La Vanité De L Argent Et Du Pouvoir

lorsqu’il est dans l’obligation de leur demander de ‘argent « il éprouva néanmoins une trépidation involontaire : il palpitait, il tressaillait » « il avait honte d’avoir écrit » page 99. Son esprit sagace (= perspicace, avisée et clairvoyant) p19 Il est ambitieux et déterminé mais bien qu’il ai des valeurs il est prêt a tout pour y réussir. A son arriver a paris il est déterminer a faire des études de droit afin de réussir sa vie et pouvoir faire sortir sa famille de la misère mais par la suite

occupation convenable. » Ces nobles sont donc frivoles. Euphrosine est « vaine minaudière et coquette. » Son existence dans les salons est superficielle et sa principale occupation est la séduction. Iphicrate en est de même, il consacre son temps et son argent à la conquête de jeunes beautés. Cette existence tel un parasitisme est critiquée. Cléanthis en dresse un portrait : « Il ne vous fera pas de révérences penchées, vous ne lui trouverez point de contenance ridicule, d’airs évaporés : ce n’est point

pour le simple fait qu‟il est dépendamment variable. Il peut varier selon les humeurs, ces forces internes qui ont la capacité de tout changer ou modifier, en caractère appréciable ou non appréciable. De même, les forces externes ont eux aussi ce pouvoir de changer ou modifier le caractère de la personne entend que être influençant son paraitre. Le soleil, la famine, pouvant augmenter la tension chez l‟homme, peuvent pousser celui-ci à répondre à un inconnu de façon méprisable à une question posée

Esprit des lieux => abstraits, contextuel. Commencé à critiquer ces structures ( masse de population sans pouvoir, haute bourgeoisie achète des charges et se trouve bloquée, ils n'ont aucun pouvoir politique. Les Philosophes des lumières veulent faire changer l'Homme ( Voltaire: société régule l'Homme différent de Rousseau ). Ils vont étudier les mécanismes. => Venir à bout de l'abus de pouvoir et des problèmes qui pèsent sur la société. Pour que l'Homme soit heureux, il faut une société juste et

ainsi sa cupidité. Voltaire l’affuble d’un nom si bizarre et stupide pour montrer son formalisme et sa classe sociale (voir aussi le baron). Baron, baronne : Les Thunder-ten-tronck sont aussi à l’origine de l’exclusion de Candide. Le baron incarne la vanité car il se prend pour un roi alors qu’il dirige un petit domaine. Voltaire le souligne en leur donnant un nom stupide. La seule chose qu’on sait sur la baronne est qu’elle est très imposante. Le Fils : Le fils des Thunder-ten-tronck est très prétentieux

rejoindre. Les épisodes s'enchainent avec rapidité, et servent de prétexte à une critique politique, religieuse et sociale. Qu'il s'agisse du fanatisme ou de la cupidité des pretres, des abus de la noblesse, de la bassesse des courtisans, de la vanité des despotes, de la venalité des ministres et des juges, Voltaire a toujours son coup de griffe à donner.   PERSONNAGES Candide : Il s'agit de l'héros du roman, qui est entrainé dans une suite d'aventures mauvaises par les hasards de sa déstinée

inappliquées ont une imagination toujours errante. Faute d'aliment solide, leur curiosité se tourne en ardeur vers les objets vains et dangereux. Celles qui ont de l'esprit s'érigent souvent en précieuses, et lisent tous les livres qui peuvent nourrir leur vanité; elles se passionnent pour des romans, pour des comédies, pour des récits d'aventures chimériques, où l'amour profane est mêlé. Elles se rendent l'esprit visionnaire, en s'accoutumant au langage magnifique des héros de romans: elles se gâtent même

1ere révolution vers la société - 1ere forme de propriété et d’institution sociale - Utilisation d’objets - Union des différentes familles - Naissance du concept de nation, de société - Amour de soi se transforme en amour propre (vanité, orgueil) - Paraître au lieu d’être - Baisse de la pitié - Pas encore d’organisation politique ou d’accumulation d’argent - Apparition métallurgie et agriculture - 2e révolution - Accumulation de capitaux ($) - Division

ainsi à la porte du temple ? Assurément, il ne s’agit pas de n’importe qui ! Cet impétrant passait-il par hasard à proximité ? Aurait-il vu de la lumière et aurait toqué pour qu’on lui ouvre ? Non ! En effet, il a déjà été pressenti comme digne de pouvoir prétendre à recevoir la lumière ; il a déjà été proposé par son Parrain et rencontré par trois Frères de la loge qui ont rapporté le fruit de leurs enquêtes aux autres Frères. C’est ainsi qu’il ne se présente pas tout seul à la porte du Temple. Il

 Nous pouvons voir qu’il cherche à la séduire en justifiant,  avec une parodie de vocabulaire moraliste, ses débauches. « Clitandre : Comment voulez­vous qu'on fasse ? On est  dans le monde, on s'y ennuie, on voit des femmes, qui, de leur  côté, ne s'y amusent guère : on est jeune; la vanité se joint au  désœuvrement. Si avoir une femme, n'est pas toujours un plaisir,  du moins c'est toujours une sorte d'occupation. L'amour, ou ce  qu'on appelle ainsi, étant malheureusement pour les femmes, ce  qui   leur   plaît   le   plus,   nous