La Vraisemblance Dans Candide

Frédéric 11. Lassé des voyages, de l'exil et de la vie mondaine des cours princières, qui a soixante ans, s'installe à Genève dans la propriété des Délices. Il y goûte au charme de la nature et à la tranquillité. C'est à cette période qu'il écrit Candide (1759). Cinq ans plus tard, il quitte Genève et s'établit en France, à Ferney, à portée de la Suisse, prêt à s'y réfugier à la moindre alerte. C'est là qu'il écrira ses dernières oeuvres (6000 lettres, 10 tragédies et un dictionnaire philosophique)

d’une conciliation entre instruire et plaire. | Formes et genres | *Poésie Lyrique*Le roman précieux*Le théâtre*Hyperboles, antithèses, métaphores, périphrases | *Théâtre : Séparation des genres (comédie/tragédie)Respect des règles (unités, vraisemblance, bienséance..)*Fables, Roman privilégiant l’analyse*Pensées, maximes, portraits.. Sermon, oraison funèbre. | Thème dominant | *Le mouvement, l’instabilité*Les métamorphoses du sentiment et de la nature*L’illusion et les apparences*La mort |

de parole de l'auteur, par un imperatif qui lance le temps du texte. Ouverture dynamique · Puis discours direct pendant 8vers et 10 vers de récit donc texte de relief · Narration sensible avec des vraix marques temporelle "l'an', "l'out" · Vraisemblance du à une intrigue inscrite dans le cycle de la vie (= la mort, le travail..) b. Ses enfants · Ils se mettent a travaillé grace a ce qu'il leur a montré v.4, v.13,v.17 · Pas distingués des autres · La fontaine s'adresse a nous mais aussi

ses débuts avec les récits de chevalerie. On le retrouve de nos jours avec la plupart des récits de fantasy. Le roman montre le réel Au XVIIIème, Diderot fait l’éloge du roman anglais qui est un compte-rendu d’une expérience individuelle, avec vraisemblance et une portée morale. Au XIXème, Balzac crée de nombreux personnages pour montrer tous les aspects de la nature humaine. C’est l’ère du réalisme et du naturalisme. Le roman Au XXème, de nombreux auteurs transforme le réel critiquent une représentation

pour atteinte aux bonnes mœurs, qu'il gagna finalement, cette œuvre s'inscrit dans le courant littéraire du réalisme, dans la lignée de Balzac, mais avec uns perspective différente : l'importance de la psychologie. L'auteur préférait parler de « vraisemblance ». Cette histoire est tirée d'un fait divers et narre la chute de l'héroïne éponyme, qui ne parvient pas à combler ses aspirations. Cet extrait de la fin de la première partie concerne Emma, fille d'un riche fermier normand, qui a passé toute

entre conte et roman paraît menacée par certaines œuvres de Voltaire par exemple, comme Candide ou Zadig ou, plus anciennement, par l’appellation Conte du Graal que son auteur, Chrétien de Troyes, donne à son œuvre. Le critère de brièveté (d’appréciation certes assez subjective, personne ne s’étant risqué à donner une limite en nombre de mots…), joint à ceux d’une certaine négligence pour la vraisemblance et d’une intention morale ou didactique, permet en général de lever l’incertitude (et

un effet In medias RES. Les deux personnages sont des naufragés dans une île déserte où plane le danger. Iphicrate en sait plus sur cette île que son valet. Il connaît tous de cette île, ce qui respecte une des règles des 3 unités, celle de la vraisemblance. C’est une île où les maîtres sont tués. Marivaux crée de nouveaux lieux, qui lui servent de faire passer son message de révolte contre les esclavagistes. Le sentiment de révolte est senti dès la première scène, ce qui est originale

dialogue de B avec A, qui doute, va lui permettre d'affirmer sa conviction avec plus de distanciation. Nous sommes en plein dans la démarche des philosophes des Lumières: douter et se faire une opinion par soi-même. Le doute de A porte aussi sur la vraisemblance du récit par la question de la langue:"Comment Bougainville a-t-il pu comprendre cet étranger qui ne parle pas la même langue que la sienne et dont il ignore tout? Les questions de A sont celles que tout lecteur est en droit de se poser… B va

sujet : Il y a trois notions à prendre en compte dans ce sujet, pour ne pas faire de hors-sujet : 1 – Le sujet parle du « romancier », il faut donc s’en tenir au genre romanesque : pas de théâtre, pas de poésie, et pas d’apologue (n’oublions pas que Candide est un conte philosophique, pas un roman !). 2 – La deuxième notion du sujet, c’est le « personnage », le sujet pousse donc à réfléchir à l’ évolution du personnage : puisqu’on pose la question, c’est qu’il n’a pas toujours été extraordinaire. La

qui se laissent abuser par lui, et le loup a raison puisque ceux qui le contredisent ne le font jamais longtemps. Si la Fontaine avait raconté les mêmes histoires avec des hommes dans le rôle du loup et du renard, la fable aurait perdu en vraisemblance mais aussi en efficacité. En effet, il est plus facile de s’indigner contre un animal, une "bête" cruelle, que contre un humain, qui a forcément des qualités comme des défauts, et qui est un de nos semblables. Une morale est toujours plus percutante