La Vie Est Un éclair

main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l’ourlet; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l’ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair… puis la nuit! - Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? Ailleurs, bien loin d’ici! trop tard! jamais peut-être! Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, O toi que j’eusse

construire sa vision stratégique, son propre schéma de vie et de savoirs, en vue d’atteindre ses objectifs. L’enjeu pour l’accompagnant est donc de guider le dirigeant dans ce cheminement, de remise en question de ses représentations, de transformation de ses structures mentales. Il s’agit d’un processus relationnel complexe et dynamique inévitablement fait de tentatives, de conflits, d’enlisements, de retours en arrière comme d’avancées-éclair, et de remise en cause de soi, de sa fonction. Mais cette

 Femme noire SENGHOR Commentaire littéraire  I- L’hommage à la femme a) La femme noire à différents moments de la vie Vers 3 : Mère et enfant. Vers 6 : Jeune fille : éveil de l’amour. L’indicatif présent est opposé au passé. La foudre (« foudroie ») est une métaphore réitérée par l’« éclair ». Le poète est dans le chaos : « tonnerre » : allitération en [T]. La femme est la savane, elle frémit, gronde (personnification de la savane) : « savane ; femme ; tamtam ». Allitérations en [F] et [V]

expliquer et les utiliser dans un paragraphe rédigé. Ils sont souvent en caractères gras dans le livre. Triple Alliance (Allemagne, Autriche-Hongrie, Italie, Triple Entente (France, Royaume Uni, Russie), course aux armements plan Schlieffen, guerre éclair (guerre de mouvement), guerre de tranchée (guerre de position), front des combats, assaut, mutinerie guerre totale, rationnement, mobilisation de l'économie (économie de guerre) offensive, armistice, SDN (Société des Nations), Traité de paix déclin

manières différentes. Dans un premier temps, Hugo use du champ lexical de l'éclairement, un choix justifié dans la mesure où il s'agit avant tout d'un phénomène lumineux : « lever de soleil dans la lune » : ainsi, il utilise par trois fois le terme « éclair », puis des termes « rayon », « éblouissement », « resplendirent », « aurore », « lux » (lumière en latin). Par la suite, lorsque le phénomène s'intensifie, il emploie la métaphore du feu, afin de caractériser le fait que la lumière gagne progressivement

dans l’effroyable lutte.» Dans ces passages, il est facile de remarquer l’aspect tragique de la guerre au quotidien. Le poète raconte ses états d’âmes relatifs aux armes, à la perte de ses camarades, à la mort et au combat. Puis, cet élément de la vie dans ses poèmes est un objet d’art nouveau, car Apollinaire voulait laissez tomber les «anciennes méthodes» et créer un nouveau style. Bref, faire une rupture avec les styles historiques. D’ailleurs il supprime tout signe de ponctuation dans ses textes

pas changé l’air de la vie n’a plus le nerf de m’éveiller ― ne me nomme jamais, ne me réveille pas, tes poumons immobiles ont désappris aux miens à respirer le souffle faible de ce monde, le mourant ! car il agonise dans les trompettes, les pluies battantes, et qu’il crève, le géant faible, monde vieillard qui s’époumone dans le feu pâle auréolant ta tête. Cette lueur, ô veilleuse aveugle des morts, pensante sans sommeil au fond des rêves loin de l’huile de la vie, endormeuse, nous avons

tortueux Dans la grisaille Pas hasardeux. Des cicatrices Larmes de sang Dans l’interstice Un être absent. La mort qui guette Dans le ciel noir En fine esthète Le non-espoir. Des cris déchirent La nuit, la vie La peau transpire Tout se détruit. Des chrysanthèmes Rêves réels Vie post-mortem Formes sensuelles. Christophe Bregaint, 2008 C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit :

souffrante. « Ce deuxième bébé pèse plus, bouge plus, lui fait plus mal que le premier » (p.68) «(S)es habits l’agacent, les tissus frottent et irritent sa peau, les fermetures Eclair et les élastiques y impriment des traces rouges vif.» (p.69-70) En comparant ses grossesses, Lin se plaint beaucoup des inconforts qu’elle vie lors de sa seconde. Il lui semble qu’autant sa première expérience avait été plaisante, autant celle-ci est douloureuse et pitoyable. Ce qu’elle ressent à l’intérieur (un bébé

jeune encore et vierge de désastres, Le glaïeul fauve, avec les cygnes au col fin, Et ce divin laurier des âmes exilées Vermeil comme le pur orteil du séraphin Que rougit la pudeur des aurores foulées, L'hyacinthe, le myrte à l'adorable éclair Et, pareille à la chair de la femme, la rose Cruelle, Hérodiade en fleur du jardin clair, Celle qu'un sang farouche et radieux arrose Et tu fis la blancheur sanglotante des lys Qui roulant sur des mers de soupirs qu'elle effleure À travers