Label rouge

 L'extrait de texte qui nous ai donné en étude - Thérèse Raquin de Zola - est de type descriptif. Tout d'abord, dans la décoration du magasin, les couleurs froides dominent avec « les boiseries d'un vert bouteille » (ligne 1/2) que les « pelotons de laine verte » (l. 18/19) rappellent à l'intérieur même de la devanture ; les vitrines et étagères sont tapissées d'un « papier bleu » (l.6) et des ronds de « papier bleuâtre » (l. 21), il n'y a pas de contraste ; le suffixe « âtre » est même péjoratif :

couleur. L’œil capte, par le biais de récepteurs les radiations vertes, bleues et rouges. Il s'agit des trois couleurs primaires de la synthèse additive. On parle de trichromie. Les principes de la synthèse additive sont les suivantes : Rouge+Vert=Jaune Vert+Bleu=Cyan Rouge+Bleu=Magenta Le jaune, le cyan et le magenta sont des couleurs secondaires. Synthèse additive (Schéma réalisé avec illustrator) Si l'objet observé est de couleur primaire, tel que le bleu, c'est qu'il a absorbé les radiations rouges

l'Affiche Rouge Thématique: Arts, Etats et  pouvoir période: XX° Problématique: Représentation et mise en scène du pouvoir: la propagande. Quels procédés sont utilisés dans cette affiche au service de la propagande du régime au pouvoir?     Contexte: Le 21 février 1944, les murs de Paris sont couverts de grandes affiches rouges qui annoncent l'exécution de 23 "terroristes" du groupe dirigé par Michel Manouchian,membre des FTP (Francs Tireurs Partisans), qui avaient organisé des actions de guérilla

« Il y avait toujours une trêve du petit matin, à l'heure où la terre sue sa fumée naturelle. La rosée brillait sur la capote des morts. Le vent de l'aube, léger et vert, s'en allait droit devant lui. Des bêtes d'eau pataugeaient au fond des trous d'obus. Des rats, aux yeux rouges marchaient doucement le long de la tranchée. On avait enlevé de là-dessus toute la vie, sauf celle des rats et des vers. Il n'y avait plus d'arbres et plus d'herbe, plus de grands sillons, et les coteaux n'étaient que

reflètent quelque chose de détruit. La "bouche ouverte" est une caractérisation de la mort du soldat ; sa tête est nue car son casque a roulé par terre ; "la nuque baignant" vers 6 signifie qu'elle baignait dans le sang, c'est à dire le sang sur l'herbe : rouge du sang + vert de l'herbe = cresson bleu.     "Etendu" signifie un corps sans vie et le "lit" du vers 8 devient un lit de mort. Les glaïeuls évoquent les fleurs que l'on posent sur une tombe => il a les pieds dans les glaïeuls. Plus rien ne bouge,

Volet 1 : Tableau-synthèse Veuillez remplir les espaces prévus à cet effet. « Le dormeur du val », de Rimbaud Tableau-synthèse Déduction Repérage des illustrations Interprétation Idées principales et thèmes Procédés d’écriture Preuves textuelles Explication de l’illustration Oppositions dénonçant la guerre L’opposition entre la nature et l’état du soldat aide Rimbaud à critiquer la guerre, car la nature représente une vie paisible et calme. La présence du soldat affaibli et blessé par la guerre

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reflètent quelque chose de détruit. La "bouche ouverte" est une caractérisation de la mort du soldat ; sa tête est nue car son casque a roulé par terre ; "la nuque baignant" vers 6 signifie qu'elle baignait dans le sang, c'est à dire le sang sur l'herbe : rouge du sang + vert de l'herbe = cresson bleu.     "Etendu" signifie un corps sans vie et le "lit" du vers 8 devient un lit de mort. Les glaïeuls évoquent les fleurs que l'on posent sur une tombe => il a les pieds dans les glaïeuls. Plus rien ne bouge,

Romane Kirsch 1er4 S Séance 1 – Incipit de Germinal Introduction En 1885, Zola, écrivain du XIXe siècle, rédige Germinal, qui retrace la dure vie des mineurs dans le Nord de la France. L’incipit du roman nous plonge dans un milieu hostile : un homme marche dans le froid et la nuit, puis aperçoit les feux rougeoyants d’une fosse. Tout d’abord une description réaliste est proposée au lecteur. Ce réalisme se voit par la suite transcendé par une dimension symbolique et fantastique. Mais comment Zola

constitue un acte de mépris de ceux qui gouvernent à l'égard des peuples -Analogies : « crachats rouges de mitrailles » : Métaphore (mitraille = crachats rouges) → compare coups de feu à des crachats , métonymie (mitraille, guerre = sang, couleur rouge) → Associe idée des blessures provoquées (plaies, vomissement de sang) ; Formule utilisée connote le mépris à l'égard des soldats (mitraille personnifiée) → Crachats rouges de la mitraille = allégorie de la guerre = monstre cracheur de feu -v.4 :