La Transgression

l’expression de (COLEREDIGE, 1817), reprise plus tard par comme « alternative concevable au monde réel » chez (SCHAEFFER, 1999) Maintenant, il nous est loisible d’observer notre mythe en ces deux points focaux : l’interdit de la totalité et la transgression de cet interdit. L’interdit de totalité La Bible fait partie de la littérature universelle en ce qu’elle se situe dans la nuit des temps comme attestation du passage du chaos vers l’ordre. Le mythe de la Genèse qui en est une

ces règles, ne serait-ce que pour accéder à ce pouvoir. II) Le choix A. Le progrès Apparaît alors ici le problème du choix. Le choix entre le désir de faire progresser l’humanité, et celui de ne pas avancer par peur, par crainte de la transgression. Faire progresser l’humanité dans sa propre connaissance, pour remédier à la misère humaine ou encore pour n’avoir de cesse d’évoluer peut apparaître fort utile. France Quéré montre que de tout temps, l’Homme n’a eu de cesse de progresser, de

le spectateur car elle est sous le signe de la transgression. Sur le plan théâtral, puisqu’elle rompt avec certains codes du théâtre, le spectateur n’est pas sûr qu’il s’agisse de théâtre ds le théâtre. C’est une scène de transgression également par sa violence et parce qu’elle montre une tentative de meurtre. La transgression est aussi sociale, puisqu’on voit une bonne jouer une bourgeoise et on joue la préparation de son assassinat. La transgression est aussi ds l’ambiguïté et ds les désirs refoulés

quotidienne et la sécurité immédiate. Il convient à ce niveau de faire le départ entre les conduites de repli lié au rejet social d’une part et les attitudes de retrait d’autre part qui sont plus affinées et plus volontaires. Il n’y a pas de transgression volontaire des normes sociales juridiques mais insuffisance et absence de conformité sociale. C’est ainsi que l’on qualifie ces attitudes de hors normes ou de sous culture anomique et marginale dont la prise en charge institutionnelle s’effectue

Faut-Il Toujours Obeir A La Loi? FAUT-IL TOUJOURS OBEIR A LA LOI? Toute transgression de la loi entraîne systématiquement la réprobation de la plupart des citoyens, l'action de la police qui arrête les coupables et de la justice qui les juge et les sanctionne. Quelles que soit la société, toutes supposent un ordre dont le cadre est posé par les lois et dont la permanence est assurée par une force qui contraint chacun au respect de ces lois. Dans cette perspective la loi implique nécessairement

oppositions  dessinés  par  les  normes,  une  contradiction  plus  radicale  entre  des  données  de  l'expérience   humaine  et  une  demande  de  justification  que  la  seule  transgression  de  ces  normes  ne  parviendrait  pas  à   décevoir,  que  la  seule  fidélité  à  ces  normes  ne  parvient  pas  à  satisfaire."   Nous  sommes  donc  en  mesure

2013 Dans la société actuelle, il est rare de trouver des œuvres qui parlent encore du religieux, des interdits, et des transgressions tout en nous amenant à faire des réflexions approfondi face à nos gestes suite à la prise en conscience de ces œuvres. Pourtant, c’est ce que l’auteur Kieslowski a réussi à faire grâce à ses dix petits films Décalogue portants sur la transgression des dix commandements. Grâce à ses films, il nous démontre la vraie facette des gens et non celle que le clergé souhaite

la seconde plutôt de la déviance subie que la société instaure, il s’agit bien du même devoir qui implique un minimum de cohérence entre les parties ! On aura reconnu la distinction d’Edwin Lemert que l’on peut faire entre déviance primaire (transgression de la norme) et déviance secondaire (étiquetage) Intro : « Le crime est normal » selon Durkheim : la citation du célèbre sociologue fait le pont entre les deux dimensions du sujet : toute société connaît la déviance et il devient possible de s’interroger

qui autrement seraient morts naturellement. Cela pose donc les assises d’un débat entre le maintient ou la cessation à la vie. Dans les lignes qui suivent, il sera question dans un premier temps de Hume et l’éthique du sentiment et de la non- transgression de notre devoir envers autrui ou nous-mêmes supportant la légalisation de l’euthanasie. Dans un deuxième temps, le principe d’universalisation, la liberté, l’autonomie, la dignité et l’homme comme fin donnera un regard opposé à celui de Hume

normes reconnues par l’ensemble des groupes. La déviance et la réaction des autres est la deuxième grande partie du premier chapitre. Elle commence par une définition de la déviance au sens des sociologues. Pour un sociologue la déviance est la transgression d’une norme qui a été au préalable acceptée d’un commun accord par chaque membre. Une personne déviante va chercher une personnalité ou un mode de vie chez d’autre personne qui lui correspond pour créer un nouveau groupe : catégorie homogène (toutes