La Ville Objet De Fascination

de l’amour qu’elle lui a toujours voué. Elle va lui faire découvrir un autre aspect de sa personnalité sans qu’il puisse totalement renier sa vie de prêtre. Romuald mènera alors une double vie, celle du seigneur Romualdo, gentilhomme réputé de la ville de Venise et amant en titre de Clarimonde et celle d’un curé du petit village de ***. Romuald découvrira même le secret de son amante, obligée pour survivre de lui soutirer un peu de sang chaque nuit, sans que cette révélation ne le dérange outre

faire de Vienne une ville incontournable. En effet, Egon Schiele qui n'évolue pas en vase clos, est profondément imprégné de l'ambiance viennoise caractéristique du début du XX siècle : il est à la fois imprégné par la chute quasiprogrammée de l'empire austro-hongrois, angoissé par un futur inconnu ainsi que fasciné par l'apparition d'études scientifiques sur les dégénérescences mentales. 1 – Repères biographiques Egon Schiele voit le jour en 1890 à Tulln, dans une petite ville de province autrichienne

ALEXANDRIE A L’EPOQUE HELLENISTIQUE PLAN: Historiographie Contexte historique Urbanisme de la ville Les portraits Les nécropoles à Alexandrie Les hydries Ouvrages généraux sur Alexandrie: Christian JACOB et François POLIGNON, Alexandrie 3ème siècle avant JC, tout les savoirs du monde ou le rêve d’universalité des Ptolémées, Paris, 1992. Pascal BALET, La vie quotidienne à Alexandrie, Paris, 1999 André BERNAND, Alexandrie la grande, 1992, réed. 1999 Jean-Yves EMPEREUR, Alexandrie redécouverte

à décrire des objets (par exemple "La bougie"), des éléments (par exemple "La pluie"), des aliments ( par exemple "Le pain"), ou encore des portraits( par exemple " Le Gymnaste") dans une poésie en prose. L'auteur présente son recueil comme une forme de dictionnaire poétique, il est question pour lui de remplacer chaque objet par une "formule" de langage qui lui convient parfaitement. Pour lui, chaque chose mérite d'être exprimée, c'est pour cela qu'il s'attache à décrire des objets simples du quotidien

Les peplumPorqué ? C’est un vêtement plutôt grand, large. Souvent, beaucoup de plis, comme un film. Souvent brodés. Apparaît dans les cinés clubs parisiens, entre 59 et 60. Milieu très restreint. Un réalisateur comme Tavernier, témoigne. Au départ, pour les puristes, seulement les films italiens qui traitent de l’Antiquité. Claude Aziza, spécialiste du cinéma, et du peplum. Dès le départ, comme pour les livres du 19ème, se moquent de la réalité. De ce que devait être l’Antiquité. Reprend la litté

n'est que la scène d'une action qui commence. Et c'est par intuition de ce cri toujours à venir que les hommes ont inventé l'architecture ; par intuition de la valeur sacrificielle d'un lieu. » « Qu'est ce que le sensible en vérité ? Je l'ai dit une ville, parce que la pensée néglige que l'être est dans l'apparence et que l'apparence est somptueuse et par conséquent une hantise, même celle des ruines, des choses les plus humbles, du chaos. Mais ce qui fait le départ du sensible et du conceptuel, ce

musique…), civilisation, histoire, littérature, philosophie, sciences humaines. Chaque cycle comprend une séance de 2 heures hebdomadaires, sur 25 semaines, hors vacances scolaires. L’enseignement est assuré dans les locaux de l’Université (centre ville). La formation peut être réalisée en partie ou en totalité pour une entreprise ou un organisme à l’ extérieur de l’Université. Des voyages et visites peuvent être proposés et organisés à l’initiative de certains enseignants en complément de leurs cours

totalitaire. Il a donc fait de ce roman une contre-utopie ou utopie malheureuse du à l’expérience historique tragique du XXème siècle (Guerres Mondiales, Totalitarisme). Écrit en 1931 puis publié en 1932 C'est un roman de science fiction : des objets du cadre de vie ont été inventés : les personnes se déplacent en train ou hélicoptère individuel. Ils utilisent des fusées pour se déplacer. Ils portent des vêtements en tissu synthétique. Le Meilleur des mondes paraît en 1932 : c'est l'entre deux

intervention), lui conférait un pouvoir souverain. Conçue comme autorégulatrice et, de plus en plus, comme autofinalisée, la technique a répondu à sa propre expansion ou à des besoins par elle-même créés, dans une logique de surenchère, ou dans une forme de fascination narcissique, sans réfléchir aux conséquences, parfois tragiques, de certains de ses développements. Les nombreuses dérives déjà constatées (eugénisme, catastrophes ou armes nucléaires, pollution et extinction des ressources naturelles) témoignent

au cœur de son projet. C’est l’absence de ponctuation sous l’influence de Blaise Cendrars, le recours au vers libre, l’utilisation de procédés de composition à la manière des peintres cubistes, le développement de thèmes urbains, l’introduction des objets emblématiques de la modernité comme l’automobile ou l’avion. Pour autant, cet engagement dans la modernité n’est pas complètement enthousiaste. La modernité a ses manques. La poésie d’Apollinaire fait écho à cela en s’inscrivant aussi dans une certaine