La Tirade Des Reproches

et les vieux savent aimer, il montre que si on regarde les choses superficiellement, on pourrait croire que le contraire. En effet, on remarque que Don Ruy Gomez mène un discours mélioratif au sujet des vieux qui « savent », d’après lui, aimer. Il reproche aux jeunes gens de ne pas savoir le faire. Il explique à Dona Sol pourquoi certains savent aimer, et d’autres non, afin de la persuader de l’aimer comme il l’aime. Don Ruy Gomez est jaloux des jeunes, de leur beauté, de leur grâce. Il fait l’éloge

avoue aussi qu'il pense que ce meurtre sera politiquement inutile en raison de la lâcheté des républicains. *caractérisation : une tirade ds laquelle Lorenzo explique à Philippe pourquoi il va tuer Alexandre de Médicis *mouvements : 1- l. 1 à 10 (jusqu'à « parce que tu ne le ferais pas. ») : présente le meurtre comme une nécessité existentielle 2- l. 10 à fin de la tirade : explique en quoi le meurtre constitue aussi une revanche sur le monde *problématiques possibles : En quoi cet extrait érige-t-il

considère comme une victime puis il de sombra dans la folie. Oreste incarne un personnage mal aimer et délaisser de tous. Nous retrouvons aussi ce rôle avec Antichars dans Bérénice autre œuvre théâtral. Dans cette tirade tournant au monologue, nous nous attarderons tout d’abord sur les reproches qu’adresse Oreste aux Dieux, la réponse qu’ils lui donne, et la façon dont Oreste sombre dans la folie tout en relatant une notion qui travers le texte de part en part : la mort Oreste s’adresse au dieux afin

Pyrrhus. Hélas Hermione reproche aussitôt son geste à Oreste et se suicide sur le corps de Pyrrhus. A la fin de la pièce, Andromaque est mariée avec Pyrrhus et l'assassinat se produit au moment du mariage. Oreste exprime son désespoir à cette nouvelle. Ayant perdu sur tous les tableaux, il se considère comme victime accomplie de la fatalité avant de sombrer dans l'hallucination et la folie. Dans cette tirade qui tourne au monologue, nous verrons tout d'abord les reproches qu'adresse Oreste aux

à travers sa tirade. 
      De plus ici une action nous est révélée. Pour cela, Molière s'exprime à l’aide de vers, des alexandrins, parmi lesquels on distinguera 2 types de discours versifiés. D'abord, la stichomythie : l'action passe par le vers, le discours se trouve donc être rapide. Ensuite, la tirade. Ce sont deux formes accordées à l'évolution des sentiments, de l'emportement au calme relatif. Par suite, le mot « action » (v.16) est prononcé par Alceste au début de la tirade : il est valorisé

Séquence VSéance 3L’acte I est-il l’exposition de l’œuvre théâtrale.Support Activités ObjectifsMolière, Dom Juan, Acte IAnalyser le rôle de la première scène Relever les différentes intrigues qui se nouent dans l’acte I Prouver que les scènes 2 et 3 créent un sentiment d’attente chez le lecteur.Tracer le portrait de Dom JuanProuver qu’il y a un mélange des genres. Analyser la scène 2 pour dresser un portrait ambigu de Dom JuanRelever les paradoxes de la pièceDémontrer que l’acte I est l’exposition

Quels sont les enjeux de cette scène d’affrontement entre le fils et sa mère ? J’annonce les mouvements du texte 1er mvt : Dialogue vif entre Agrippine et Néron ( v 1647 à 1656) 2ème mvt : Agrippine s’oppose au couple Néron/ Narcisse 3ème mvt : Tirade d’Agrippine : discours imprécatoire de la mère 1er mouvement : • • Dans ce dialogue vif entre Agrippine et son fils Néron, Néron est sous l’autorité de sa mère . L’exclamation « Dieux » montre qu’il craint sa mère. L’impératif « Arrêtez »

place à la rancœur, la colère, la tristesse. Elles ont laissé place à la crise. Suzanne, la sœur pleine de reproches : « Ce n’est pas bien que tu sois parO, parO si longtemps. » _Acte 1, scène 3, elle lui reproche son départ brusque et sa longue absence. « Je t’oubliai assez vite. »_Acte 1, scène 3 « Parfois tu nous envoyais des leRres ellipOques. » _Acte 1, scène 3, elle lui reproche le peu de leRres qu’ils ont reçus, alors que Louis est écrivain (un comble !) Antoine, agressif, plein de

mort prochaine, ses retrouvailles laisse à penser des tensions à des crises dans le passé. Sous les divers reproches de sa famille il n’a pas pu leur annoncer sa mort inéluctable. Heureux il s’attend à un accueil très agréable convivial mais hélas il se heurte à la jalousie de son frère Antoine. Ensuite il y a un véritable procès du personnage principal, sa sœur Suzanne dans une longue tirade de plusieurs pages multiplie les accusations. Dans un véritable soliloque Elle dresse un réquisitoire terrible

C’est Suzanne qui fait en grande partie son portrait, grâce à ses presque tirades on en apprend plus sur la situation de Louis et son caractère : elle lui fait sans arrêt des reproches « Tu ne va tout de même pas lui serrer la main ? » l’interrogation traduit sa surprise et elle montre aussi son désarroi en disant plusieurs fois « il ne change pas » (3 fois) et « tu ne change pas » et « toujours été comme ca ». Elle lui reproche sa pudeur à l’égare de sa propre famille : « Son propre frère, il ne l’embrasse