La Vie Est Un éclair

représentés : (« Le fossoyeur qui chante et sa pioche qui brille », « Le prêtre en blanc surplis, qui prie allègrement », « L’enfant de chœur avec sa voix fraîche de fille »). b) Le réalisme du détail - Présence de détails pittoresques : les éclairs lancés par la pioche, la couleur du vêtement du prêtre, la tonalité de la voix de l’enfant de chœur, la description des croque-morts cristallisée autour de 3 détails : « rondelets », « frac écourté », « nez rougi ». - Mise en avant de la dimension

Présentation de l'éditeur : « Soudain, une étoile filante a traversé le ciel. « Je souhaite avoir un destin, j’ai murmuré. Je souhaite vivre une histoire qui fasse de ma vie un destin. » L’homme qui chuchote ainsi dans la nuit se nomme Homer Idlewilde. Vagabond établi, bon à rien exemplaire, éternel ahuri, il se promène jour après jour d’un bout à l’autre du comté de Farrago, petite bourgade de la Californie du Nord perdue dans les collines et qui, selon l’adage, se flatte d’avoir toujours

La vie est comme ces fruits dont le goût est sucré, puis soudainement amer Elle n'est ni noir, ni blanche, non elle est beaucoup plus complexe que cela C'est un remarquable mélange de douces saveurs A d'autres, fortement épicées. Un métissage entre le bien et le mal, entre l'agréable et le détestable Entre l'acceptable et l'inacceptable, entre le vrai et le faux Entre l'illusion et la réalité, Entre l'espoir et la crainte. La vie peut être comme un film sans surprises Car il peut

plus beaux. Usant à l'envi leurs chaleurs dernières, Nos deux cœurs seront deux vastes flambeaux, Qui réfléchiront leurs doubles lumières Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux. Un soir fait de rose et de bleu mystique, Nous échangerons un éclair unique, Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux; Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes, Viendra ranimer, fidèle et joyeux, Les miroirs ternis et les flammes mortes. Commentaire : Ce poème est un sonnet en décasyllabes. Les

peignent dehors. L'impressionnisme eut une grande influence sur l'art de cette époque, la peinture bien sûr, mais aussi la littérature et la musique. Les peintres qui se veulent aussi réalistes, choisissent leurs sujets dans les paysages ou dans la vie contemporaine, dans un quotidien librement interprété selon la vision personnelle de chacun d'eux. Pas de références extérieures, à la différence de l'art antique qui est basé sur la mythologie, et de l'art roman sur l'histoire sainte. Les peintres

de la même famille. Zola veut ainsi représenter dans son œuvre la globalité de la société dans laquelle il vit et explore la diversité des milieux ; dans Germinal, c’est la pénibilité de la vie des mineurs qu’il décrit : suite à une grève encouragée par Étienne, mineur révolté par les conditions de vie imposées aux siens, l’armée a abattu l’un des grévistes. Étienne, rongé par le remords, est interpellé par la veuve, désespérée. Nous essayerons d’étudier comment, dans notre passage, Zola met

dit D’une voix douce, soupirante : "Viens vers moi prince des nuits, Je suis dans ton attente ! Astre suave, descends des cieux Sur un rai de lumière, Pénètre-en ce château vieux Pour que ma vie s’éclaire !" Il tremble tout en l’écoutant, Et son éclat redouble. Puis, comme un long éclair géant, Saute dans la mer, qu’il trouble. Grandes vagues rondes se lèvent où Il perce la surface, Et des eaux monte tout d’un coup Un jeune homme plein de grâce. Dans sa main droite des verts

d’une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l’ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l’ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ? Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j’eusse

la métaphore au vers 9 avec l' «éclair» et «la nuit». Le poète s'est retrouvé impuissant devant la jeune femme. Il essaye de prolonger la rencontre avec un dialogue imaginaire. Le poète a approfondit une scène banale en s'y attardant et en l'enjolivant grâce à des figures de style. Il a partagé ses sentiments et ses réflexions avec le lecteur. Quoiqu'il en soit, le thème de la disparition d'une femme aimée sera repris par Paul Eluard dans le poème Notre vie.

faisait complètement nuit. La pluie fine et glaciale battait le sol avec violence. Un enfant laissait ses yeux admirer le spectacle, derrière une mince fenêtre qui le séparait de la tempête. Le temps s’arrêta quelques secondes, tandis que le flash des éclairs brillait dans le regard du petit garçon, émerveillé par cette nature qui se déchainait dangereusement. Le vent renversait les arbres qui perdaient leurs feuilles de couleur chaude, ces dernières venaient mourir dans les torrents d’eau qui dévalaient