La Tirade De Sganarelle

séduction indéniable. La tirade de Dom Juan de cette scène 2 de l’acte V est ambiguë, à la fois éloge et dénonciation de l’hypocrisie. Nous verrons pour commencer que cette tirade est un exemple de la maîtrise de l’art du discours par Dom Juan (I), qui lui sert à défendre un trait considéré comme un vice : l’hypocrisie (II). I – Dom Juan, maître du langage A – Maîtrise de l’art rhétorique Dans cette longue tirade de la scène 2 de l’acte V, Dom Juan s’adresse à Sganarelle, mais n’attend en réalité

Résumé du livre : Sganarelle fait un discours sur le tabac. Il s’adresse ensuite à Gusman en reformulant ses propos : il est venu avec Done Elvire, qui recherche son mari, Dom Juan. Sganarelle explique à Gusman que que c’est inutile qu’ils soient venus et insinue que Dom Juan est parti vers d’autres conquêtes. Il le décrit comme un personnage infidèle et grand séducteur. Quand Dom Juan s’approche, Sganarelle informe Gusman que cet aveu restera secret. Sganarelle explique à Dom Juan qu’il

D.E.= done Elvire D.J.= Don Juan S.=Sganarelle I) une tirade d'exposition a) l'intrigue -Done Elvire arrive dans la ville -Portrait d'Elvire : -ne se laisse pas faire -volontaire -fait parti de l'aristocratie b) portrait de Don Juan -Libertin de mœurs, séducteur. Bien que S. n'utilise pas le mot libertin clairement. Il le respecte -Aime les plaisirs gratuits -égoïste et narcissique, ne pense pas au mal que ses actes

passage de la seconde scène de l’acte premier. Dans cette tirade Don Juan défend sa philosophie d’esprit et justifie ses actes auprès de Sganarelle. Il s’agira donc d’abord d’observer le discours de Don Juan dont le but est convaincre et se justifier. Et par la suite nous étudierons l’incohérence de la philosophie de Don Juan. * * * C’est dans un premier temps, un discours pour convaincre et se justifier qu’emploie Don Juan dans cette tirade. Il utilisera différents procédés qui ne seront pas

fait preuve de lâcheté car il n’ose pas dire se qui est la vérité. Il finit par lui répondre avec une réponse qui n’a aucun sens. Elvire lui réplique en lui donnant toutes les explications qu’il aurait pu inventer. Le pire est atteint dans la seconde tirade quand il dit je n’ai points de talent de dissimuler. Le contenus de ses excuses de se qui la obliger à partir n’est pas crédible car il prend comme prétexte sa dévotion a dieu alors qu’il est atté. Ce qui est essentiel est qu’il ment sans arrêt. Ici

ACTE III SCENE 2 SCENE II.- DOM JUAN, SGANARELLE, UN PAUVRE […morceau interdit…] SGANARELLE : Enseignez-nous un peu le qui mène à la ville. LE PAUVRE : Vous n’avez qu’à suivre cette route, Messieurs, et détourner à main droite quand vous serez au bout de la forêt ; mais je vous donne avis que vous devez vous tenir sur vos gardes, et que, depuis quelque temps, il y a des voleurs ici autour. DOM JUAN : Je te suis bien obligé, {remercier}, mon ami, et je te rends grâce de tout mon cœur. LE

. Acte 1 Scène 3 : Tirade de Done Elvire Le texte que nous allons étudier est extrait de la pièce « Don Juan » écrite par Molière en 1665. Cette pièce fut écrite par Molière après l’interdiction de la représentation de sa pièce Tartuffe, afin de faire vivre ses comédiens. Molière décrit un libertaire : Don Juan qui ne savait aimer personne et vivait en solitaire avec son valet. Il poste la question de Dieu en même temps que celle de la liberté absolue de l’homme. Ce texte se situe dans l’acte

tous les regards. Dans l'acte I scène 1, la tirade de Sganarelle vise a en faire un personnage exceptionnel, différent des autres hommes. De plus, l'intrigue renforce aussi l'effet d'attente du spectateur puisque Don Juan est défini comme un personnage poursuivant mais aussi un personnage poursuivi et décri comme un personnage plein d'éclat. C'est par son discours que Don Juan se constitue comme un personnage ; Cette tirage est une réponse a Sganarelle qui a fait auparavant son jugement. plan

de lui faire entendre raison : il veut l’emmener voir des pièces de théâtre, et notamment celles de la comedia dell’arte et de ses artistes farinés. Sur le ring de catch, on a ensuite le plaisir d’assister à la confrontation entre Martine et Sganarelle, qui nous jouent une scène de ménage mémorable qui débute le «Médecin malgré lui ». Chacun d’eux fait partie d’un clan : d’un côté les hommes et de l’autre, les femmes. Par la suite, cette joyeuse bande de comédiens jouera d’autres extraits de

qu’il voit : « spectre, fantôme ou diable, je veux voir ce que c’est » Spectre = allégorie du Temps (« changement de figure ») qui s’envole.  Moins rationaliste, plus proche de la superstition qui accrédite les mystères extravagants de l’univers, Sganarelle, lui, croit. Pour lui, cette apparition est la marque de la puissance invisible de Dieu : «  Ah ! Monsieur, rendez vous à tant de preuves, et jetez-vous vite dans le repentir. » Il insiste auprés de DJ pour qu’il évite la tragédie. Le valet joue