Laideur Est Une Réalité Objective

voué à l'échec. L'auteur dénonce les préjugés de la société, et promeut un idéal, celui d'une société sans barrières sociales. Pour lui, les sentiments n'ont rien à voir avec la position sociale des personnes. César, mais il refuse. Don César est en réalité un noble qui, par la force des choses, est devenu un vagabond. Alors après le refus de celui-ci, Don Salluste décide de le vendre comme esclave et de prendre Ruy Blas, son valet. Ce dernier aime la reine, mais en silence.Don César finit par revenir

enflamment les gens, les abrutissent, puis les réduisent en esclavage. On s'apercevra certainement que les répliques de Botard, de Jean, de Dudard ne sont que les formules clés, les slogans des dogmes divers cachant, sous le masque de la froideur objective, les impulsions les plus irrationnelles et véhémentes. Rhinocéros est aussi une tentative de « démystification ». Ionesco, « Préface pour Rhinocéros » (novembre 1960), Gallimard, « Folio », dans Notes et contre-notes, p. 27 3-275.

artistes sont-ils utiles ? En quoi peut-on dire que l'art fait appel a l'imagination ? En quoi peut-on dire que l'art fait appel a l'imagination ? (Art) Comment l'artiste dépasse t-il les limites du langage et sa codification ? (Art) Peut-on voir la réalité directement telle quel est ? (a partir d'un texte de Bergson) (Art) Y a-t-il un progrès dans l'art ? (Art) L'artiste imite t-il le réel ? L'art nous permet-il de nous libérer du temps ? (L'art) En quoi la beauté artistique est-elle supérieure a la

tandis que les défauts contraires, comme la laideur et la méchanceté, les ruinent et les détruisent ». 10. Ce merveilleux idéal réfléchit les aspirations imaginaires des hommes dans des idées qui les séduisent par le pouvoir de béatitude qu’elles recèlent. Terrible est la désillusion lorsque la conscience des faits en vient à contredire la fiction métaphysique et morale. Les croyances en cette belle bonté n’étaient que falsification d’une réalité tragique, par essence et par destination. Avant

à la notion d’inspiration pour rendre compte de la production artistique ? - Faut-il renoncer à définir le beau ? - L’art a-t-il pour fonction d’exprimer ce qui échappe à la science ? - L’art change-t-il la vie ? - L’art doit-il s’intéresser à la laideur ? - L’art doit-il suivre la nature ? - L’art est-il dérangeant ? - L’art est-il inutile ? - L’art est-il l’expression d’une révolte ? - L’art est-il moins nécessaire que la science ? - L’art est-il un divertissement ? - L’art est-il un luxe ? - L’art

n'apparaisse qu'au XVIIᵉ, il y a de nombreuses « biographie » dans l'antiquité et au moyen-âge: les hagiographies. Au moyen-âge les frontières entre biographie et histoire sont très flous, tout comme l'écrit et les faits. L'histoire comme une discipline objective au XVIIᵉ. Au XIXᵉ et XXᵉ avec la philosophie et les réflexions théoriques sur le sujet, la compréhension historique n'appartient pas à la connaissance mais elle appartient à la théorie de l'être. Ni l'historien, ni le biographe ne peuvent espérer

à la notion d’inspiration pour rendre compte de la production artistique ? - Faut-il renoncer à définir le beau ? - L’art a-t-il pour fonction d’exprimer ce qui échappe à la science ? - L’art change-t-il la vie ? - L’art doit-il s’intéresser à la laideur ? - L’art doit-il suivre la nature ? - L’art est-il dérangeant ? - L’art est-il inutile ? - L’art est-il l’expression d’une révolte ? - L’art est-il moins nécessaire que la science ? - L’art est-il un divertissement ? - L’art est-il un luxe ? - L’art

problème est : je sais que je suis, mais je ne sais pas qui je suis : il faut donc savoir « ce que je suis, moi qui suis certain que je suis » On peut remarquer que dans sa citation, Descartes passe du « je » au « moi ». Le « moi » est une identité, une réalité permanente : c’est le fait d’être unique, ce que l’on nomme la substance (ce qui reste en soi sur les apparences) ; mais c’est aussi ce qui unifie les diverses perceptions et pensées de l’homme. Aussi nombreuses soient-elles, « il est de soi si évident

aventures anthropomorphiques (avec des animaux ex: Les 101 dalmatiens). Mais il s'est avéré que depuis une vingtaine d'années, beaucoup d'artistes, de créateurs et de cinéastes ont utilisé cette technique d'animation pour représenter une certaine réalité. Ils incorporent des phénomènes de société comme « la famille ». Le dessin animé est donc, en quelque sorte, devenu une institution, une culture. Il a su évoluer au fil du temps tout en s'adaptant aux changements des mentalités pour faire passer un

eût vécu, se plaisait à dire Mme Maupassant, il eût fait de mon fils un poète.8 Revenons maintenant à nouveau dans sa jeunesse, à Etretat où notre écrivain fréquentait le séminaire d’Yvetot, puis le lycée de Rouen où en croyant seulement à la réalité et aux choses flagrantes, il avait beaucoup de problèmes religieux ; venant du fait, il n’est jamais devenu chrétien. De plus, le christianisme le faisait sourire. Il s’intéressait plutôt aux mœurs humaines, au monde, au peuple, en général à la