La Tordue

a m p r é p u b l i c a i n . Quelques clefs de lecture du tableau : Picasso réalise Guernica suite au bombardement, peint en noir et blanc. Les forts contrastes de lumière accentue la violence du tableau où les corps démembrés, les visages tordus par la peur ou la douleur, et l'esthétique cubiste travaillent en ce sens. Picasso se sert aussi de symboles empruntés à la mythologie espagnole: le cheval blessé placé au centre de la composition, représente le peuple; la liberté est mourante

irrégulières, le carrelage noir et blanc, et des arbres tordus, représentants d’églises, et la présence, presque systématique, de mort. * Ses personnages sont souvent des gens solitaires ou excentriques, timides ou encore en retrait de la société actuelle, et de couleurs pâle. * Il utilise souvent des ombres pour rendre le contenu inquiétant. * Ses œuvres contiennent beaucoup de rayures noires et blanches ou des spirales tordues. Mais de nombreuses choses reviennent souvent

doigt pointé semblent accuser l'inhumanité de la guerre. Un corps renversé, criblé de balles et d'un blanc cadavérique, apparaît aussi, les jambes grotesquement dressées vers le ciel attirant l’œil. Au centre du panneau, la main de ce pauvre soldat, tordue et crispée, souligne la souffrance des combattants. On retrouve, avec cette main sombre se détachant sur un objet blanc, la technique du contraste entre noir et blanc pour faire ressortir un élément. La partie supérieure, étant illuminée, attire le

grains de beauté, le romantique du club. Ils marchent les trois sans se douter de ce qui va arriver. John avec sa boussole leur dit :``On s’est perdu ``.Ils arrivent à une cabane en bois où ils dînent. Un homme, Philippe, très grand barbu, aux yeux tordus, les mains remplies de sang leur dit :``Avez-vous faim ?Je viens de préparer un gigot d’agneau``. Sam répond``Non merci``.Mais Nico, affamé déclare : ``Je veux bien un morceau ``. Le grand homme s’exclame :``Viens avec moi ! Gaillard!``Ses amis lui

se donnent tant de mal pour survivre, qui se souviennent peut-être - certains d’entre eux, ceux qui peuvent encore penser- du temps où ils se sentaient bien dans leur corps. Dans le couloir, devant moi, marche une très vielle femme, courbée, tordue. A tout petits pas, et l’on devine que chacun de ces pas est une souffrance et une victoire à la fois. Une jambe, elle cherche son équilibre, une seconde d’arrêt, et puis l’autre jambe qui suit tant bien que mal, rejoindre la première. Un pas

après que Paul Guillaume, un jeune et ambitieux négociant, lui ait présenté Constantin Brancusi. Il découvre l'art nègre et cambodgien au Musée de l'Homme. Ses statues sont reconnaissables à leurs yeux en amande, la bouche en cul-de-poule, les nez tordus, et les cous alongés. Une série fut présentée au Salon d'Automne de 1912, mais il abandonne cette voie brutalement à cause de la poussière. Il fait le portrait des habitués de Montparnasse, comme Soutine qui avait un " gosier en pente ", Diego

mal compris. On a cru que je voulais dire par là que nos rapports avec les autres étaient toujours empoisonnés, que c'étaient toujours des rapports infernaux. Or, c'est autre chose que je veux dire. Je veux dire que si les rapports avec autrui sont tordus, viciés, alors l'autre ne peut-être que l'enfer. Pourquoi ? Parce que les autres sont au fond ce qu'il y a de plus important en nous-mêmes pour notre propre connaissance de nous-mêmes. Quand nous pensons sur nous, quand nous essayons de nous connaître

sont les objets ? Une lance (dans le cheval), une épée fendue, une lampe à huile, une ampoule électrique, une fleur, une table, une fenêtre, le carrelage, une fenêtre. -Quelle pose adopte les personnages ? Des poses expressives, tordues de douleurs, des cris, des postures dramatiques. -Comment Picasso déforme t-il les personnages et animaux ? Disproportion des mains, effacement de la distinction entre main droite et gauche, déplacement et réorientation

tours de la cathédrale Notre-Dame qui émergent des fumées du dernier plan. Une foule d'émeutiers franchit une barricade. Au premier plan, associés aux matériaux–- pavés et poutres – que forment cette barricade, les corps de soldats morts apparaissent tordus et comme désarticulés. L'un gît nu. Un ouvrier ou un paysan blessé, foulard noué sur la tête, émerge des décombres, le corps et le regard tendus vers une femme du peuple, coiffée d'un bonnet phrygien dont s'échappent des boucles. Celle-ci est représentée

spectateur en lui-même.La scène prend de l’amplitude, de la profondeur et du concret grâce au cheval au milieu en position transversale et aux armes perdues et brisées sur la pente au premier plan, auxquelles répondent en contre-jour les branches tordues de l’arbre et les lances.Aussi, plus de cinquante personnes s’agitent y compris les porteurs invisibles des lances, ainsi qu’une vingtaine de destriers, en comptant ceux qui appartiennent aux cavaliers dont on ne voit que la tête ou le casque. ***********