La Théorie Des Cercles Vicieux

américaine à la fin des années 1920. Les entreprises sont fragilisées et la spéculation bat son plein. Ainsi, en octobre 1929, survient le krach de la célèbre bourse américaine de Wallstreet. Une réaction en chaîne est enclenchée: on entre dans le cercle vicieux de la crise (voir annexe). Les banques, fragilisées, refusent des prêts aux entreprises et aux particuliers qui sont justement en grand besoin d'argent. Les entreprises, jusqu'en Europe, ont de grandes difficultés et certaines font faillite

des années 20 et l’Angleterre a toujours eu des liens économiques forts avec son ancienne colonie). Ainsi, au rapatriement des capitaux américains après le krach boursier, il est normal de voir la France beaucoup moins touchée. Et, par une sorte de cercle vertueux, la France moins touchée, verra affluer les capitaux qui se tournent forcément vers le havre de prospérité. ! Cependant, dès la fin des années 20, des signes d’un déclin économique sont visibles. On peut déjà voir la base d’une crise qui

régulièrement publiées dans une revue intitulée Actes de la recherche en sciences sociales. Cʼest un fait : tous les domaines du monde moderne passionnent Pierre Bourdieu. Il publie aussi bien sur le système éducatif (La Reproduction : éléments d'une théorie du système d'enseignement), l'art (Les Règles de l'art), l'économie (Les Structures sociales de l'économie), les médias (Sur la télévision) que sur la politique (Contre-feux). En tentant de développer une sociologie critique qui met au centre la dialectique

ou de sous évaluation de monnaie nationale. LE DEBAT PROTECTIONNISME - LIBRE ECHANGISME Le protectionnisme conçu par les mercantilistes au XVIème et XVIIème siècles, fait apparaître le commerce international comme un jeu à somme nulle. Avec la théorie classique, le commerce international est un jeu à somme positive. Chaque pays s’enrichit matériellement. Mais le Libre-échange peut conduire à une dynamique incompatible avec la croissance. En période de croissance mondiale, chaque pays peut augmenter

pensées économiques. Les deux grands courants économiques qui s’affrontent sur ce sujet sont les néoclassiques versus les keynésiens. Pour les néoclassiques, le niveau de l’épargne est déterminé par le taux d’intérêt. En effet dans le cadre de cette théorie, l’agent économique cherche à maximiser sont utilité. Cette maximisation le mène à effectuer un choix entre la consommation et l’épargne. Il va donc comparer ce que lui rapporte l’épargne contre ce que lui rapporte la consommation. Autrement dit,

Il parie alors qu’il y a un pouvoir d’achat donc une demande effective. Il reste cependant un risque d'erreur. Le profit est alors résiduel et aléatoire. II- les théories classiques de l’entrepreneur et du profit On va étudier deux courants d’analyses Le profit est le taux de profit multiplié par le capital. la théorie anglaise 1) Smith (1776) C’est le premier économiste a avoir étudier l'entrepreneur et le profit. Il va dire que l’entrepreneur est celui qui prends la peine et le

est en effet un facteur de «grave dépression» (toute hausse soudaine ayant des effets tout aussi néfastes, si l'on en croit la théorie quantitative de la monnaie développée par l'auteur, étant source de tensions inflationnistes). C'est ainsi que la masse monétaire nord-américaine a diminué de 30 % entre 1928 et 1929. Pour l'économiste Irving Fisher (l'inventeur de la théorie quantitative), la crise prend ses racines dans l'économie d'endettement, qui fragilise l'ensemble du système, en empêchant les

Groupe A 2014-2015 LA MOTIVATION Sommaire I - Introduction II – Les principales théories de la motivation A - La théorie des besoins selon Maslow B - La théorie des deux facteurs selon Herzberg III – Facteurs de motivation A – Les facteurs internes de motivation B – Les facteurs externes IV – Les leviers de la motivation A – La rémunération B – La flexibilité du temps de travail C – Le bien-être au travail I –

unique : l’auteur, par une défiance peut-être excessive vis-à-vis de l’esprit de synthèse, n’a pas voulu entreprendre lui-même ce travail. Nous allons résumer d’abord les divers chapitres du livre. Puis nous dirons un mot de la théorie qui nous paraît s’en dégager, théorie dont nous accepterions volontiers, pour notre part, les points essentiels, car nous arrivons, par des chemins assez différents, à une conclusion du même genre. Il y a d’abord une croyance qui s’attache à la sensation. Elle dépend

les jeunes enfants : si tu n’es pas sage, le monstre sous ton lit va venir te manger ! Ici, nous pourrions dire : si tu n’es pas comme tout le monde, tu seras rejeté. Le rejet venant principalement de la peur, nous pouvons dire qu’il y a là un cercle vicieux entre la peur, la différence et le bonheur. Ainsi, être un homme qui se féminise, c’est en quelque sorte être un demi homme, être diminué. Se rabaisser au niveau de la femme en quelque sorte. Et on en revient perpétuellement à l’égalité des sexes