La Voix d'un ange

Madame, ô madame, vous êtes là devant moi et semblez être un ange au milieu de mes songes. Mais il y a longtemps déjà que je vous rêvère. Je me souviens c'était un soir d'été par une nuit éclairée d'une lune si blonde, si ronde, semblable aux courbes de votre corps. Vous vous promeniez le long de la falaise, un éventail dessinait le prolongement de votre main. Il faisait une chaleur lourde et épaisse, votre souffle était au rythme des battements de mon coeur. Ce coeur qui désormais, après vos derniers

et avait des cheveux courts noirs. Je la voyais de l'autre côté de la rue. Son visage semblait stressé, elle marchait d'un pas décidé, ses talons claquaient, son manteau blanc avait l’air d être recouvert de sang. Le sang lui remontait jusqu'au cou et par dessus son écharpe d un noir profond .Ses gestes semblaient très nerveux, peut-être avait t-elle peur. Puis plus rien... Des voix me parvenaient, assourdies, puis des lumières. Quand je me suis réveillé, j’étais dans un hôpital, ma femme était assise

As-tu froid en ce moment ? Alors viens dans mes bras. Vois-tu la lumière au loin ? Vois-tu à quelle vitesse elle s'approche de nous ? Crois-tu qu'elle arrivera à temps ? Car j'ai tant à te dire avant qu'elle ne vienne. Moi qui suis déjà en compagnie d'un ange, comment pourrais-je avoir peur d'entrer au paradis ? Tu es la porte, et moi la clé. Te souviens-tu de tous nos bons moments ? Sais-tu qu'ils ne sont qu'au début de notre histoire ? Nous l'écrivons petit à petit. Laisse-moi prendre une gomme, et

de suivre un bonheur qui me fuit, De me perdre moi-même, et d'être solitaire, Souffrir beaucoup de mal, beaucoup craindre, et me taire Pleurer, crier merci, et m'en voir éconduit : Si c'est aimer de vivre en vous plus qu'en moi-même, Cacher d'un front joyeux une langueur extrême, Sentir au fond de l'âme un combat inégal, Chaud, froid, comme la fièvre amoureuse me traite : Honteux, parlant à vous, de confesser mon mal ! Si cela c'est aimer, furieux, je vous aime : Je vous aime, et sais

elle est déchirée, mais ne s’effondre pas. Elle fera preuve d’un courage exemplaire, déterminée qu’elle est à retrouver l’homme qu’elle aime. Gabriel, quant à lui, est un jeune homme plein de fougue et de courage qui sera acculé à l’impuissance devant les baïonnettes des Anglais qui non seulement leur dérobent leur terre, mais les arrachent à leurs êtres chers. Le récit offre d’autres personnages attachants tels que Marie-Ange Bellafonte, la mère d’Évangéline, une femme passionnée, profondément

grâce à ce mode d’interprétation inépuisable qu’est l’allégorie. HISTOIRE DU LIVRE ET TRADUCTION. ANALYSE DU LIVRE. L’original du Livre d’Hénoch est perdu. Le livre d’Hénoch se compose: Nous n’en avons que des versions, la plupart incomplètes. On parle d’un Hénoch hébreu, d’une version grecque traduite ensuite en éthiopien. Nous proposons ci après le texte de l’introduction et la première partie seulement. - D’une Introduction (Chapitres I-V) Et de cinq parties: 1. Chute des anges et assomption d’Hénoch

ne viens point jeter un regret inutile Dans l'écho de ces bois témoins de mon bonheur. Fière est cette forêt dans sa beauté tranquille, Et fier aussi mon coeur. Que celui-là se livre à des plaintes amères, Qui s'agenouille et prie au tombeau d'un ami. Tout respire en ces lieux ; les fleurs des cimetières Ne poussent point ici. Voyez ! la lune monte à travers ces ombrages. Ton regard tremble encor, belle reine des nuits ; Mais du sombre horizon déjà tu te dégages, Et tu t'épanouis.

On voit l’empreinte d’un seul pied. Cette trace qui nous enseigne, Ce pied blanc, ce pied fait de jour, Ce pied rose, hélas ! car il saigne, Ce pied nu, c’est le tien, amour ! Janvier 1843. 3 15 FÉVRIER 1843 Aime celui qui t’aime, et sois heureuse en lui. – Adieu ! – sois son trésor, ô toi qui fus le nôtre ! Va, mon enfant béni, d’une famille à l’autre. Emporte le bonheur et laisse-nous l’ennui ! Ici, l’on te retient ; là-bas, on te désire. Fille, épouse, ange, enfant, fais ton double

voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq. À la grand'ville, elle fuyait parmi les clochers et les dômes ; et, courant, comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais. En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil, il était midi Rimbaud Fêtes de la faim Ma faim, Anne, Anne,  Fuis sur ton âne. Si

exemplaire de la Divina Commedia II.  Melancholia III.  Saturne IV.  Écrit au bas d’un crucifix V.  Quia pulvis es VI.  La source VII.  La statue VIII. IX. X.  Amour XI.   ? XII.  Explication XIII.  La chouette XIV.  À la mère de l’enfant mort XV.  Épitaphe XVI.  Le maître d’études XVII.  Chose vue un jour de printemps XVIII.  Intérieur XIX.  Baraques de la foire XX.  Insomnie XXI.  Écrit sur la plinthe d’un bas-relief antique XXII. XXIII.  Le revenant XXIV.  Aux arbres XXV. XXVI