Laideur Au Moyen âge

date, une espèce de mépris qui pourrait bien rejaillir de celui que dans certains moments nous avons de nous-mêmes. » (Histoire de ma vie [HMV], vol. 9, p. 371) Écrire en français Il ne fait aucun doute pour Casanova qu’écrire en français est un moyen de s’ouvrir à un vaste lectorat. Le français est alors la langue aristocratique de la politique et de la diplomatie, celle de Voltaire, Diderot, Gassendi et d’autres. Choisir le français, c’est choisir le « grand théâtre du monde », et c’est surtout

Virginia Woolf s’interroge alors sur la condition de la femme à travers les siècles, en partant du principe que les romans étaient ancrés dans la vie réelle et concrète.  Elle examine plus particulièrement le statut des femmes au Moyen-Age, en différenciant bien la femme réelle de la femme de fiction  (ex : Antigone, Lady Macbeth, Desdémone, Clarisse, Cressida, Anna Karenine, etc.). De nouveaux lieux communs et préjugés surgissent : « En réalité, (…) la femme était enfermée

chaque admirateur dans différentes pièces. Les bouquets de fleurs n’arrêtent plus d’arriver et les demandes de visites ne font qu’augmenter. Les relations avec ses amants commencent donc. Dans ses premières apparitions, elle vit au dessus des ses moyens, elle n’a pas encore d’argent mais elle souhaite pouvoir s’occuper de Louiset et s’endette donc, dans ses débuts. La jeune femme atteint des hommes de plus en plus hauts placés ; elle reçoit les hommages d’un Prince qui est venu la voir jouer trois

langage.29 L’illusion dans laquelle vit Emma est celle des honneurs passés, d’une époque chevaleresque et courtoise de nouveau à la mode grâce au Romantisme30. Et son prénom évoque cette époque bénie de la courtoisie. En effet beaucoup de reines, au Moyen Age, ont porté ce prénom31 ; ce sont pour la plupart des princesses carolingiennes ; mais n’oublions pas aussi qu’Emma, cherchant un prénom pour sa fille, « aimait assez Galsuinde, plus encore Yseult ou Léocadie » ; Galsuinde fut la deuxième épouse du

la nomination que par l’épreuve). Elle est seule, représentée soit au moment de la fuite (illustrations 3 et 5), soit dans la forêt (illustrations 1 et 2), ou à la fontaine (illustration 4), c’est-à-dire au moment où elle doit affronter pauvreté, laideur et solitude. Ces images mettent en avant l’épreuve vécue, elles appellent la compassion, mais certains éléments suggèrent le merveilleux (la baguette magique, le dessin même des fleurs et des arbres) et laissent présager une fin heureuse, d’autant

mesure une ballade de circonstance. Au sortir de la représentation écourtée, la duègne de Roxane, cousine de Cyrano (qu'il aime en secret d'une passion ardente, sa verve se faisant alors romantique mais sa fierté lui faisant garder le silence et sa laideur lui enlevant tout espoir) le fait mander : elle demande à le voir. Fou de joie, Cyrano, dont les forces semblent décuplées, se lance allègrement à la défense d'un ami à qui cent hommes ont tendu un guet-apens à la porte de Nesle.   ACTE Il : ‘’La

trouvée. - Et tu tiens le coup ? 10 - On verra. Je n'osai pas lui poser plus de questions, de peur de la mettre mal à l'aise. Sans doute n'avait-elle pas les moyens de se payer un logement étudiant. Au bas de mon immeuble, je pris congé. - C'est chez tes parents ? demanda-t-elle. - Oui. Toi aussi, tu vis chez tes parents ? -Oui. - À notre âge, c'est normal, ajoutai-je sans trop savoir pourquoi. Elle éclata de rire, comme si j'avais dit quelque chose de ridicule. J'eus honte. Je ne savais pas si j'étais

HISTOIRE DES ARTS : La rénovation de la peinture autour de 1600 : Le moyen-âge, la Renaissance (15ème), le maniérisme (deuxième moitié du 16ème). Au tout début du 17ème es artistes se retrouvent dans une sorte d’impasse artistique, le maniérisme ne permet plus aux artistes de progresser, d’innover, d’inventer. Les peintres maniéristes se sont enfermés dans la répétition, le stéréotype et se sont éloignés de la nature. Il appartient donc à des peintres puissants de briser les schémas convenus

Somme théologique sous la main, apprennent des choses comme celles-ci : Ce que l’art ajoute à la nature. L’homme vit d’art et de raisons ; il vit d’art à commencer par l’art culinaire, l’art de se vêtir, de chasser, de se défendre, etc. Ensemble de moyens, de procédés réglés pour atteindre une fin, dit moins bien le Petit Robert, car les vertus spéculatives tendent à une fin elles aussi. Au lieu de « pour atteindre une fin », il eût été préférable de dire 24 Commentaire du traité De l’âme, III

25 28 manifestent la colère du poète et évoquent l’idée selon laquelle le travail infantile est contre nature, cette idée sera mis en valeur une nouvelle fois avec l’opposition à la création divine «défait ce qu’a fait Dieu », ou encore beauté en laideur «Apollon un bossu » et l’intelligence à la stupidité «Voltaire un crétin ».Enfin Victor Hugo prononce des imprécations en recourant au subjonctif «soit maudit », et les derniers vers soulignent l’opposition entre le travail des enfants et des adultes