La Tirade Des Reproches

Figaro ne parle pas l’anglais. Tout ce qu’il sait dire, c’est une célèbre tirade de God-Dam. Tandis que Figaro est rassuré car il est en position de supériorité, le Comte est aussi rassuré car il pense que Figaro ne sait rien quant à ses intentions. Les apartés font en sorte que Figaro reste en position de complicité avec le spectateur. Dans la deuxième étape, le Comte fait de violents reproches à Figaro, ces reproches sont accentués par des répliques rapides et des reprises. D’un coup le Comte

Dom Juan Acte I, scène 1 La tirade de Sganarelle sur le portrait de son maitre  Molière (1622-1773) Célèbre auteur français de théâtre, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin. Il a vécu durant le XVIIe siècle se moquant des médecins, des bourgeois et des amoureux. Molière reste à ce jour l’un des auteurs les plus joués et les plus étudiés. Il est considéré comme le fondateur de la comédie française, et reste une référence en tant qu'auteur français. Par son talent, Molière obtient l’appui

habile qui élude le vrai débat c)De la défense à l'accusation  Célimène prononce une longue tirade et deux très courtes répliques, la seconde étant interrompue. Son discours cherche à rassurer le jaloux sur son affection et montre une nouvelle fois son habileté à éluder toute véritable explication a) L'expression de l'affection : • Elle emploie elle-même le mot "amour" au début de sa tirade, le mot "sentiments" au v. 1397 , le verbe "aimer" au v. 1402 , et d'autres termes du même champ

faites ce que je dis mais pas ce que je fais " ; sa femme lui reproche de faire des beaux discours et de se comporter comme un mufle. • comme il expose des idées très traditionnelles à sa " copine" un jeune homme se voit abandonné elle définitivement et de façon inattendues. Bien sûr, il est possible de varier ces situations. Il est important que les élèves maîtrisent la distinction et les effets respectifs de la réplique et de la tirade. Enfin, on fera remarquer aux élèves que le dialogue théâtral

pas défait, que la relation entre elle et Perdican n’a aucune chance de se rétablir. En dernier lieu, il sera question dans cette dernière partie de voir la figure antithétique des deux femmes que Perdican nous dépeint à travers trois longues tirades. En premier lieu, Perdican répète la question “Sais-tu ce que c’est que l’amour” non seulement au début du premier paragraphe de cette partie, mais aussi à la fin, comme si lui même cherchait ce qu’est l’amour, après avoir était troublé par

présentée comme « romaine«. Bérénice qui s’était déclarée prête à rester comme concubine, retrouve sa fierté et sort en annonçant sa mort prochaine, seul issue. (6) Titus se compare à Néron et s’égare dans la douleur. (7) Antiochus lui fait du reproche et l’encourage à aller voir la reine. (8) Les corps constitués de Rome arrivent au palais. Titus choisit sans hésiter de les recevoir plutôt que de rejoindre Bérénice. Acte V (1) Le dernier acte s’ouvre sur un Arsace heureux en quête de son

 Entre alors une troupe de comédiens à qui Hamlet demande de jouer le lendemain le meurtre de Gonzague en y insérant une tirade écrite par lui. Dans un monologue, seul, Hamlet espère que la pièce amènera son oncle à avouer son crime. Acte 3 :  Claudius et Polonius assistent, cachés, au monologue To be or not to be de Hamlet puis au dialogue avec Ophélie où il lui reproche son immodestie et lui enjoint de rejoindre un couvent. Claudius projette d'envoyer Hamlet en Angleterre pour réclamer un tribut

proche du mot “mère” renforce encore cette idée. Et pourtant, la famille reste une composante essentielle que Corneille n’oublie pas de mettre en valeur justement pour augmenter la force du dilemme. Le champ lexical de la famille parcourt les tirades des deux frères : que ce soit sous la forme des liens de parenté “mère”répété aux vers 2, 34, 48 ou “ses fils” ou encore “d’un fils” (v. 50) ou sous la forme de la métaphore ”la source de mon sang” (v.36) qui met bien en valeur le lien nourricier

les jeunes gens au-delà des reproches (un fils indigne pour Damis, une fille libertine et hypocrite pour Mariane), leur faible résistance face aux reproches révèle déjà leur faiblesse. Elmire est la seconde épouse d’Orgon, la première étant « défunte ». Le reproche qui lui est adressé est double : « dépensière », elle gaspille l’argent du ménage, dans une famille bourgeoise dont l’économie est la vertu principale et aux v. 31-32, implicitement, on reconnaît un reproche d’immoralité. Enfin Cléante

En effet, c’est un combat contre lui-même et contre son âme que commence Titus. Le dilemme du Héros met en valeur un certain dédoublement du personnage tourmenté entre l'homme amoureux et l'empereur qu’il est. Par ailleurs, l’énonciation même de la tirade montre ce dédoublement. En effet, Titus utilise à la fois la première et la deuxième personne du singulier pour se parler. La deuxième personne du singulier semble représentée la voix de la raison dans la mesure où celle-ci semble être extérieure