Laideur Au Moyen âge

L’âge d’or de cette poésie est le Moyen-Age. Baudelaire, de part sa citation s’est inspiré de cette idéologie au profit de son art. C’est un poète qui aime transformer, transmuter et surtout sublimer. Faire ressortir l’esthétique de la laideur est pour lui un procédé intéressant. La laideur est une source de découverte, à travers elle le poète peut déchiffrer le monde, atteindre son essence (peut-être même mieux qu’avec la beauté). Cette transfiguration de la laideur en beauté, cette découverte de

particulièrement la caricature sont, pour les artistes, des moyens d'informer le peuple et d'exprimer leur opinion. Cette opinion, le plus souvent, cherche à critiquer et mettre en valeur les défauts de personnages comme de grands hommes politiques. Pour parler de caricature, on emploie également les termes de dessin satirique, de simulacre.. La caricature prend ses racines dans les figurations grotesques de l’Antiquité et du Moyen Âge. Mais l’arrivée de l’imprimerie au 16 siècle permet aux représentations

La sorcière au Moyen-Âge a rencontré de nombreuses représentations iconographiques à travers le Bas Moyen-Âge (XIIIème-XVème siècles). En effet, la femme au Moyen-Âge est associée à la sorcière par sa nature . Elle devient même la sorcière à partir du XIIIème siècle. La sorcière est une créature typiquement féminine, associée à la séduction, la perversion sexuelle et à la malice (elle cherche à précipiter l’homme dans l’Enfer et à le faire souffrir). Les images servent ces idées misogynes très

et rares. Il montre aussi que l’histoire occidentale dans cette période est marquée par des fluctuations du rôle social et politique des vieillards et que si l’évolution est en dents de scie, la tendance générale est à la dégradation. Chapitre I Le Moyen-Orient ancien : le vieillard entre le mythe et l’histoire Dans les sociétés primitives préhistoriques, en période favorable, le vieillard jouit d’une situation enviable : il est honoré, respecté et joue un rôle social important ; il est aussi le dépositaire

de fournir un prétexte à l’aventure que d’assurer un lien métonymique entre arma et amor. Finalement, la relation qu’entretient le chevalier avec ces demoiselles est chaste et dénuée de tout érotisme. Ces remarques sont des motifs récurrents au Moyen Âge, puisés dans un fond culturel commun. Si un roman ou le passage d’un roman ne correspond pas à ces conventions, il est alors nécessaire de chercher le sens de cette divergence. Structure des deux récits Commençons par comparer la structure de base

se trouve à l'extérieur de l'histoire. L'action se passe je pense au moyen-age parce que l'on parle de reine et de princesse. Le personnages principal du conte est «Riquet à la houppe». Il vit d'un milieu noble, il a énormément d'esprit mais son grand problème est qu'il est très laid. C'est une fée à sa naissance qu'il lui donna le don d'avoir beaucoup d'esprit. Il a pour but d'épouser une très belle princesse malgré sa laideur. A la fin du récit Riquet à la houppe devient beau et épouse une magnifique

a été choquée de voir un homme d’une telle laideur. La fascination a donc été la première réaction, mais la peur a vite repris le dessus laissant place à de violentes critiques négatives sur ce dernier. La Belle et la Bête, est un conte qui fut publié en 1740 par Mme de Villeneuve. Comme ce roman, cette œuvre comporte un monstre. Le but de ces deux auteurs, est d’apprendre aux lecteurs qu’il faut bien savoir distinguer la laideur morale de la laideur

par Bob Claessens qui se déroula à Bruxelles le 20 février 1968. Cette conférence se nomme «  Pourquoi les artistes peignent ils un monde laid ? » Selon l’auteur, depuis que les hommes peignent, ils ont toujours voulu représenter le problème de la laideur même si de façon générale, l’esthétique était le but premier. Ceci préoccupe les critiques d’arts et c’est ce que Bob Claessens va tenter de déchiffrer. Au XIXe siècle, deux tendances dominent la peinture mais aucune des deux ne voulait représenter

De plus le fait que Rimbaud prête à vénus « des cheveux bruns » contribue à dévaloriser Vénus aux cheveux normalement  blonds vénitiens. Les adjectifs dépréciatifs "lente et bête qui rime avec "tête"" associent à la laideur physique l'idée dégradante d'une déficience intellectuelle et d'animalité . Le verbe "émerge" suggère l'idée d'un mouvement qui va se poursuivre .On constate donc dès ce premier quatrain une première inversion de la représentation traditionnelle de

les souffrances liées à la mort ou à l’amour, ne revienne à valoriser la vie et le sentiment amoureux. Dès lors, on peut se demander si la poésie n’est pas forcée de n’évoquer que la beauté des choses et des êtres, sans pouvoir aborder le mal ou la laideur du monde. La poésie ne doit-elle parler que de ce qui est beau ? Sa seule fonction se limite-t-elle à louer le monde ? Ne pourrait-elle pas aussi avoir, comme le roman ou le théâtre, un rôle critique ? D’autre part, si le poète cherche à créer de