La Tordue

subtil que le roulis caresse Saura vous retrouver, ô féconde paresse ! Infinis bercements du loisir embaumé ! Cheveux bleus, pavillon de ténèbres tendues, Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond ; Sur les bords duvetés de vos mèches tordues Je m'enivre ardemment des senteurs confondues De l'huile de coco, du musc et du goudron. Longtemps ! Toujours ! Ma main dans ta crinière lourde Sèmera le rubis, la perle et le saphir, Afin qu'à mon désir tu ne sois jamais sourde ! N'es-tu

manière. Ensuite , j'aime bien les jeux de mots car c'est drôle et ça fait réfléchir. Entre la première lecture et la cinquième le sens de cette poésie aura changé.On commencera à le comprendre et il nous paraîtra beaucoup plus censé et moins tordu. Une poésie avec des jeux de mots est beaucoup plus complexe qu'il n'y parait. De plus , certains poètes utilisent des jeux de langages pour dénoncer. Par exemple dans le poème de Luc Bérimont ( les points sur les i ) , il veut faire passer un

du village fut prévenu. C'était un vieux prêtre naïf. Il accourut en surplis comme pour administrer un mourant et il prononça, en étendant les mains, les formules d'exorcisme, pendant que quatre hommes maintenaient sur un lit la femme écumante et tordue.    Mais l'esprit ne fut point chassé.    Et la Noël arriva sans que le temps eût changé.    La veille au matin, le prêtre vint me trouver :    « J'ai envie, dit-il, de faire assister à l'office de cette nuit cette malheureuse. Peut-être Dieu fera-t-il

prétexte que c'est démocratique. Il suffirait de "BOUSCULER PAR AMOUR". Oui, je te sais capable d'accepter le changement, d'accepter de mettre un coup de pied dans la fourmilière du voisin et dans la tienne. On se complique la vie avec des chemins tordus et torturés qui rassurent. On se protège avec des intermédiaires partout. C'est tellement plus facile de refiler le bébé qui, du coup, n'est celui de personne. On nous bassine avec "le lien social". C'est le grand truc. Et on compte s'en sortir

foudroyés, trouvant enfin une consolation dans la mort. La bouche de la jeune femme alla heurter, sur le cou de son mari, la cicatrice qu’avaient laissée les dents de Camille. Les cadavres restèrent toute la nuit sur le carreau de la salle à manger, tordus, vautrés, éclairés de lueurs jaunâtres par les clartés de la lampe que l’abat-jour jetait sur eux. Et, pendant près de douze heures, jusqu’au lendemain vers midi, Mme Raquin, roide et muette, les contempla à ses pieds, ne pouvant se rassasier les

sonreir : sourire // llorar : pleurer pisar/pisando : en dessous detener : arrêter juzgar : juger torturar : torturer asesinar : assassiner estar torcido : être tordu disparar : tirer enamorar(se) : faire (tomber amoureux) Expressions, grammaire Tampoco / Tambien = Aussi. No veo nada = Nada veo. /// No conozco a nadie = A nadie conozco. No dar golpe = Se tourner les pouces Un ave

la peau avait seulement pris une teinte jaunâtre et boueuse. La tête, maigre, osseuse, l »germent tuméfiée, grimaçais ; elle se penchait un peu, les cheveux collés aux tempes, les paupières levées, montrant le globe blafard des yeux ; les lèvres tordues, tirées vers un des coins de la bouche, avaient un ricanement atroce ; un bout de la langue noirâtre dans la blancheur des dents. Cette tête, comme tannée et étirée, en gardant une apparence humaine, était restée plus effrayante de douleur et d’épouvante

ancienne friche industrelle, et est donc à 16m en dessous du niveau de la ville. Le bâtiment est composé d’une série de volume interconnectés, certains avec une forme orthogonale recouverts de pierre calcaire du côté ville, et d’autres courbés et tordus, couverts d’une peau métallique de titane du côté du fleuve. L’utilisation du titane pour ce bâtiment est fait pour jouer avec la lumière méditerranéenne et les reflets des courbes de la rivière. Ces volumes sont combinés avec des murs rideau de verre

personnages qui se tiennent la main. Celui de gauche est Mickey Mouse et celui de droite le clown Ronald Mac Donald et tous deux encadrent une fillette nue. Cet fillette, Kim PHUC, qui court les bras grand ouverts sur la photographie d’origine, le visage tordu de douleur en raison de ses brûlures, venait de se débarrasser de ses vêtements en feu et fuit son village dévasté par les bombes américaines déversant le napalm. Ces deux personnages symbolisent également l’intervention des Etats-Unis dans cette guerre

Tout d’abord les personnages souffrent physiquement : le mendiant de Victor Hugo« grelotte de froid » , celui de Picasso est « aveugle », quant au personnage de Maupassant, dans une perspective réaliste, insiste sur son infirmité avec « une jambe tordue » et « un pied bot » puis surl’épuisement qu’en résulte car il est « las dee ne plus traîner ». Les trois personnages ont faim ; le premier document représente un vieil homme entrant de mendier pour survivre, Maupassant lui insiste surle fait que