La Tyrannie De Caligula

catégorie d'individus ( nobles , financiers , magistrats) Ici Jarry reprend la figure du tyran traditionel existante au théâtre avant Jarry . (ex : Britannicus de Racine avec le personnage de Néron Macbeth de Shakespeare Ruy Blas de Victor Hugo Caligula de Albert Camus) C'est l'anarchie , le tyran concentre tous les pouvoirs ( judiciaire , legislatif et executif) UBU ROI = NIHILISME ANARCHISTE ( ce qui montre un coté moderne ) →Il y avait eu plusieurs attentats anarchistes dans les années

contre modèle de vie Le personnage est l’idée qui prend vie, qui va s’incarner sous la forme d’un être doté d’une personnalité, d’une existence. Le personnage de Picrochole (Rabelais) c’est la folie de conquête, l’expansionniste. Où encore Caligula, c’est le pouvoir devenu fou qui se transforme en monstruosité. Cyrano de Bergerac est un modèle de vie, il est admirable. Le personnage est plus frappant pour les esprits. 3) Elle suscite, par le style, l’art des mots, une grande gamme d’émotions

écrits grecs avec son « De republica »=> présentation du princeps (le 1er parmi ses pairs) choisit parmi les best citoyens en fonction de sa sagesse, il a pour fonction de mettre la Rep en mvt, il assure l’unité publique, défendre l’état contre la tyrannie et employer son autorité morale pour le bon fonctionnement de la Rep. Le pouvoir politique n’a pas qu’obligation technique : il est naturel de faire fonctionner la Rep en étant magistrat =>dc aussi obligation morale. La légitimité ne repose plus

journal à la libération. Cette année-là il publie l'Etranger et le Mythe de Sisyphe chez Gallimard. Ces deux livres enflamment les jeunes lecteurs et valent à Albert Camus d'accéder, dès cette année-là, à la notoriété.  En 1945, c'est la création de Caligula, qui révélera Gérard Philippe. Deux ans après, il publie La Peste qui connaît un immense succès. C'est cette année-là qu'il quitte le journal Combat.  En 1951, publication de l'Homme Révolté qui vaut à Camus à la fois les foudres des surréalistes

CALIGULA, SA FAMILLE, SA JEUNESSE Caligula, de son vrai nom Caius César (ou Gaius Cæsar) naquit le 31 août de l'an 12 ap. J.-C, sans doute à Antium. Il était le troisième fils de Germanicus, neveu et fils adoptif du futur empereur Tibère, et d'Agrippine l'Ancienne, petite-fille de l'empereur Auguste. Détail qui n'est pas sans importance, le petit Caius, descendant direct d'Auguste, se trouvait également être, par sa grand-mère Antonia, l'arrière-petit-fils du vaincu d'Actium, le lunatique Antoine

C O R R I G É Attention ! Les indications en couleurs ne sont qu’une aide à la lecture et ne doivent pas figurer dans votre rédaction. Néron, Don Salluste, Lucrèce Borgia, Caligula, Ubu 1… Le théâtre offre une galerie de monstres, de traîtres, de personnages diaboliques qui incarnent la noirceur des hommes et du monde et l’on se presse de venir frémir aux pièges insidieux de ces êtres du mal. Dès l’Antiquité, et plus encore au e XVII siècle, la querelle sur la moralité du théâtre pose le problème

mais qu'il faut approfondir pour les rendre claires à l’esprit. Albert Camus, Le Mythe de Sisyphe Selon sa propre classification, ces œuvres appartiennent au « cycle de l'absurde » — cycle qu'il complétera par les pièces de théâtre Le Malentendu et Caligula (1944). Camus vint soigner sa tuberculose dans le village du Chambon-sur-Lignon en 1942-1943 et put y observer la résistance non-violente à l'holocauste mise en œuvre par la population. Il y écrivit Le Malentendu, y trouva des éléments d'inspiration

révolte. a. Les causes principales de la guerre. Rome est vue comme une « tyrannie étouffante », une « richesse dans l’esclavage » alors que le « mode de vie de [leurs] ancêtres » est vu comme une liberté, une « pauvreté sans maître » (l. 22-23). Contrairement aux Romains, Bouddica, représentative de l’esprit et de la pensée barbares, affirme que la liberté est dans la permanence de l’état de « barbarie » et que la tyrannie est significative de la soumission romaine. Les paroles qui changent des autres

Tous ceux qui ont porté les armes contre moi sont dignes de mort. Octave et les compagnons de ses forfaits confirmèrent cette loi. Sous Tibère, avoir loué Brutus fut un crime digne de mort. Caligula condamna à mort ceux qui étaient assez sacrilèges pour se déshabiller devant l'image de l'empereur. Quand la tyrannie eut inventé les crimes de lèse-majesté, qui étaient ou des actions indifférentes ou des actions héroïques, qui eût osé penser qu'elles pouvaient mériter une peine plus douce que la mort,

craindre ». Analyse empruntée à Gilles Guilleron : Britannicus (L’oeuvre au clair 1993). Agrippine y traduit la transformation psychologique que vit son fils et rend visible, à travers l'évocation de son besoin de domination, son évolution vers la tyrannie. On peut le commenter à partir des remarques suivantes : Ø Le parallélisme des deux hémistiches et l'antithèse qu'ainsi il renforce entre les deux infinitifs aimer et craindre accentuent l'opposition éloquente entre l'idée d'un pouvoir