La Vie Devant Soi Incipit

Satires, « Les embarras de Paris » (1660) Lecture analytique La satire et le registre satirique servent à dénoncer les travers sociaux en s’en moquant. Eléments pour l’intro + révision des 4 étapes. Pbmatique : De quelle façon les inconvénients de la vie parisienne apparaissent-ils dans ce texte ? I. Une ville placée sous le signe de l’agitation * champ lexical du bruit => vacarme assourdissant * énumération de personnages => foule * champ lexical de la foule => omniprésente, gênante * anaphore

voisins faisaient... fin] (p.247-248-249) • je et les autres, l'intégration apparente. • Je et « les figures de rêves ». Bilan : |Informations relevées |1er de couverture |4ème de couverture |Incipit |Excipit | |1-Cadre spatio-temporel | | | | | |2-Personnages présents |

récit, les thèmes dominants sont posé : les femmes, l’argent, l’ambition. Nous montrerons d’abord les aspects traditionnels d’un incipit conforme à la tradition naturaliste. Nous montrerons ensuite l’originalité du passage. Le roman s’ouvre en pleine action, qui est plutôt une réaction, une caissière rend la monnaie. Nous sommes ainsi plongés dans une scène de la vie quotidienne très ordinaire. Nous pouvons deviner ce qui vient de se passer et ce qui va arriver. Le héros va tout simplement

| | | |INCIPIT | |EXCIPIT | |Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être

l’autobus à la porte de Clignancourt et quelquefois devant la mairie du XVIIIe arrondissement. C’était toujours le samedi ou le di- manche après-midi. En hiver, sur le trottoir de l’avenue, le long de la caserne Clignancourt, dans le fl ot des passants, se tenait, avec son ap- pareil à trépied, le gros photographe au nez grumeleux et aux lunettes rondes qui proposait une « photo souvenir ». L’été, il se postait sur les planches de Deauville, devant le bar du Soleil. Il y trouvait des clients. Mais

donc travail sur le lexique. ( Identification des caractéristiques de la description : verbes utilisés, temps employés, champs lexicaux, expansions du nom, focalisation. ( Identification des fonctions des descriptions : incipit du père Goriot : fonction documentaire ; incipit de René : impression d’un tableau : fonction esthétique ; La Bruyère : Giton : fonction explicative/argumentative ; description de la mort du « Voreux », Germinal : fonction symbolique. ( Récapitulatif : lecture du manuel

progressivement, avec le déplacement du personnage. On retrouve des indices de lieu par des noms propres géographiques : « Marchiennes-Montsou » et des termes géographiques « talus, colline ». Les indications de lieu se font par rapport au personnage « devant lui, à gauche ». On se fait petit à petit l'idée d'un itinéraire « point de départ, point d'arrivée ». Egalement indices de temps sont liés à cet itinéraire « Vers deux heures », « depuis une heure  on peut donc en déduire soucis de réalisme.

PROSEMINAR COMMENTAIRES 2020 Cécilia Roumi Französisches Seminar Explication de texte n°1: Jacques le fatalisteINTRODUCTION[Accroche] Dans Jacques le fataliste et son maître , publié en 1796, Diderot propose une géniale anticipation du roman moderne, rompant avec la tradition qui avait prévalu jusqu’alors. [Caractérisation de l’extrait] Le caractère original de l’œuvre

Incipit L’enfance de Sarah n’était guère amusante, elle était rousse de naissance, d’une chevelure rousse flamboyante qu’elle avait hérité de son père dont elle se cachait. De nature timide, vivre avec cet éternel projecteur sur elle qui attirait tous les regards indiscrets ne lui était pas confortable pour ne pas dire embarrassant. Oui, elle avait honte de ces cheveux du diable comme certaines langues mal-pendues disaient, comme si seuls ses cheveux étaient les signes de la tentation du mal

Virginia Woolf et Arthur Schnitzler on tous écrient des œuvres incluant des monologues intérieurs. Schnitzler dans son œuvre Mademoiselle Else, nous propose le monologue intérieur d’une jeune fille de 19ans. « Bon, réfléchir… réfléchir… Une vie humaine est en jeu. La vie de Papa. Il ne se suicidera pas, il se laissera plutôt jeter en prison. » A travers le monologue intérieur, Schnitzler nous plonge dans les pensées de Melle Else, dans ce qu’elle ressent, on y découvre une jeune femme de 19ans en quelques