La Tirade Des Reproches

Louis contredit.Dans ce monologue, Suzanne reproche à Louis d’être parti mais ne le dit pas explicitement, comme pour ne pas le vexer.- Mouvement 1 : l 1 à 11 : Suzanne fait des reproches à Louis- Mouvement 2 : l 12 à 25 : Suzanne essaye de comprendre ce que Louis a dû ressentir- Mouvement 3 : l 26 à la fin : les lettres elliptiquesM1- Suzanne commence par faire un reproche à lui à travers l’expression négative « ce n’est pas bien ». Elle lui reproche d’être parti, elle dit tout haut ce que tout

aristocrate libertin qui se plait à conquérir des femmes. Celui-ci est accompagné de Sganarelle son fidèle serviteur, attaché aux traditions de l’époque. Le texte étudié raconte une discussion entre ces deux personnages et met en scène le serviteur qui reproche à son maitre sa vie trop libertine. Elle s’inscrit dans le mouvement du classicisme, mouvement qui a comme principe d’instruire en amusant. Elle a été écrite alors que Louis XIV, monarque absolu et roi soleil, essayait de contrôler les aristocrates

déclare-t-elle ainsi sa flemme ? 1 Une déclaration paradoxale a une tirade labyrinthique Il s’agit la d’un inceste tout de même l’aveu est donc monstrueuxè au bout du labyrinthe il y a un monstre. b L’alexandrin au service de l’aveu Pour exprimer la folie Racine va passer par une forme régulière (ex vers 18) ???? 2 La réécriture de l’histoire a Mythologie revisitée Cela permet une héroïsation de la figure masculine. Un reproche inattendu : elle refait l’histoire en remplaçant Thésée par Hippolyte

par une longue tirade qui disqualifie l’argument suggéré par A à travers l’expression dépréciative « ce sont de pures idées ». Il faut comprendre par cette expression : des idées reçues, sans fondement, sans rapport avec la réalité. A partir de là, A, Document réalisé par Mme Anne-Noellia Carrols, professeure agrégée, lycée Cocteau à Miramas qui orientait la conversation dans ses répliques, perd la maîtrise du dialogue au profit de son frère qui accapare la parole dans une tirade dont le but est

la mise en scène des deux sœurs met-elle en valeur le rôle de dominé/dominant qui existe entre la patronne et son employé ? Quels sentiments ressortent alors de ce jeu théâtral ? 1er mouvement : Scène d’exposition confuse : Solange ne joue pas – tirade de Claire La chambre de Madame. Meubles Louis XV. Au fond, une fenêtre ouverte sur la façade de l'immeuble en face. A droite, le lit. A gauche ; une porte et une commode. Des fleurs à profusion. Description précise du lieu. Intérieur bourgeois

(v. 915-916), le suppliant de sauver son fils, et scène 8, elle se laisse miner par des souvenirs hallucinatoires, sa volonté brisée, prononçant un discours envahi par des voix étrangères et butant sur des questions insolubles. Dans la première tirade, l'évocation poétique de la chute de Troie n'est pas seulement pour Racine un moyen de rivaliser avec le genre épique de l'Antiquité, elle sert d'explication à la force de résistance d'Andromaque, contre l'espèce de harcèlement que lui fait subir

Refus marqué par la répétition du verbe ''vouloir'' : ''Je ne le veux plus, tu vois bien que je ne le veux plus''. Elle est égocentrique dans le rappel qu'elle fait de ses origines '' Qui je suis?, qui tu es? '' → Elle se met devant sa fille. Petite tirade sur la stabilité = Elle veut donner l'image d'une femme solide qui sait se contrôler. Tout d'abord sa colère est marqué par l'adv ''Jamais'' et par la ponctuation affective: Les 2 1ere phrases sont maximales=sans verbes ''Et injuste! Et obstiné

honte et un dégout pour sa belle mère. Elle lui montre alors, dans la deuxième tirade, son amour qui la fait souffrir. Ensuite, elle met cet amour criminel sur le compte de la malédiction des Dieux tout en s’assimilant à un monstre. On remarque ensuite le désespoir de Phèdre face à cet amour criminel contre lequel elle ne peut lutter. De quelle manière Phèdre montre son amour à Hyppolite ? Analyse de la deuxième tirade de Phèdre « Tu » ( marque le début de ses aveux. On remarque que les conventions

Le chevalier la trouve très habile pour feindre et tromper les hommes : « vous savez feindre » (L.10).Mirandoline va alors en une longue tirade expliquer son attitude, elle n’a jamais répondu aux avances des deux hommes et même plus elle déteste les hommes ou les femmes qui jouent avec leurs semblables et leurs sentiments « je ne puis voir ces hommes à femmes, tout comme d’ailleurs, je déteste

». Le lecteur peut, par exemple, être émerveillé par l’écriture recherchée et poétique de Racine, dont les tragédies, souvent rédigées en alexandrins, contiennent un vocabulaire riche et regorgent d’images saisissantes. Prenons l’exemple de cette tirade dans laquelle, Hippolyte cherche à se défendre d’accusations portées contre lui par Oenone. Pour cela, il dresse son autoportrait : « … Je ne veux point me peindre avec trop d'avantage; mais si quelque vertu m'est tombée en partage, Seigneur