La Tirade Des Reproches

l’empereur Auguste. Dans cette scène, elle exprime son désir de vengeance. Elle veut que Cinna, celui qu’elle aime tue Auguste. Toutefois, elle est déchirée entre son désir de revanche et la peur que Cinna ne meurt dans la bataille. A la fin de sa tirade, elle tente de rejeter son amour pour Cinna, préférant tuer Auguste, peu importe le prix. Scène 2 : Emilie et Fulvie, raison contre passion. Emilie confie à Fulvie qu’elle souhaite que Cinna tue Auguste. Cependant, Fulvie n’est pas de cet avis

de Camille et Perdican « Il l’embrasse; on entend un grand cri derrière l’autel ». On peut donc considérer qu’il y a ici deux scènes différentes, avec deux registres différents, deux ambiances qui s’opposent. La première est dominée par la longue tirade de Perdican qui permet l’épanchement de son amour pour Camille. La deuxième est au contraire dominée par des répliques courtes qui s’enchaînent et par la multiplication de verbes d’action qui révèlent l’angoisse des personnages. Pendant toute la

statut et compte bien donner une « leçon » à son maître. Dans l'extrait d'Antigone d'Anouilh (texte 2), ce sont deux attitudes morales qui s'affrontent à travers le dialogue des deux sœurs : Ismène, l'aînée, tout en sagesse et sens du compromis, reproche à Antigone son intransigeance funeste. Antigone, plus généralisante dans son discours, condamne à travers sa sœur ceux qui cherchent à « comprendre », c'est-à-dire ceux qui privilégient la réflexion au détriment de l'instinct, du plaisir des sens

Tartuffe (1669). On observe que la dénonciation de l’hypocrisie prend des formes diverses dans chacun de ces extraits. Lorsque Molière écrit Le Misanthrope, il porte sur son siècle un regard un peu plus dur que Boileau ou la Bruyère mais il lui reproche comme eux son hypocrisie. Le Misanthrope est alors l’expression de cette période et un réquisitoire contre l’hypocrisie sociale. « Je veux qu'on soit sincère, et qu'en homme d'honneur, on ne lâche aucun mot qui ne parte du cœur » cet idéal justifie

Caractéristiques de la scène et enjeux de la scène . 1 ) Les caractéristiques . - répliques courtes > stichomythies ( R.42-42 ) . - répliques qui esquivent le duel verbale ( R.39 ) . - attaque / contre attaque ( R.44-45 ) et ( R.48-49 ) . - tirade plus au moins grande . 2 ) Les enjeux dramatiques . Savoir si l'autre sait ou ce que sait l'autre . - apartés ( jouent un rôle de pivot et nous permettent de savoir qu'il y a une double conversation dans la scène . La première apparente qui

logique est attendu. Depuis l'acte 4 on est au courant que Orest va tuer Pyrrhus car Hermione lui demande. Ce qui est étonnant c'est que quand Orrest annonce a Hermione qu'il a fait ce qu'elle demandé c.a.d tuer Pyrrhus, et la elle le rejette et lui reproche de l'avoir tué alors que c'est elle qui lui avait demandé. c.Etais donné que la scène de la mort de Pyrrhus est raconté et non joué oui on peut dire que le dénouement es bienséant. d.Le dénouement est tragique pour plusieurs raison. Tout

la perte de son enfant –, Andromaque ne parvient pas à se résoudre à trahir la mémoire d’Hector et des Troyens. Céphise, voix de la raison d’Andromaque, tente dans cette scène de la raisonner afin de laisser vivre Astyanax. Andromaque, dans cette tirade, explique à sa confidente les

échange de banalités par lesquelles Silvia espère maintenir Dorante à distance, celle-ci s’emporte devant l’entêtement de celui-ci. Cet extrait est donc un dialogue qui se déroule en 4 mouvements : • 0 à 25 . Silvia exaspérée s’emporte dans deux tirades qu’elle assène à Dorante • 26 à 44. On assiste à un nouvel échange de propos d’une apparente banalité à la suite desquels Dorante annonce son départ. • 45 à 59. Dorante tente de se justifier auprès de Silvia. • 60 à la fin. Dorante

Antiochus lui fait ses adieux mais finit par lui avouer les vraies raisons de son départ. Plus surprise qu'offensée dans sa gloire et déçue dans son amitié, elle reçoit froidement cet aveu, et le laisse partir. La confidente de Bérénice, Phénice, lui reproche de ne pas avoir gardé en réserve cet amoureux fidèle, au cas où Rome ferait obstacle à son mariage avec Titus, car le peuple romain entretient une vieille haine contre la royauté, et le sénat est hostile à toute union avec une reine étrangère. Émue

termine par un reproche qui reprend le même terme : « tu n’es js prête assez vite ». Une sonnerie vient mettre un terme à la scène. Les didascalies utilisent de façon étrange le mot « actrice », et les montre serrées l’une contre l’autre, émues, comme des acteurs après avoir joué une pièce. Les actrices portaient un costume, petite robe noire de bonne pr Solange, Claire, elle, dégrafe sa robe comme un costume après la représentation. Allusion aussi au théâtre avec l’emploi du terme tirade L 212. Mais