La Tragique Histoire du docteur Faust

Grèce où nous sommes nés, et Jacqueline de Romilly dans Pourquoi la Grèce ? prétendent que les hommes grecs présentaient des problèmes il y a 2000 ans qui sont encore d’actualité, parlaient comme l’on parle aujourd’hui. Ernest Renan, spécialiste en Histoire religieuse (1823-1892) constate qu’avec les Grecs commencent notre patrimoine intellectuel occidental : littérature,… Renan a écrit entre autres Prière sur l’Acropole dans Revue des deux mondes en 1876 ou Souvenirs d’enfance et de jeunesse. Renan

courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. DON JUAN AUX ENFERS 14 Les Fleurs du Mal CHATIMENT DE L'ORGUEIL En ces temps merveilleux où la Théologie Fleurit avec le plus de sève et d'énergie, On raconte qu'un jour un docteur des plus grands Après avoir forcé les curs indifférents, Les avoir remués dans leurs profondeurs noires; Après avoir franchi vers les célestes gloires Des chemins singuliers à lui−même inconnus, Où les purs Esprits seuls peut−être étaient venus, Comme

Gronte et ses valets. Matamore senfuit, Clindor touche Adraste mais doit cder (sc.11). nouveau, il ne reste que Pridamant et Alcandre sur scne. Le pre croit son fils mort mais Alcandre le rassure (sc.12). ACTE IV Lacte IV souvre sur le monologue tragique dIsabelle Adraste est mort, Clindor est bless et il est condamn mort. Isabelle jure de ne pas lui survivre (sc.1). Elle est rejointe par Lyse qui aprs stre moque delle finit par la rassurer Isabelle et Clindor pourront senfuir le soir mme avec Lyse

il constitue un dépassement de la condition humaine par l'homme dans le sacrifice de celle-ci. Le Surhomme est l'homme fort et libre, le Créateur, l'homme de la volonté de puissance et de l'affirmation, l'homme qui accepte le caractère terrible et tragique de l'existence, celui qui déborde d'une surabondance de vie grâce à laquelle la souffrance, la destruction et la mort ne sont plus rien pour lui mais font partie du processus de la vie ellemême. Ainsi le Surhomme aboutit à redéfinir le bien et le

surtout en un sujet faux, et dont il semble que l'on soit la dupe? Mais sans citer les personnes graves ou les esprits forts qui trouvent du faible dans un ris excessif comme dans les pleurs, et qui se les défendent également, qu'attend-on d'une scène tragique? qu'elle fasse rire? Et d'ailleurs la vérité n'y règne-t-elle pas aussi vivement par ses images que dans le comique? l'âme ne va-t-elle pas jusqu'au vrai dans l'un et l'autre genre avant que de s'émouvoir? est-elle même si aisée à contenter? ne lui

un sujet faux, et dont il semble que l’on soit la dupe ? Mais sans citer les personnes graves ou les esprits forts qui trouvent du faible dans un ris excessif comme dans les pleurs, et qui se les défendent également, qu’attend-on d’une scène tragique ? qu’elle fasse rire ? Et d’ailleurs la vérité n’y règne-t-elle pas aussi vivement par ses images que dans le comique ? l’âme ne va-t-elle pas jusqu’au vrai dans l’un et l’autre genre avant que de s’émouvoir ? estelle même si aisée à contenter

surtout en un sujet faux, et dont il semble que l’on soit la dupe ? Mais sans citer les personnes graves ou les esprits forts qui trouvent du faible dans un ris excessif comme dans les pleurs, et qui se les défendent également, qu’attend-on d’une scène tragique ? qu’elle fasse rire ? Et d’ailleurs la vérité n’y règne-t-elle pas aussi vivement par ses images que dans le comique ? l’âme ne va-t-elle pas jusqu’au vrai dans l’un et l’autre genre avant que de s’émouvoir ? est-elle même si aisée à contenter

Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. – 32 – XVI. – Châtiment de l’orgueil En ces temps merveilleux où la Théologie Fleurit avec le plus de sève et d’énergie, On raconte qu’un jour un docteur des plus grands, – Après avoir forcé les cœurs indifférents ; Les avoir remués dans leurs profondeurs noires ; Après avoir franchi vers les célestes gloires Des chemins singuliers à lui-même inconnus, Où les purs Esprits seuls peut-être étaient venus

coupait le flot noir, Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. XVI. – Châtiment de l’orgueil En ces temps merveilleux où la Théologie Fleurit avec le plus de sève et d’énergie, On raconte qu’un jour un docteur des plus grands, – Après avoir forcé les cœurs indifférents ; Les avoir remués dans leurs profondeurs noires ; Après avoir franchi vers les célestes gloires Des chemins singuliers à lui-même inconnus, Où les purs Esprits seuls peut-être étaient venus

noir, Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. – 32 – XVI. – Châtiment de l’orgueil En ces temps merveilleux où la Théologie Fleurit avec le plus de sève et d’énergie, On raconte qu’un jour un docteur des plus grands, – Après avoir forcé les cœurs indifférents ; Les avoir remués dans leurs profondeurs noires ; Après avoir franchi vers les célestes gloires Des chemins singuliers à lui-même inconnus, Où les purs Esprits seuls peut-être étaient venus