Lac de Neuchâtel

croyais connaître admirablement tous les entours de la commune ; mais passé la ferme de la Saudraie, l’enfant me fit prendre une route où jusqu’alors je ne m’étais jamais aventuré. Je reconnus pourtant, à deux kilomètres de là, sur la gauche, un petit lac mystérieux où jeune homme j’avais été quelquefois patiner. Depuis quinze ans je ne l’avais plus revu, car aucun devoir pastoral ne m’appelle de ce côté ; je n’aurais plus su dire où il était et j’avais à ce point cessé d’y penser qu’il me sembla, lorsque

croyais connaître admirablement tous les entours de la commune ; mais passé la ferme de la Saudraie, l’enfant me fit prendre une route où jusqu’alors je ne m’étais jamais aventuré. Je reconnus pourtant, à deux kilomètres de là, sur la gauche, un petit lac mystérieux où jeune homme j’avais été quelquefois patiner. Depuis quinze ans je ne l’avais plus revu, car aucun devoir pastoral ne m’appelle de ce côté ; je n’aurais plus su dire où il –5– était et j’avais à ce point cessé d’y penser qu’il me sembla

territoire et une autre régit les constructions. A Neuchâtel, on a la LCAT et la LConstr. Il n’y a cependant toujours qu’une seule procédure : les deux textes sont appliqués par la même autorité au même moment, c’est-à-dire au moment où l’on délivre l’autorisation de construire. Il existe aussi une législation d’application de ces lois. A Fribourg, il y a le ReLATec (règlement relatif à l’aménagement du territoire et aux constructions), à Neuchâtel, il y a des ordonnances (ReLCAT et ReLConstr)

connaître admirablement tous les entours de la commune ; mais passé la ferme de la Saudraie, l’enfant me fit prendre une route où jusqu’alors je ne m’étais jamais aventuré. Je reconnus pourtant, à deux kilomètres de là, sur la gauche, un petit lac mystérieux où jeune homme j’avais été quelquefois patiner. Depuis quinze ans je ne l’avais plus revu, car aucun devoir pastoral ne m’appelle de ce côté ; je n’aurais plus su dire où il – 5 – était et j’avais à ce point cessé d’y penser qu’il

Belgique et le Congo. empreintes d'une colonie (1885-1980), Complexe, 2007. Voir : sites du musée royal de Tervuren (excellente base de données en ligne de diverses collections, art, photos, musique…), musée du quai Branly, musée ethnographique de Neuchâtel (excellente base de données) 1874-1877 : Exploration du fleuve Congo par Henry Morton Stanley 1876 : Fondation de l’Association Internationale Africaine (AIA) par Léopold II de Belgique 1879 : Retour de Stanley au Congo pour coloniser des terres

devient pensionnaire à la maîtrise de la cathédrale d’Annecy.  En 1730, il fait un long périple à pied : Nyon, Fribourg, Lausanne, Vevey, Neuchâtel, où il donne des leçons de musique.  En 1731, à Boudry, il devient interprète d’un faux archimandrite qu’il suit à Neuchâtel, Fribourg, Berne et Soleure où l’escroc est démasqué. Il effectue un nouveau séjour à Neuchâtel, puis part pour Paris. Il revient à Chambéry par Lyon où il travaille comme employé au cadastre de Savoie.  En 1732, il est maître de

parfaitement l’affaire. Ainsi, une léproserie, aujourd’hui démise de ses anciennes fonctions médicales et par ailleurs visitable, fut érigée près des bains de Ragaz, dans les Grisons, et une autre à Rapperswil, dans le canton de St-Gall, au bord du lac de Constance. Il arrivait parfois qu’une grande ville dispose de deux ou plusieurs léproseries, comme ce fut le cas à Genève, où les maladreries de Carouge et de La Chêne se côtoyèrent pendant près de 300 ans. Ce fut également le cas à Zürich, où

L’Émile et Du contrat social sont brûlés. Rousseau sent que la malédiction s’étend sur lui dans toute l’Europe. Il trouve refuge dans les États du roi de Prusse, malgré son aversion pour ce monarque. Il se fixe à Môtiers-Travers, près de Neufchâtel [Neuchâtel], pendant près de deux ans. L’amitié de George Keith, gouverneur de Neufchâtel et très lié à Frédéric II, lui donne ses derniers souvenirs heureux. Frédéric propose de lui faire bâtir une maison et l’assure de sa protection. Rousseau change d’opinion

salissez pas votre juste célébrité de pareille solidarité (…). Cher, bien cher, respectez-vous (…)31. » En janvier 183332, il commence sa correspondance avec la comtesse Hańska, une admiratrice polonaise qu'il rencontre en Suisse au bord du lac de Neuchâtel, puis en Saxe, et en Russie, et qu'il va courtiser pendant dix-sept ans32. La première lettre de Madame Hanska lui a été envoyée le 28 février 1832. Signée L'Étrangère, elle lui demandait de lui en accuser réception dans le journal La Quotidienne

petite maison au penchant d'un vallon », près de Chambéry, que Les Confessions ont rendue célèbre : « les Charmettes ». Mme de Warens est à l'origine d'une grande partie de son éducation sentimentale et amoureuse. En 1730, il voyage à pied jusqu'à Neuchâtel, où il enseigne la musique. En 1732, il revient à Chambéry, où il travaille aux services administratifs du duché de Savoie, puis comme maître de musique auprès des jeunes filles de la bourgeoisie et de la noblesse chambériennes. Il séjourne près