La Vie en rose

Il est minuit passé. Alors que madame Lefevre dort, Rose n'y arrive pas, et elle ne sait pas quoi faire, se disant que si elle n'allait pas chercher Pierrot, il mourrait certainement. Elle hésita très longtemps, se posant pleins de questions : Si elle y allait et qu'elle se perdrait, que lui arriverait-il ? Si demain matin en se levant, madame Lefevre apperçevait Pierrot, que dirait-elle ? Mais elle se sentait tellement coupable et était tellement triste, qu'elle se décida donc à retourner à la marnière

littérature, entre autres par l'adaptation des légendes orales bretonnes ou matière de Bretagne. Elle est la première femme à avoir écrit des poèmes en français. Œuvres : 1. Lai du Chèvrefeuille 2. Lai des deux Amants Le roman de la Rose : (de Jean Renart) Le Roman de la Rose aussi appelé Guillaume de Dole, pour éviter toute confusion avec les ouvrages de Guillaume de Lorriset Jean de Meung, est un long poème composé de 5 656 octosyllabes en langue d'oïl, écrit vers 1230. Le seul manuscrit existant n'est

Oscar et la dame Rose De Éric-Emmanuel Schmitt Nom : _________________________________ Groupe : __________ AIDE-MÉMOIRE Date où a été écrite la lettre * Lettre 1 Page 9 _______________________________ * Lettre 2 Page 23 _______________________________ * Lettre 3 Page 40 _______________________________ * Lettre 4 Page 56 _______________________________ * Lettre 5 Page 69 _______________________________ * Lettre 6 Page 74 _______________________________

Mignonne allons voir si la rose… 1. La structure : a)La longueur des vers : Le poème a des vers d’une longueur de 8 syllabes. Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avait éclose Sa robe de pourpre au Soleil, N'a point perdu cette vêprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au votre pareil. Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place Las ! las ses beautés laissé choir ! Ô vraiment marâtre Nature, Puisqu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques

de savoir si nous avons un Maître et ce qu'il fera de moi, le cas échéant III Considère avec indulgence les hommes qui s'enivrent. Dis-toi que tu as d'autres défauts. Si tu veux connaître la paix, la sérénité, penche-toi sur les déshérités de la vie, sur les humbles qui gémissent dans l'infortune, et tu te trouveras heureux. IV Fais en sorte que ton prochain n'ait pas à souffrir de ta sagesse. Domine-toi toujours. Ne t'abandonne jamais à la colère. Si tu veux t'acheminer vers la paix définitive

moi on est dans la même classe, on a fait le dessin de la Blanchotte comme on la voyait. et je met en cadeau mon texte : La Blanchotte     C’était une jolie jeune fille, pleine de charme, qui s’élançait dans la vie de toute son innocence. Elle avait alors vingt ans. Elle s’appelait Rose. Elle avait de long cheveux noirs qui tombaient impeccablement sur ses frêles épaules. Elle portait toujours de petites boucles d’oreilles bleu pâle, comme ses yeux. Tous les hommes la convoitaient. Un jour qu’elle

DU TEXTE ( BROUILLON) Composition : extrait de roman naturaliste . mort du personnage principal et excipait du roman : fin d'un monde , d'une époque texte narratif ( 3 personnages qui fuient : valorisation de l'horreur et de la solitude de Nana) Rose = témoin de l'horreur" mais part : Nana finit absolument seule Mais paragraphe principal = texte descriptif. Portrait , tableau d'un morte . Aspect pictural Narrateur omniscient, focalisation zéro : Nana vue par Zola . Description ordonnée : impression

cheveux, qui volètent maintenant sur tes épaules, seront tombés nunc et qui color est puniceae flore prior rosae Génitif sg abl sg génitif sg Et que ton teint qui maintenant est plus frais que la fleur de rose rouge pourpre mutatus Ligurinum in faciem uerterit hispidam,   génitif sg Transformé se sera changé en une face hérissée de Ligurinien dices, Tu diras, Légende : - sujet au nominatif - accusatif - datif

comme un cancer. Quand nous apprenons cela, c’est un choc. Nous nous rendons compte que la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Que dans 6 mois, un an, plus, ou moins nous pouvons mourir. Mais chaque personne est différente, il peut y avoir des milliards de réactions mais il y en a deux complètement opposées: la première est de se rendre compte à quel point nous avons de la chance d’être né, d’avoir reçu la vie et que nous devons nous battre pour la garder et la vivre à fond. La deuxième est que

dialogue, le lecteur peut comprendre que le petit prince en plus d'avoir apprivoisé le renard à aussi apprivoisé une rose, ligne 24 "bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble. Mais à elle seule elle plus importante que vous toutes". Dans ce dialogue il dévalorise toutes les roses et valorise uniquement la sienne. Apparemment pour le petit prince, la rose qu'il à apprivoisé est très importante, elle est même unique ! Ligne 25 "puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque