La Vraie Rigolade

j’ai appelé personne. Au bout de vingt minutes au moins je suis ressorti de la cabine. J’ai repris mes valises et j’ai marché vers ce tunnel où sont les taxis, et j’en ai pris un. Je suis tellement distrait que j’ai donné au chauffeur du taxi ma vraie adresse, comme ça, par habitude. J’avais complètement oublié que je devais me planquer deux ou trois jours dans un hôtel pour pas rentrer à la maison avant le début des vacances. Quand je m’en suis souvenu on en était déjà à la moitié du chemin. Alors

Personne n’y vient ja- mais. Nous sommes les seuls à prendre ce chemin. – Ça se voit ! dis-je en soutenant ma mâchoire qui risquait de se décrocher à chaque cahot. Vous devriez changer le roads- ter contre un bulldozer. – Ça fait partie de la rigolade, expliqua-t-il. Ça empêche les gens de venir fourrer leur vilain blase dans le quartier. Il accéléra et je recommandai mes os au Créateur. Le che- min tourna brusquement, et, au bout de cent cinquante mètres, il s’arrêta. Il n’y avait plus que des

remettait. Il craignait d’être traité de provincial, s’il se montrait trop interloqué. – On m’a dit, recommença-t-il, voulant absolument trouver quelque chose, que Nana avait une voix délicieuse. – Elle ! s’écria le directeur en haussant les épaules, une vraie seringue ! Le jeune homme se hâta d’ajouter : – Du reste, excellente comédienne. -6- – Elle ! … Un paquet ! Elle ne sait où mettre les pieds et les mains. La Faloise rougit légèrement. Il ne comprenait plus. Il balbutia : – Pour rien au monde, je

blanc. Personne n’y vient jamais. Nous sommes les seuls à prendre ce chemin. – Ça se voit ! dis-je en soutenant ma mâchoire qui risquait de se décrocher à chaque cahot. Vous devriez changer le roadster contre un bulldozer. – Ça fait partie de la rigolade, expliqua-t-il. Ça empêche les gens de venir fourrer leur vilain blase dans le quartier. Il accéléra et je recommandai mes os au Créateur. Le chemin tourna brusquement, et, au bout de cent cinquante mètres, il s’arrêta. Il n’y avait plus que des

lampes de sa vie. Là, à portée de main, une profusion d’objets en tous genres s’étalaient devant ses yeux émerveillés. Il méconnaissait la fonction de pas mal d’entre eux, mais cela ne lui importait guère. C’était la quantité qui le troublait. Une vraie caverne d’Ali Baba. Il y en avait de partout. Si son cousin avait été là avec lui, il lui aurait dit « Regarde ça ! Et puis ça ! Et ça ! » en sautant d’un présentoir à un autre comme un petit garçon qui touche à tout. Mais il était tout seul, alors

opposition aux faux clients que représentent les cas sociaux, les toxicomanes, les victimes, ceux qui entraînent les policiers vers la réalisation de tâches perçues à leurs yeux comme étant de l’action sociale et qui sont en dehors du champ de « la vraie activité » telles qu’ils l’ont définie. Que l’on se penche sur les aides soignantes les infirmières les contrôleurs, chaque acteur a tendance à s’identifier à la tâche la plus valorisée. 3.3 Les fonctions du chef d’équipe Les chefs d’équipes

je suis avec Harry ça va mieux. -Niall: Quand Zayn est la ça va aussi à ce que j'ai vue.. -Fanny: Oui.. Je sais pas ce que je ferais sans lui aussi, c'est super bizarre, mais vous êtes tous adorable ahah.. -Niall: Pourquoi tu détourne sa à la rigolade, Fanny, ta quelque chose à cacher à propos de Zayn? -Fanny: Non! Tu sais bien que Harry c'est le seul qui compte. Hein! -Niall: Oui je sais.. Tiens ta vue la musique de fond du supermarché c'est WMYB! Ahah! -Fanny: Eh oui! -Niall: C'est bon

Je sais que la lutte est inutile, je m’avoue vaincu d’avance, mais je vais me blaguer moi-même, blaguer les autres, hurler mon mépris pour les vivants et pour les morts. – 67 – Et je l’ai fait ! – je me suis payé une bosse de franchise, une vraie tranche de dédain ! J’ai appelé à moi les premiers venus. Il m’est arrivé un jeune homme de seize ans, à la figure maladive, avec des airs de fille, mais aussi avec l’ossature faciale d’un gars à idées et à poil. Espèce de moulage de plâtre jauni à

Avant premiere et introduction Avant l'introduction de ma seconde chronique, je tiens a vous dire que celle ci est une histoire vraie. Il n'y a rien d'ajouté. La meuf de ma chronique, Rama je la connais bien mais j'ai pas parlé d'elle dans ma chronique parce que j'avais prévu avec son autorisation bien entendu, de faire une chronique sur son histoire que j'ai vraiment aimé. Donc je disais que j'ai pas parlé d'elle parce que je voulais pas vous donner une impression de déja connaitre l'histoire

consensus « humanitaire » a la même utilité que les « débats » entre journalistes. Ils brassent du vent pour détourner l'orage. L'illusion d'un « contre-pouvoir » se cultive néanmoins de deux manières. La plus spectaculaire renvoie à la tragédie, la vraie. Depuis vingt ans, des dizaines de journalistes ont été assassinés le plus souvent par l'armée, presque toujours dans l'impunité. Les correspondants tués lors d'une guerre sont eux aussi relativement nombreux et, à moins qu'ils soient chinois, serbes