La Tragédie Est Reposante

d’expliquer et de faire une comparaison d’une tragédie a un drame -il entre la scene et explique que : C'est propre, la tragédie. C'est reposant, c'est sûr…. Dans la tragedie on est tranquille Et puis, surtout, c’est reposant, la tragedie, parce qu’on sait qu’il n’y a plus d’espoir, le sale espoir… -il explique que dans le drame il y a de l’espoir, et que ca devient epouvantable de mourir p54 lorsque le chœur explique les deux mots, c’est clair qu'il préfère la tragédie parce qu’il dit: « il est propre» ,

Jean Anouilh écrit dans Antigone que la tragédie est reposante parce qu’on sait « qu’il n’y a plus d’espoir, le sale espoir ; qu’on est pris, qu’on est enfin pris comme un rat, avec tout le ciel sur son dos ». Introduction : Jean Anouilh développe une vision plutôt mauvaise de l'humain. Les mythes antiques contraint les dramaturges à faire périr Antigone et Jocaste, à salir les mains d’Oreste du sang d’Egisthe et de Clytemnestre, à crever les yeux d’Œdipe. A moins de transgresser radicalement

3 definitions de la tragédie  Giraudoux : C'est cela que c'est, la Tragédie, avec ses incestes, ses parricides: de la pureté, c'est-à-dire en somme de l'innocence. - Cocteau : Regarde, spectateur, remontée à bloc, de telle sorte que le ressort se déroule avec lenteur tout le long d'une vie humaine, une des plus parfaites machine construites par les dieux infernaux pour l'anéantissement mathématique d'un mortel. - Anouilh : Et puis surtout c'est reposant la tragédie, parce qu'on sait qu'il

I - Les composantes de la tragédie " Et voilà " rappelle la fatalité. Anouilh a l’intention de choquer le spectateur ou le lecteur car il va utiliser un langage familier voire grossier. Il utilise une notion littéraire esthétique " ressort est bandé " " ça roule " " bien huilé " " coup de pouce ", métaphore filée de la mécanique. On donne un petit coup de pouce. Il y a comme une attente mais la tragédie commencera comme prévue. Le déclic est quelque chose de banal, fugace, insignifiant. "

Lecture méthodique I - Les composantes de la tragédie " Et voilà " rappelle la fatalité. Anouilh a l’intention de choquer le spectateur ou le lecteur car il va utiliser un langage familier voire grossier. Il utilise une notion littéraire esthétique " ressort est bandé " " ça roule " " bien huilé " " coup de pouce ", métaphore filée de la mécanique. On donne un petit coup de pouce. Il y a comme une attente mais la tragédie commencera comme prévue. Le déclic est quelque chose de banal, fugace

Ces quatre écrits de Jean Giraudoux, Jean Anouilh, George Steiner et Beaumarchais sont des essais présentant clairement la tragédie. Ces écrits appartiennent tous au XIX siècle sauf celui de Beaumarchais datant du XVII siècle. On y retrouvent les principales caractéristiques du registre Tout d’abord tragédie possède des thèmes privilégiés car on observe le champ lexicale de la haine et du crime : « haine pure ; mort ; trahison ; Crime ; Parricides,» par ailleurs, on apprend, que le registre

intervient dans la tragédie de deux façons :- Pour commenter l’action et marquer la progression- Pour résonner une personnalité et la faire revenir sur sa décisionLe chef du chœur s’appelle le coryphée. Le chœur peut intervenir de manière parlée, chantée ou récitation.Ici Anouilh parle de l’intermédiaire du chœur et expose la conception de la tragédie qui est très différente de celle du drame. Lecture du texteAnnonce des axesLecture méthodiqueI - Les composantes de la tragédie" Et voilà " rappelle

Qu’est-ce que le Théâtre tragique ? « La tragédie est l'imitation d'une action grave et complète, ayant une certaine étendue, présentée dans un langage rendu agréable et de telle sorte que chacune des parties qui la composent subsiste séparément, se développant avec des personnages qui agissent, et non au moyen d'une narration, et opérant par la pitié et la terreur la purgation des passions de la même nature. » Aristote, La poétique chap.VI Selon les Grecs, l’art imite le réel. Il existe deux

toute signification. Tragique et liberté Tragédie est souvent associée à fatalité. Anouilh fait dire au chœur d'Antigone : « maintenant le ressort est bandé. Cela n'a plus qu'à se dérouler tout seul (…) on ne donne qu'un tout petit coup pour que ça démarre ». Il ajoute : « c'est reposant la tragédie ». On pourrait, en effet, penser que la tragédie, en tant qu'elle est inévitable apporte de l'apaisement. Sauf que celui-ci supprimerait la tragédie puisque la certitude de l'inévitable lui apporterait

Corneille ou Racine. Racine fut un des grands auteurs de théâtre à son époque, il se concentre essentiellement sur les tragédies et fait un énorme succès avec sa pièce Andromaque. Apres son Age de gloire avec plusieurs pièce a sucée il se retire de se milieux et devient historien du roi, puis revient pour une dernière pièce, Phèdre. Sa dernière œuvre fut Phèdre, une tragédie en cinq actes et en alexandrin crée en 1677. Cette pièce qui a traversé des siècles et des siècles évoque essentiellement