La Tête de maman

frères dont 1 (trisomie 21 qui est dans un institut spécialisé), 1 sœur Antécédents : Accouchement : tout c’est bien passé, par voie basse, Nacim est née à 3,310. Antécédents médicaux, chirurgicaux, et sociaux : Affection de la thyroïde (la maman) Familiaux : diabète dans la famille type 2 (un parent) Mode de garde : garder par les parents Etat de santé de Nacim : C’est un bébé qui semble en pleine forme, pas de pathologie décelé pour le moment. Soins : cordon tombé à 9 jours, lavage

souriant la maman de Zoé, 3 ans pour lui annoncer qu'elle organise la fête de Noël dans l'établissement le 18 Décembre et qu'elle l'invite à y participer avec les autre parents. La maman de Zoé lui répond en pointant du doigt : " Je ne veux pas venir à cette fête et Zoé n'y participera pas non plus, je n'ai pas la tête à ça! Anna, déconcertée, palit, pose vivement ses paumes de mains sur le bureau, fronce les sourcils et dit : " Nous souhaitons que tout le monde participe à cette fête! ".La maman de Zoé

frottant mes yeux à l'aide de mes mains. J'étais désormais assise sur mon lit, en ayant les pieds en dehors. Puis, je laissais tomber ma tête sur l'oreiller. Au bout du compte, j'étais en retard et ma mère ne faisait que de crier. _ Maman : Alice, dépêche-toi tu vas être en retard ! La prochaine, fois, tu prends le métro. _ Moi : Tout, sauf le métro. _ Maman : Tu n'as qu'à te lever plus tôt ! La discussion s'acheva sur les dernières mots de ma mère. Après avoir enfilé mon échappe en laine

nom en tête, en plus de ses beaux yeux il avait aussi de jolies lèvres. La prof de français Mme Boudet ma ramenée sur terre en me donnant deux heure de colle car j'écoutais pas, mais je m'en fichais surtout que je sentais le regard chaud de Ludo dans ma nuque s'était une sorte de caresse. L'après-midi a duré un siècle mais dés la sonnerie je suis partie le rejoindre. Il n'y avait personne car par chance il fessait un temps de chiens. Ludo est arriver avec les premières gouttes de pluie. Ma tête contre

NOUS : Bonjour, nous nous voyons donc pour le produit sablés tout chocolat Bonne Maman… DIRECTEUR : Vous avez déjà défini les axes de travail envisagé pour la réalisation de votre dossier ? NOUS : non, pas vraiment, nous sommes plus actuellement dans la recherche d’information. On pense définir les différents axes suite la récolte d’information. DIRECTEUR : Je vais essayer de vous aidé à ma façon, car effectivement tous ce que je peux vous apportés en termes de données sont les données que nous

La tête posée au rebord de la vitre du train, pensif , Oskar regardait les paysages divers qui défilaient, profitant de l'assoupissement d'Eli . Il pensait a ça mère qu'il ne reverrait sans doute plus, il craignait ça réaction , elle appellerait sûrement la police, lancerait des avis de recherches dans tout le pays mais Oskar savais pertinemment que jamais ils ne le retrouveraient. Que ferait-elle ? Une dépression ? Sombrerait dans l'alcool ? Un suicide ? Il n'en avait aucun idée, il se rendait compte

toi, et tu reviens jamais. Les autres s’arrêtent pour regarder le duel qui s’engage. Parmi eux, Issa, 17 ans, grand et baraqué, observe avec hostilité sa sœur. Tempête dans un crâne pour Aya qui baisse la tête. THOMAS Alors je te soule toujours ? Aya a la haine, mais garde la tête baissée et se contente de faire non. THOMAS Tu t’es excusée là ? Parce que j’ai rien entendu… Exaspérée, elle ne le regarde toujours pas. AYA (dans sa barbe) Je m’excuse. THOMAS (en rajoutant) Quoi

la froideur et la dureté du télégramme, bien au contraire, il réagit un peu comme le télégramme : il est froid et reste de marbre. En effet, il se préoccupe plus du jour de la mort de sa mère que du fait qu’elle soit vraiment morte (« aujourd’hui maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas »). Meursault ne semble pas ému, puisqu’il ne pleure pas. Il est d’ailleurs plus embêté par les soucis que le voyage jusqu’à l’asile va lui poser que par la mort de sa mère. Meursault aime beaucoup sa routine

les mêmes erreurs. .x Parce-que je veux être heureuse et sourire à la vie. Je reprends, enfin, ma vie en main Il était une fois deux femmes qui ne s'étaient jamais rencontrées, l'une dont tu ne te souviens pas, l'autre que tu appelles "maman". Deux vies différentes dans l'accomplissement d'une seule, la tienne, l'une fut ta bonne étoile, l'autre ton soleil. La première te donna la vie, la seconde t'apprit comment la vivre. La première créa en toi le besoin d'amour, la seconde

-Oh ! Moi, maman, j'aurais trop peur ! Grand frère Félix et soeur Ernestine lèvent à peine la tête pour répondre. Ils lisent, très intéressés, les coudes sur la table, presque front contre front. -Dieu, que je suis bête ! Dit madame Lepic. Je n'y pensais plus. Poil de Carotte, va fermer les poules ! Elle donne ce petit nom d'amour à son dernier né, parce qu'il a les cheveux roux et la peau tachée. Poil de Carotte, qui joue à rien sous la table, se dresse et dit avec timidité : -Mais, maman, j'ai peur