La Vérité nue

La fable est écrite en vers, et aussi y intègre des rimes. Cela aide à captiver l’intention du lecteur pour le maintenir concentré sur le récit et ne pas le lasser. II) … mais aussi une méthode de nous faire penser. Disant « Une morale nue apporte de l'ennui », la Fontaine souligne le fait qu’il faut divertir une personne pour capter son intention et se faire comprendre, car en effet, elle nous fait méditer, en introduisant une morale à l’apologue. On dit que la fable n’est pas faite

passion et la | |1e quatrain : l’amour est comparé à la mer et l’amour est amer. |sincérité d’un sentiment amoureux qui s’affiche en fin de poème. | |2ème quatrain : pour aimer, il faut le vouloir = les élus. |Artifice, illusion et vérité. | |1e tercet : paradoxe de l’amour en lien avec la référence | | |mythologique : Vénus.

Babeth n’est pas d’humeur. Emilie s’en va. Douala interroge Mélanie. Douala a besoin qu’elle confirme certaines déclarations. Elle a affirmé que Martial s’est moqué d’elle, il l’a utilisée pour arnaquer Roland et Mirta. Elle a vu des photos d’elle nue sur son blog. Elle est sortie de chez elle et elle est allée à l’hôtel. Douala lui demande de raconter comment elle l’a tué. Elle était devant l’entrée de l’hôtel, la porte était ouverte. Elle s’est dirigée dans sa chambre et elle a vu qu’il dormait

d'aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J'écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l'orage Sur la pluie épaisse et fade J'écris ton nom Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J'écris ton nom Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J'écris ton nom Sur la lampe qui s'allume Sur la lampe qui s'éteint Sur mes raisons réunies J'écris ton nom Sur le fruit coupé

n’ont point à s’alarmer ; L’accent désespéré sans doute ici domine, Mais je n’ai pas tiré ces sons de ma poitrine Pour le plaisir de blasphémer. Comment ? la Liberté déchaîne ses colères ; Partout, contre l’effort des erreurs séculaires ; La Vérité combat pour s’ouvrir un chemin ; Et je ne prendrais pas parti de ce grand drame ? Quoi ! ce cœur qui bat là, pour être un cœur de femme, En est-il moins un cœur humain ? Est-ce ma faute à moi si dans ces jours de fièvre D’ardentes questions se

rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme. Nature, berce-le chaudement : il a froid.

François Clouet est un artiste peintre née à Tours vers 1516. Au décès de son père, il recueille l’héritage de « peintre et valet de chambre du roi ». Il a été peintre officiel de François 1er puis d’Henri II. Toutes ses œuvres témoignent d’un souci de vérité encore plus marqué par la souplesse et l’acuité du trait. Féru de sincérité, interprète loyal des caractères originaux, François Clouet dévoile les âmes en même temps qu’il étudie et analyse les corps, visages, mains et chevelures. Il est caractérisé

l’un des trois sujets suivants au choix : Commentaire Vous ferez le commentaire du texte de Zola (document 3). Dissertation : « Nous mentons tous plus ou moins » écrit Zola dans le texte annexe. Selon vous, le roman montre-t-il le réel avec vérité, ou est-il nécessairement un mensonge ? Vous traiterez ce sujet de manière organisée, en vous appuyant sur les textes du corpus, les livres étudiés en classe, et vos lectures personnelles. Ecriture d’invention : Poursuivez le texte de Flaubert :

rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme. Nature, berce-le chaudement : il a froid

récit imagé illustrant une morale, est pratiqué par de nombreux auteurs soucieux de convaincre leurs lecteurs en recourant à cette forme littéraire plaisante et efficace. La Fontaine y voit par exemple le moyen d’instruire sans lasser : « Une morale nue apporte de l‘ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui », de même que Charles Perrault, qui prétend illustrer une morale à l’aide de ses contes, des « bagatelles » certes, mais qui selon lui « renferment une morale utile ». C’est donc surtout