La Tête de maman

compter mais dans sa tête uniquement car il ne parle pas. Il ne veut pas grandir, il veut retourner dans le ventre de sa mère et pour cela, il refuse entre d’autres choses, de parler. Puis à l’âge de 6 ans, il commence à parler, uniquement à sa mère. Un jour, toujours à 6 ans, il annonce à sa mère qu’il a tué Julien : « Maman, dis-je d’un air solennel et grave, Julien est mort ! Il est enterré dans la terre noire. Il n’était pas très intéressant. Je veux un autre nom. Maman me propose Hugo. J’accepte

que ma Louisa est là. C'est une fille merveilleuse, elle m'a été d'une grande aide. Louisa: Oh maman, tu t'es reconstruite toute seule car tu es une femme forte. Je n'y suis pour rien. Marie: Grégoire, êtes-vous marié? Grégoire: Malheureusement non, je n'ai toujours pas trouvé la femme parfaite. Marie: Ma Louisa non plus n'a toujours pas trouvé l'amour, malgré ses innombrables qualités. Louisa: Maman arrête, tu me gènes! Marie: Vous feriez un très beau couple tous les deux. Le biper de Grégoire

êtes arrivées en retard? Alex (nous fixant, Taylor et moi) : Ne vous en faites pas Monsieur ce n'est rien... Nos parents se retournèrent et le regardèrent, il baissât alors les yeux. Ma mère : Les filles, vous devriez rester avec Alex. Moi : Maman je t'en prie, on a déjà des choses à faire là... Puis Bryan est là aussi. Nos mères : Oui, mais de temps en temps… Mon père : Sache que tu es le bienvenu chez nous. Alex (plongeant son regard dans celui de Taylor qui, elle baissa les yeux) : Je

sur un beat Ouais, j'aboie comme un pit' et ta go me suce la bite Dans le 5.9. j'habite, si j'continue Fred de Sky me demandera en feat Tous tes rappeurs j'les baise, y a mon sperme sur leurs fesses Et leur go dans ma caisse et mon son dans leur tête Le 5.9. écoule la drogue et les armes aussi vite que dans le 13 Rapper pour moi, c'est trop facile. Pectoraux durs comme des fossiles Mais le buzz ça casse les couilles, tous les rappeurs et groupies et putain de lèche-culs me fatiguent C'est quoi

mère-enfant, destiné aux femmes enceintes ou aux mères isolées accompagnées d'enfant(s) de moins de 3 ans, qui ont besoin d'un soutien matériel et/ou psychologique. C'était un mardi, nous devions accueillir L..., 5 mois, à 8h à l'espace enfant car sa maman (Mlle S., 18 ans, au passé de violences familiales et personnelles) allait faire une prise de sang, accompagnée d'un éducateur du centre. Or, à 8h30, elles ne s'est toujours pas présentée. Une auxiliaire de puériculture décide de téléphoner à la jeune

Robot J'ai un robot. C'est moi qui l'ai inventé. J'ai mis longtemps, mais j'y suis arrivé. Je ne le montre à personne. Même pas à maman. Il est caché dans la chambre du fond, celle où l'on ne va jamais, celle dont les volets sont toujours fermés. Il est grand, mon robot. Il est très fort aussi, mais pas trop. J'aime bien sa voix. Il sait tout faire, mon robot. Quand j'ai des devoirs, il m'explique. Quand je joue aux Lego, il m'aide. Un jour, on a construit une fusée et un satellite

mieux » je la regardais et je vis qu’elle portait la petite et légère robe blanche que j’adorais car elle la mettait en valeur et surtout laissait deviner son corps, et évidemment le résultat ne se fit pas attendre, ma queue commença à redresser la tête, Martine s’approcha, me saisit et tout doucement remonta de mes couilles vers mon gland, arrivée là, je bandais dur, elle me lâcha, pris chacun de mes tétons entre ses doigts et les tordit un peu, puis les pinça, et alors que ma main partait sous sa

Elle me dit qu’elle n’aime pas ça et son expression du visage me montre qu’elle est réticente à ce soin. Je lui explique alors que la perfusion, une fois en place, sera utile pour diminuer rapidement ses douleurs. Elle me tend son bras et tourne la tête pour ne pas voir le soin. Pendant que je prépare mon matériel pour la perfuser, je tente de lui parler en lui demandant en quelle classe elle est, ce qu’elle fait,… Cependant mes tentatives pour la distraire du soin sont inefficaces puisqu’elle ne

avidement son eau. Frappé de la voir se partager en deux bassins, il s'écrie à son tour, regarde, aperçoit la friponnerie, se fait brusquement apporter une pioche, donne un coup, fait voler deux ou trois éclats de nos planches, et, criant à pleine tête : Un aqueduc ! un aqueduc ! frappe de toutes parts des coups impitoyables, dont chacun portait au milieu de nos coeurs. En un moment les planches, le conduit, le bassin, le saule, tout fut détruit, tout fut labouré, sans qu'il y eût, durant cette expédition

Une cigarette en permanence entre les doigts. Un trou sur sa flanelle près de l’aisselle. Un regard moqueur et en même temps humilié. Des yeux respirant la bonté et de l’ironie, un peu bachkirs ou kazakhs, bien qu’il soit français. Il enlève de ma tête le capuchon de mon imperméable en polyéthylène : « C’est pas la peine ! Il ne pleut pas ! » Comme une bénédiction. Octobre 2007. J’appartiens à une équipe internationale de bénévoles. On est venu à Guichen pour installer les stands pour un salon d’agriculture