La Vie Des Poilu

La Première Guerre mondiale | Groupe 2 Semestre 2 | Marie-Laure VERRIER | | Bibliographie : Ouvrages spécialisés : * La première Guerre mondiale, Fleurus, voir l’histoire, Jean-Pierre Verney * 1914-1918, La Vie privée des Hommes « Au temps de la grande guerre… », édition Hachette * C’était la guerre des tranchées, Tardi Ces ouvrages m’ont permis d’approfondir mes connaissances sur la Première Guerre mondiale. Et donc de faire en sorte que mon développement ne reste pas simplement

Gance tourne le film  « J 'accuse » en 1919,s'appuyant sur le titre du célébre article d'Emile Zola pour la défense de Dreyfus, Gance dénonce la guerre dans son film, en choisissant de retracer la vie et la mort d'un ancien poilu devenu pacifiste. Gance en fera une seconde version, sonore cette fois-ci, en 1938, qui anticipe la Seconde guerre mondiale. La scène la plus marquante du film « j'accuse » est la scène qui cloture le film, en effet le héros ,Jean Diaz, devient peu à peu fou et s'échappe

Bibliographie « Récit de vie» / CDI Titre Auteur G. Malo Editeur Niveau 1, Correspondances authentiques Lettres à sa fille Paroles de poilus L'enfant d'Hiroshima Paroles du jour j Mon papa en guerre : lettres de poilus Lettres d'un écrivain à une adolescente Lettres d'une adolescente à un écrivain 100 lettres d'adolescents Jane Calamity Jean-Pierre Guéno Isoko Hatano Jean-Pierre Guéno Jean-Pierre Guéno Jose Feron Romano Jose Feron Romano Collectif Rivages Librio Hachette / Livre de poche jeunesse

soldats. Composition : On ne trouve au sein des trois panneaux du triptyque aucune ligne qui ne puisse permettre de retrouver la position du point de fuite, aucune ligne qui n’établisse une stabilité. Tout n’est que désordre, débris de chair et de vie. La prédelle en revanche est « murée » de planches qui, elles, établissent à nouveau le calme et la stabilité par leurs lignes régulières. Des soldats sont allongés endormis ou morts. La stabilité mise en place dans la prédelle renvoie à une grande

plusieurs lignes de front où les soldats s'enterrent, à expliquer, schéma des tranchées possibles – les violences physiques : éclats d'obus, mitrailles, gaz asphyxiants (gaz moutarde), percées forcément meurtrières, corps à corps, ...Conditions de vie des poilus déplorables : froid, boue, bruit des canonnades, rats et poux, ravitaillement – les violences psychologiques : contraintes de la censure sur la correspondance, la propagande et le bourrage de crâne, peur de la mort, traumatismes divers (ex:

Le front Guerre de position 1915-1917 Grandes violences des combats Conditions de vie dans les tranchées. Les civils Les civils sont pris pour cible 3. Pourquoi parle-t-on d’une guerre totale ? L’économie de guerre Mobilisation de la main d’œuvre Industrie tournée vers l’armement Politique d’union sacrée Mobilisation de toute la société (arrière+ front) Rôle des femmes Conditions de vie (pénurie..) Mobilisation des esprits Propagande 4. Quelles sont les conséquences

L’expérience combattante est définit comme étant l’ensemble de situations et de pratiques de guerre auxquelles les combattants sont confrontés. Le sujet s’étend sur la période de la Première Guerre Mondiale donc de 1914 à 1918. A quelles conditions de vie et de combat les soldats sont-ils exposés pendant la Première Guerre mondiale ? Comment ont-ils tenu ? Ces questions sont essentielles pour comprendre. Dans un premier temps nous verrons la violence subie par les combattants durant cette guerre, dans

« Y laisser ma peau... » Mémoires de Poilus-Lettres du front. Le Nancéien Léon Guth est né dans une famille qui avait fui l'Alsace-Lorraine annexée.Il était un excellent élève de l'Ecole normale supérieure de Saint-Cloud. Il obtient son certificat en 1913 et sera mobilisé dès le début de la guerre au 26 ème régiment d'infanterie. Sergent, Léon Guth sera tué dans la Meuse le 11 avril 1916. Il aura entretenu une importante correspondance avec son père pendant toute la durée de la guerre. Le

recherché dans la dictature, une réponse à leur problème. La réalisation de cette œuvre concorde aussi avec la population qui commence doucement à oublier les terribles images, ainsi que tous ces massacres et souffrances de cette période noire de leur vie. Mais dans son tableau, Otto Dix veut rappeler toute cette violence, cette sauvagerie, que toute la population a pu subir ou placer en spectateur, pendant cet affreux conflit. C’était une façon à lui de se débarrasser de ce qu’il a vécu, du traumatisme

des conditions très dures d'où leur surnom de "poilus", tandis que les populations civiles mettent tout leur c'ur à soutenir cette guerre par un dur labeur, et un courage admirable. Le deuxième aspect est la mobilisation des esprits pour conserver la motivation des soldats et des populations dans une guerre interminable. Le "bourrage de crâne" est fréquemment utilisé par les gouvernements pour cacher une certaine réalité, notamment celle de la vie des soldats au front. De même l'Etat n'hésite pas