La Vérité Rend Elle Libre

La conscience humaine semble faire de l'homme un être capable de se représenter le monde qui l'entoure, mais aussi le rend apte à se connaître lui-même, à se représenter. La conscience me permet de connaître mes pensées, mes sentiments, mes actes. Elle me renvoie à ma simple présence au moment où je pense, sent, agit, juge, critique. Elle fait de moi un sujet, et me rend capable de penser par moi-même et donc d'agir au sens plein. Si la conscience fait ma misère, elle fait aussi ma grandeur.

est. L’amour peut-être différent en fonction des intérêts différents. « Il faut aimer l’amour ou mourir ». Voir si la vie vaut la peine d’être vécue dépend de la quantité d’amour dont on est capable. C’est l’amour qui fait vivre car c’est lui qui rend la vie aimable. Les Grecs ont donné 3 noms pour définir 3 amours différents : éros, le manque, la passion amoureuse, l’amour qui prend et qui veut posséder et garder. Philia, l’amour qui se réjouit du partage. Agapè, l’amour qui accueil et donne.

Confessions exposera son cheminement spirituel en quête de la vérité. Ainsi, même en ayant mis en doute les choses hors de moi, il me reste toujours une certitude, celle de la conscience que j’ai de moi-même, de mon activité intérieure toujours pensante. Et c’est au sein de sa propre intériorité qu’il est possible d’entretenir un rapport avec la vérité : « Ne va pas vers l’extérieur, entre en toi, car c’est à l’intérieur de l’homme qu’habite la vérité ».       b. Descartes reprend le même cheminement que

proviennent de l'intérieur, la personne porte en elle les problèmes et leurs solutions. Faire accoucher l'esprit, signifie faire découvrir à l'autre des vérités qu'il porte en lui mais dont il n'a pas encore accès. Pour Socrate la prise de conscience ne pouvait venir qu'avec la parole. La maïeutique est ce qui permet à un être de se sentir libre, de trouver en lui-même ses propres réponses. L’art de Socrate était de questionné juste ainsi, l'être qui était questionné pouvait en cherchant en lui trouver

portés comme par prédisposition naturelle à la minorité, dont il dit qu'il faut se méfier car ce ne sont, pour lui, que des discours destinés à ancrer et à préserver cet état de minorité où l'homme craint de se servir de son propre entendement. Ces vérités sont d’ailleurs d’autant plus dangereuses que ce sont elles qui permettent un certain équilibre de l’existence humaine. Si les rejeter entièrement peut aussi permettre une liberté de mouvement inédite, « aussi sont-ils peu nombreux, ceux qui sont

justement ? Cette première approche lui permet de lier intrinsèquement le cinéma et l’anthropologie qui apparemment s’intéressent tous deux aux rapports sociaux. Boukala développe alors une idée autour des facultés dont dispose le cinématographe. Il rend compte du fait que le cinéma est une captation du réel et que l’image constitue en soi un processus d’observation anthropologique. Il rappelle que le dispositif cinématographique permet une captation dans un espace-temps d’un objet donné et que c’est

imaginer  des  comédies­ballets  comme  Le  Bourgeois­gentilhomme.  Dans  ces  pièces,  Molière  met  en  avant  les  défauts  des  hommes  en  les  stigmatisant  ce  qui  rend  ses  personnages  ridicules  et  donc  comiques.  Dans  Le  Misanthrope,  Molière  imagine  le  personnage  d’Alceste,  un  gentilhomme  amoureux  de  la  vérité  au  point  de  prôner  la  franchise  dans  toutes  les  situations,  au  point  qu’il  déclare  préférer  s’exiler  dans  un  désert  que  de  continuer  à  côtoyer 

politique et, bien entendu, ethnique. Il ne serait cependant pas inutile de mentionner la création dans les années 50 du groupe socialement et économiquement pauvre des ouvriers étrangers à qui, alors, les portes étaient grandes ouvertes. En vérité, l’Europe, accablée par la deuxième guerre mondiale, accueillit tous les émigrants considérés comme une aubaine sans penser, du reste, au problème de l’intégration. Et bien qu’à l’heure actuelle, l’Etat français prône l’égalité des chances en donnant

pas définissable hors il y a plein de façon de définir l'homme. 3. La subjectivité d'après Sartre est la base de sa philosophie car « nous voulons une doctrine basée sur la vérité, et non un ensemble de belles théories, pleines d'espoir mais sans fondements réels ». De plus pour Sartre « il ne peut pas y avoir de vérité autre, au point de départ, que celle-ci : je pense donc je suis ». Il y a deux subjectivité, la subjectivité cartésienne et la subjectivité existentielle. Il y a la « subjectivité

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