La Vie Miserable Des Mineurs Germinal

La focalisation zéro( narrateur omniscient)Il décrit ce qui a abimé ses mains comme s'il l'avait vécu , utilisation de plus que parfait. Il met en évidence les répercussions des travaux harassant dont la servante à été accablée tout sa vie «  à force d'avoir servi », » avaient si bien encroûtées et durcies » Cette focalisation permet à Flaubert de mettre en avant les souffrances subies par le personnage. La focalisation Interne ( narrateur confondu avec le personnage) « C'était

l'accrochage où ils descendaient, mais sans un arrêt, toujours affamé, de boyaux géants capables de digérer un peuple. Cela s'emplissait, s'emplissait encore, et les ténèbres restaient mortes, la cage montait du vide dans le même silence vorace. ZOLA, Germinal (1885) « Les Halles Baltard à Paris » - Florent voit s’éveiller les Halles, lieu de toutes les débauches et de tous les excès… Le cadran lumineux de Saint-Eustache pâlissait, agonisait, pareil à une veilleuse surprise par le matin. Chez les marchands

qu'aux personnages exceptionnels, à ces héros qui ont été capables de « réussir » dans l'univers du roman qui les accueille, sachant que réussir et exister, lorsqu'il s'agit d'un personnage de roman, ne peut avoir la même signification que dans la vie réelle ? Les personnages ordinaires, humbles ou en situation d'échec, seraient-ils, eux, dépourvus de cette capacité à « exister » ? I. Pour exister, le personnage de roman doit « réussir » L'existence d'un personnage romanesque tient-elle à sa réussite

identifiables et les éléments référentiels. Puis nous verrons comment l’auteur à travers sa création nous transmet une vision personnelle. Le roman s’inscrit dans une époque donnée par exemple dans Germinal d’Emile Zola il fait référence à la révolte des mineurs a la fin du 19ème où bien encore dans Les misérables de Victor Hugo il se réfère aux guerres napoléoniennes.Dans le roman on nous renvois a des personnages historique et des régimes politique dans La petite tailleuse chinoise de Daï Sije on se retrouve

l’évolution de notre société à partir fin 18 siècle jusqu'à aujourd’hui. J’ai choisi ce thème car cela fait un petit temps que je m’intéresse à l’évolution de l’être humain et les conséquences de ses actes sur son environnement dans lequel il vit. La vie des ouvriers me tien cœur. J’aimerai aussi vous faire part d’un sujet qui m’intéresse tout autant que l’homme : l’écologie. Fin 18 siècle, appelé aussi siècle des lumières, la société de l’ancien régime se divise en 3 ordres : noblesse, clergé, tiers

qu’aux personnages exceptionnels, à ces héros qui ont été capables de « réussir » dans l’univers du roman qui les accueille, sachant que réussir et exister, lorsqu’il s’agit d’un personnage de roman, ne peut avoir la même signification que dans la vie réelle ? Les personnages ordinaires, humbles ou en situation d’échec, seraient-ils, eux, dépourvus de cette capacité à « exister » ? I. Pour exister, le personnage de roman doit « réussir » L’existence d’un personnage romanesque tient-elle à sa réussite 

exceptionnel possédant des caractéristiques le reliant au réel. De par sa définition un personnage de roman est un être de fiction, pour qu’il plaise, l’auteur en fait une personne hors du commun, une personne qu’on ne pourra pas croiser dans notre vie. Avec la science-fiction, on rencontre des personnages extraordinaires, des humains au parcours exemplaire, héroïque dans des situations anormales irréelles. Dans La Machine à explorer le temps de H.G Wells (1895), on croise les descendants des humains

textes étudiés en lecture analytique : un extrait de Nana qui nous plonge dans le demi-monde des courtisanes du second Empire (L.A. n°1 : Nana ou la « Mouche d'or »), un passage qui aborde le monde misérable des ouvriers exploités à la fin du XIXe (L.A. n°2 : la découverte du « Voreux » dans Germinal) et un texte qui s'intéresse à l'univers du chemin de fer (L.A. n°3 : « le train fou », fin du roman La Bête humaine). On peut aussi ajouter un quatrième texte proposant un fonctionnement similaire.

Sujet d’écrit pour l’épreuve anticipée de français Séries ES-S Objet d’étude : Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde. Textes : Émile Zola, Germinal, 1885. François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, 1927. André Malraux, La Voie royale, 1930. Albert Camus, La Peste, 1947. Écriture : I. Vous répondrez d’abord aux questions suivantes [4 points] : 1. Identifier l’aspect de la condition humaine (aspect psychologique, aspect sociologique, etc.) qui est privilégié dans chacun de ces textes

1! Dissertation 1) Qu’est-ce qui, selon les trois textes du corpus, permet à l’homme d’être libre ? ! La Fontaine, Rousseau et Zola montrent dans leur texte respectif, Le Loup et le Chien (1668), Emile ou de l’éducation (1762) et Germinal (1885) des situations dans lesquelles un individu ou un groupe exprime et/ou défend sa liberté. Néanmoins, la notion de liberté n’est pas abordée sous le même angle dans ces trois textes. Après avoir vu comment les auteurs comprennent le terme de