La Violence Est Elle Toujours Destructrice

très sincèrement heureux de me trouver ici parmi vous, à l'occasion du 327e anniversaire de la fondation de cette université si ancienne et si illustre. La devise de Harvard est  VERITAS. La vérité est rarement douce à entendre ; elle est presque toujours amère. Mon discours d'aujourd'hui contient une part de vérité ; je vous l'apporte en ami, non en adversaire. Il y a trois ans, aux Etats-Unis, j'ai été amené à dire des choses que l'on a rejetées, qui ont paru inacceptables. Aujourd'hui, nombreux

INTRODUCTION La violence est une constante au sein de nos sociétés humaines. Elle peut se présenter sous diverses formes : physiques, psychologiques, sexuelles et économique, d’où ses conséquences passées, présentes, et probablement futures, notamment en terme de conflit à l’ampleur variée (guerres mondiales, guerre d’Irak, …). Ce qui la définit, c’est qu’elle porte atteinte à l’intégrité des personnes (viols, enlèvements, violences conjugales, maltraitances,…), qu’elle soit portée à la personne

visage comme signal de la naissance de l'amour La rencontre produit un sentiment foudroyant : "je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue" (vers 273) : - Les propositions brèves, juxtaposées (cf. les virgules), rendent l'impression de suffocation et la violence du sentiment ressenti par Phèdre ; - L'assonance en (i) aux syllabes accentuées du vers ("vis", "rougis", "pâlis") de même que le quasi oxymore "rougis"/"pâlis" suggèrent la douleur de la passion qui a des effets contradictoires. --> C'est le

si prégnante. Si la guerre est essentiellement envisagée comme une issue au renoncement pulsionnel sédimenté par la culture, on pourrait paradoxalement prétendre que la guerre est l’une des manifestations de pulsions d’autoconservation qui visent toujours un surcroît de puissance et nient profondément la réalité de la mort. Avant qu’il n’ait élaboré cette deuxième topique pulsionnelle, Freud avait tiré les conséquences du déclenchement du premier conflit mondial. « On se disait, il est vrai, que les

puissants. Le même phénomène exista durant la longue guerre du Péloponnèse dont l’issue fut fatale à Athènes. La domination lacédémonienne eut encore des collaborateurs parmi les aristocrates riches et influents. C’est dire que les hommes politiques sont toujours issus des mêmes milieux, en temps de paix comme en temps de guerre. C’étaient des généraux, héros des guerres de conquête, ou des politiques dont le seul projet dans la vie était le pouvoir. Les philosophes s’intéressaient aux idéologies et aux questionnements

dans les conflits aujourd’hui et demain C ENTRE DE D OCTRINE D ’E MPLOI DES PARIS, JANVIER F ORCES, 2007 LES FORCES TERRESTRES DANS LES CONFLITS AUJOURD'HUI ET DEMAIN Affrontement armé des volontés, la guerre engendre toujours la destruction et la souffrance, mais son visage et sa place dans le monde ont changé. C’est d’abord l’efficacité politique de l’affrontement militaire qui a évolué, la destruction de l’autre s’avérant souvent une réponse inadaptée aux situations

plus dévastatrice de l’histoire. Elle a commencé en 1939, provoqué par l’insatisfaction de la défaite de la triple alliance mais aussi, et surtout par le désir d’Hitler et de sa politique de nazisme d’acquérir de nouveaux territoires. Cette guerre destructrice durera six ans, de septembre 1939 à septembre 1945 et concernera plus de 60 nations : les forces de l‘axe contre les alliés. Elle a fait des millions de morts et aura des conséquences dans le monde entier. Quels sont les événement de 1945 ?

misère s’accentuent. II. Un traumatisme moral sans précédent A. Les séquelles de la brutalisation a) Définition La Seconde Guerre mondiale a repoussé les limites de la barbarie en accentuant la banalisation de la violence. La brutalisation est un terme crée par G. Mosse pour désigner le processus par lequel les sociétés européennes sont devenues plus sauvages et insensibles qu’on aurait pu imaginer en étant familiarisées avec la mort de masse. La guerre totale a effacé

surmoi et le moi. Le « ça » : le réservoir des pulsions inconscientes qui sont régies par le principe du plaisir. 2 forces : - la libido : c’est l’énergie de la pulsion sexuelle, pulsion de vie, d’amour,… « EROS » - la pulsion destructrice de mort. ( THANATOS). Le « moi » : c’est le centre des mécanismes cognitifs conscients qui contrôle les pulsions. Le moi est régi par le principe de la réalité. Le moi est entre le ca et le sur-moi. L’élément qui exerce le jugement entre ce qui

retour des animaux migrateurs. Or, dans Tous les matins du monde, cette saison s'oppose à la fin de phrase tragique : « Madame de Sainte Colombe mourut. » Le verbe « mourut » est au passé-simple et souligne alors le tragique de la situation et sa violence. Toujours au commencement du roman, Monsieur de Sainte Colombe joue pour un mourant puis lorsqu'il rentre chez lui, il apprend que sa femme est décédée. Sainte Colombe cherche à composer des musiques qui exprime ses sentiments durant toute sa vie. L'œuvre