La Tyrannie Du Corps

L'égalité devient ainsi l'ennemi de la liberté. C) La tyrannie de la majorité Dans les sociétés démocratiques basées sur l'égalité des citoyens, c'est la majorité qui prend les décisions communes car toutes les opinions se valent. Un individu peut alors laisser l'opinion majoritaire déterminer ses propres comportements car il ne peut plus se référer à un être supérieur (le roi ou le seigneur) pour guider ses choix. Il s'exerce alors une tyrannie de la majorité qui impose ses idées et ses façons de

s’affaiblit et dépérit », la maladie physique reste vague. En revanche l’auteur explique clairement la double maladie d’Ellénore : sa maladie physique et sa maladie morale. Celle-ci est particulièrement exprimé à la ligne 8 « l’âme froissée par le corps ». Ellénore apparaît dans cet extrait comme victime de sa propre passion. Malgré son mal, sa « tendresse » pour Adolphe la maintient en vie : l’origine de sa maladie est ainsi son seul remède. Cependant la maladie d’Ellénore entraîne chez Adolphe

également de ce qu’il nomme par la « tyrannie de la majorité » qui au cœur des rouages démocratiques ne reste pas sans effets pervers. Cette tyrannie se manifeste par le fait que la majorité a toujours raison sur la minorité est donc lui impose ses idées et façons de vivre. L’auteur raconte que : « Lorsqu’un homme ou un parti souffre d’une injustice, aux États-Unis, à qui voulez-vous qu’il s’adresse ? A l’opinion publique ? C’est elle qui forme la majorité. Au corps législatif ? Il représente la majorité

l’espace, l’univers me comprend et m’engloutit comme un point; par la pensée, je le comprends.» Si l’univers peut écraser l’homme, l’homme est plus noble que ce qui le tue, car il sait qu’il meurt, c'est la conscience qui est sa grandeur. L'homme est un corps, c'est un animal, mais l'homme est un esprit, et cela le rapproche du divin. « l'homme passe l'homme » dit-il dans la liasse des Contrariétés, et en effet, il y a l'homme dans sa misère, cet animal contradictoire, cloaque d'incertitude et d'erreur

Séance 7 : LL3 DDFC article 3 à 7 de la DDFCContexte : Ce texte partage les idées des Lumières qui est un courant de pensées du 18e siècle qui veut éclairer les humains par la raison et lutter contre l’obscurantisme. Il est écrit par Olympe de Gouges née en 1748 sous le nom de Marie Gouze et morte en 1793 dû à son soutient pour la monarchie parlementaire. C’est une écrivaine engagée, elle combat pour l’égalité homme-femme. La Déclaration des Droits des Femmes et de la Citoyenne

toujours de manière identique et selon les mêmes termes » = voyants —} gardiens ---} 2 aspects des philosophes : désirent et voient « ils sont amoureux de l’essence toute entière » [485b] + [485c] : sincérité # mensonge + délaissent les plaisirs du corps (modérés)+ [486d] : nécessité de mémoire - [487d] : âge des philosophes : la plupart s’y attardent trop longtemps - [488b] : métaphore des navires (pour expliquer l’« inutilité des sages ») - [491c] : /!\ corruptions : beauté, richesse, forme physique

obstacles: limitation de vitesse sur la route, respect de la propriété du voisin, obligation de payer ses impôts, etc. Autant de lois qui semblent entraver ce que l'opinion commune appelle « la liberté ». De même, l'Histoire offre de nombreux exemples de tyrannies et totalitarismes qui ont confisqué la liberté politique de leurs citoyens. Pourtant, la liberté politique peut-elle se concevoir sans l'existence d'un Etat pour la protéger ? L'institution étatique n'aurait-elle pas pour rôle de la défendre plutôt

sensibles, ils ont pour but unique la sauvegarde la collectivité, ils sont les bergers bienveillants et avisés du troupeau et doivent être sélectionnés dès l’enfance. Des épreuves physiques permettront de découvrir ceux qui sont capables de dominer leur corps. On leur apprendra également à ordonner leur affectivité par un bon usage de la musique qui devra être purifiée. Ces gardiens devront restaurer dans leur communauté les conditions de la cité patriarcale c.à.d. organiser la cité à l’image de la famille

comme Hancock, Washington souhaite que les Canadiens se rangent de leur côté, mais celui-ci utilise une tactique différente. Il envoie un corps armé en Nouvelle-France pour protéger des Anglais, mais en même temps il appréhende une redevance du même genre de la part de Canadiens en cas d’attaque: « Le grand Congrès américain a fait entrer dans votre province un corps de troupes sous les ordres du général Shuyler non pour piller, mais pour protéger, pour mettre en action les sentiments des libéraux […] »(Lignes

péjoratif. Faiblesse physique → « nos débiles corps » Faiblesse intellectuelle → « nos langages insuffisants », « nos opinions insensées » Faiblesse physique « nos débiles corps » Faiblesse institutionnelle « nos lois imparfaites » reprise anaphorique de « entre tous » pour insister ( 6 fois ) Faiblesse de caractère « vanité » L.24 c) dénonciation des comportements Champ lexical de la violence « haïr », « égorger », « haine », « persécution », « tyrannie » Attaque de la religion à travers l'utilisation