La Voix Baudelaire

Sommaire : Hokusai Katsushika, La Grande Vague de Kanagawa, 1831……………………………………………………1 Préface ………………………………………………... 3 Melin de Saint-Gelais (1491-1558), Treizain .………… 6 Pierre de Marbeuf, Et la Mer et l’ Amour, 1628 ………7 Charles Baudelaire, L’homme et la Mer, 1837 ………. 8 Victor Hugo, Oceano Nox, 1840 ……………………... 9 Leconte de Lisle, Pantoums Malais V, 1884 ...…....…… 11 Sybille Rembard, Océanothérapie, 2002 ……………… 13 Charles Trenet, La Mer, 1946 ……..………………….. 14 2 Treizain

poète français , un des plus grands exemples de symbolisme , souvent considéré comme le créateur de la poésie moderne . Fils de l'ancien prêtre Joseph- François Baudelaire et Caroline Dufayis , né à Paris le 9 Avril, 1821 Son père est mort le 10 Février 1827 et sa mère épousa l'année suivante avec l'armée Jacques Aupick . ; Baudelaire n'a jamais accepté son beau-père , et les conflits de famille est devenue une constante dans son enfance et adolescence . En 1831, il s'installe avec sa famille

posthume, 1819. B – Charles Baudelaire, « Causerie », Les Fleurs du Mal, 1857. C – Louis Aragon, « Le rendez-vous perpétuel », Amour d’Elsa, 1947. m Vous répondrez d’abord à la question suivante. ■ Question (4 points) L’amour suscite souffrance et joie chez le poète. Par quels procédés les poèmes expriment-ils cette double réalité ? m Vous traiterez ensuite un de ces trois sujets. ■ Commentaire (16 points) Vous ferez le commentaire du texte de Baudelaire (document B). ■ Dissertation

Charles Baudelaire est un poète du XIXe siècle . En 1857, il publie son célèbre recueil, les Fleurs du Mal . On y trouve une double thématique : le « Spleen » mot anglais qui désigne la mélancolie où le dégoût ; et l’« Idéal » qui serait pour Baudelaire une femme à la beauté intemporelle. L’« Horloge » est le dernier poème de la section « Spleen et Idéal ». Il signe d’une certaine manière la victoire du spleen sur l’idéal avec ce temps tout puissant qui précipite l’homme vers la mort. Le poète reprend

poèmes en prose de Charles BAUDELAIRE dont est analysé le premier : ‘’L’étranger’’ (pages 2-5), tandis que les autres sont simplement résumés et commentés, et que figure à la fin (pages 20-27) un commentaire sur l’ensemble. Bonne lecture ! http://www.comptoirlitteraire.com/ 2 Le recueil est précédé d'une lettre ‘’À Arsène Houssaye’’, qui tient lieu à la fois de dédicace, de préface et de manifeste. Baudelaire y présente la forme nouvelle

plutôt que des sensations claires aux v7 et 8 : impressions contraires de moiteur et de fraîcheur sur le front ; dans les tercets, souvenir d’une voix "lointaine , et calme, et grave" avec cette redondance de la conjonction et de la virgule, qui détache encore les impressions sonores et met en valeur l’assonance qui parcourt tout le vers , en "a" sa-voix- cal- gra - a, assonance sur lesquelles portent les cinq accents de cet alexandrin. Ce poème est donc très personnel et ne joue pas sur des connotations

souvent entravé par la réalité, la laideur du monde. Les Méditations poétiques de Lamartine en 1820 miment ainsi une progression vers l'Idéal, l'élévation vers une consolation divine. Le lyrisme fut pour ces poètes du XIX siècle (Lamartine, Musset, Baudelaire, Les Parnassiens) un moyen de se démarquer de la poésie néoclassique qui était une poésie conventionnelle, fondée sur l'imitation des anciens, et la reprise de lieux communs, en conduisant la poésie vers l'intime, la subjectivité, et l'émotion.

trois éléments : L'air, la terre et l'eau. On peut remarquer l'absence du feu car le décor présenté ici est terne et envahi par la grisaille. Dans la 1re strophe, on a le thème de l’ennui, qui est également le thème romantique par excellence. Mais Baudelaire, qui le reprend, lui donne un traitement particulier. Cette première strophe contient le début de la protase. Ces deux subordonnées circonstancielles énoncent plus que de simples circonstances. En effet, un élément inanimé, décrit (le ciel) pèse

qui font toutes choses plus belles : Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles !Introduction :Nous allons étudier le poème « La Beauté » rédigé par Charles Baudelaire en 1857. Baudelaire est un poète français romantique du XIXème siècle. Il est né en 1821 à Paris. Ce dernier souffrait de la vie et de sa propre existence. Baudelaire était névrosé et souffrait d’une grande dépression. Le recueil « Les Fleurs du Mal » comporte l’ensemble de ses poèmes écrits entre 1840 et 1867 (année de sa mort)

l’hypothèse du couple amoureux, la première voix évoque le souvenir d’une époque heureuse « extase ancienne » : analepse. Cette voix adopte un registre lyrique : vocabulaire des sentiments amoureux + les métaphores de l’amour « ton cœur bat-il toujours à mon seul nom ? » (V9) + Les phrases exclamatives et les interjections « Ah ! » (V11). Toutefois l’échange verbal n’est pas harmonieux : * La première voix : chant amoureux+tutoiement = lien intime, la voix 1 aime toujours : « bat-il » (V9), « vois-tu »