La Vraie Lecture

l'amitié, car il est vraie que même si l'a véritable amitiée ne nait pas par intérêt, elle nous apporte quelque chose que l'on ne peut nier : " Chacun en écoutant l'autre retrouvait des parties de lui-même oubliées". Ce même auteur nous montre que l'amitié naît à n'importe quel âge : " Et bien qu'ils eussent passé l'âge des émotions naïves, ils éprouvaient un plaisir nouveau, une sorte d'épanouissement, le charme des tendresses à leur début". Tu découvriras durant ta lecture, chère lecteur,quelque

l'Antiquité orientale et grecque et Histoire de la pensée économique. L’Histoire vraie de Lucien de Samosate est, comme la Batrachomyomachie, avant tout rattachée au genre de la fantaisie imaginaire. Cependant, elle présente aussi, dans son voyage aux confins de l'univers fantasmé de l'époque (iie siècle), bien des caractéristiques littéraires et thématiques de l'utopie: ainsi, l'utopie, en littérature, n'offre pas seulement la lecture d'un archétype parfait d'organisation, elle propose aussi, parfois au travers

car dans l’histoire J-F se fera une amie nommée Rhéa et ils se suivront pendant une bonne partie du livre .Mon deuxième thème secondaire est la compétition puisque tout le long de ma lecture, j’ai pus remarquer que 3 clans se trouvent dans l’histoire : les loups, l’institue et le centre commercial. Pendant ma lecture, j’ai aussi remarqué qu’il avait un genre de compétition entre les différents clans.Attention à vos papilles gustatives!!Les 2 valeurs véhiculées par les personnages de mon roman.La première

avec une certaine autodérision, teintée de lucidité, d’humour, mais surtout de beaucoup de nostalgie. Un bloc texte de 250 pages Le début du récit est assez étrange dans la mise en place de l’histoire. La plupart des parties commencent par la lecture de panneaux directionnels routiers et publicitaires et le narrateur utilise le « tu », le « je », et le « vous ». Il n’est pas tout de suite évident de savoir, si Martin et le narrateur ne font qu’un, tant l’utilisation des pronoms personnels sujets

Fiche de lecture n° 17 Mon ami Frédéric, de Hans Peter Richter I – Carte d’identité de l’auteur Prénom : Hans Nom : PETER RICHTER Date de naissance : 1925 Lieu de naissance : Cologne en Allemagne Mort en 1993 à Munich II – Biographie de l’auteur Hans Peter Richter a connu dès son enfance l'entreprise de propagande nazie sur l'opinion allemande, l'accession d'Hitler au pouvoir et sa dictature. Hans Peter Richter devient sociologue et s'occupe d'organisation du travail ; il a écrit plus

Soliloque (=monologue) déceptif - Rappel de la situation du passage Ex de pb: En quoi ce dénouement est il déroutant ? Qu'attendre de ce long soliloque qui ouvre plus d'interrogations qu'il n'en résout? Ex de plan: 1. Nature du dénouement / Une vraie fin? 2. Dénouement déceptif Principales idées: - Vocab de l'achevement "le compte y est et l'histoire close " l36 , "terminer"l56 -Vocab des adieux - l4 "derniere grace" ---> "le drap" peut faire penser à un linceul -Dénouement = mort (parodie

était Jane Russel dans "Les hommes préfèrent les blondes". Lauren King est super intelligente. Laurenadore Racine, comprend fort bien Einstein et vit pour la lecture. Elle habite avec ses parents les beaux quartiers de Paris. Les deux héros se rencontrent dans le métro. Ils ne font pas attentionl'un à l'autre sur l'instant puis une vraie histoire d'amour commence. Or ils ne sont pas dans la même école, mais décident de se rencontrer le plus souvent possible dans un parc. Jusqu'au jour ouils

son existence dans une tout autre manière cela se transforme alors en une sorte de jugement pour l’écrivain . L’auteur alors effectue une quête de sa vie passé en effectuant examen de conscience. Le lecteur prends alors connaissance au fils de sa lecture de touts les secrets de l’autobiographe comme dans l’autobiographie  Les Confessions de Saint-Auguste , celui -ci nous raconte qu’il volait des poires pour livrer aux animaux et que ce vol représentait un plaisir pour lui. Dans cet ouvrage, Saint

 La lecture est indispensable à grand nombre de gens qui ne s’endorment pas sans avoir survolé quelques chapitres. Pourquoi cette multitude de romans, de poèmes et de contes est-elle si chère à l’homme ? Que renferment toutes ces pages pour hypnotiser le lecteur des heures entières où seul le regard bouge, illuminé, sombre ou même humide ? Qui est derrière la plume mais surtout, quel est son rôle ? Sa mission la plus importante est-elle la peinture réaliste des problèmes sociaux de son époque ?

cultivé, est la lecture. Rien ne peut la remplacer. Ni le cours parlé, ni l’image projetée n’ont le même pouvoir éducatif. L’image est précieuse pour illustre un texte écrit : elle ne permet guère la formation des idées générales. Le film comme le discours, s’écoule et disparaît : il est difficile, voire impossible, d’y revenir pour le consulter. Le livre demeure, compagnon de toute notre vie. Montaigne disait que trois commerces lui étaient nécessaires : l’amour, l’amitié, la lecture. Ils sont