étaient tâchés de sang, son visage aussi. La balle l’avait touché à la tête. L’homme m’a crié de rouvrir les yeux, de tenir bon, qu’on allait bientôt arriver à l’hôpital. Quand je suis revenu à moi, c’est là que j’ai réalisé l’étendue des dégâts. Avec ce regard que l’on a lorsqu’on se retrouve dans un endroit qu’on ne connaît

attitude nous paraît bien trop enfantin pour son age (le style simple de son ecriture en est bien la preuve). C'est une jeune fille peu autonome, influencée par l'autorité de sa mère (elle repete plusieurs fois « Maman » dans sa lettre, elle fait entierement confience à sa mère « maman m'a dit... »(l. 8)). La phrase finale “Je crois que quand je serais mariée, je ne me servirais plus de ce cordonnier-là” (l. 43-44) semble être sa seule decision depuis le debut de l'extrait. La construction des phrases

C'est en parcourant quelques blogs de pros du marketing, comme ceux de Cyril Chaudoit ou de Damien de Blignières, que j'ai découvert totalement par hasard, mi-février, que la marque Bonne Maman s'apprêtait à lancer des yaourts et desserts en rayon produits laitiers frais. Avec près d'une trentaine de références - un gros lancement produit donc. J'ai été d'autant plus surprise par la stratégie de communication adoptée par leur maison-mère, le groupe Andros : un mois et demi avant la commercialisation

garde. Elle décroise ses jambes, les recroise, attend que le docteur finisse sa conversation téléphonique. Il raccroche. LE DOCTEUR Alors, à nous maintenant. MAELLE Docteur, ça va faire 8 ans que vous me dites cette phrase. Il rit et baisse la tête soudainement. La relève et regarde Maelle tristement. MAELLE Quoi ? J’ai dit quelque chose de mal ? LE DOCTEUR Non, Maelle, excuse-moi, je devrais être habitué pourtant. MAELLE Habitué ? A quoi ? LE DOCTEUR A annoncer de mauvaises nouvelles

moulin. Félix Passe-moi la carabine ! (coup de feu). Ah, je l’ai raté. Rentrons, il est tard. Poil de Carotte Non, maman. Poil de Carotte Je n’ai pas tiré ! Madame Lepic Pour la première fois de ta vie, tu refuses de m’obéir ? Félix Demain ou un autre jour. N’oublie pas de porter la carabine pour le retour, Poil de Carotte. Poil de Carotte Oui, maman. (Poil de Carotte reprend la carabine. Le rideau se ferme ou les acteurs sortent de la scène.) Madame Lepic En voilà