Laideur La Fille Laide

physiquedistinctif (cf définition du Littré : étymologie : on dit qu’ennormand, riquet veut dire contrefait, bossu), et la« Princesse » est définie par son statut social (jeune fille nobleà marier).-Des personnages stylisés : autant la Princesse est laide (maiscela n’apparaît pas dans cet extrait), autant Riquet accumuleles traits de laideur (3è paragraphe du texte), ce qui lerapproche du monstre.-Surtout, des systèmes d’opposition, binaires (beau/laid), misici en valeur par la transformation du personnage

commun à toutes ces activités: la pédagogie. C’est en Angleterre qu’elle entreprend de rédiger une série de comptes moraux. Le célèbre «La belle et la bête» appartient à cette veine didactique. Il s’agit de montrer qu’à la laideur physique ne s’associe pas nécessairement la laideur morale. Nous verrons que si la bête est un monstre physique il gagne néanmoins ses qualités d’humanité. I- La monstruosité Trois opinions semblent confirmer la bestialité du personnage masculin : celle du narrateur

elle paraissait abbandonné. Cepandant quelqu'un habitais belle et bien dans cette demeure , quelqu'un pas plus haute que cinqs pommes. Une jeune fille nommée Hermione agée de douze année c'etais réfugié dans cette bicoque à la mort de es parents en 1883. Réfugié , car personne ne l'aimé a cause de son étrange physique. Hermione etais laide , d'une laideur a en faire piquer les yeux . Sa chevelure rousse grasse et terne donnée un coté d'horreur à son visage hornée par des millions de taches de rousseur

De tout temps, l’imaginairede la laideur fut associé au mal , en correspondance avec les monstres, le diable, le pervers, le malade ; elle est maléfique et entraîne répulsion et crainte.On peut alors se demander quel impact la beauté a dans la vie quotidienne. Fondamental ! Ses facteurs

est petit, inférieur au beau, tandis que le sublime renvoit à l’élevé, le grand. Comment définir la beauté ? Hippias Majeur, Platon. Hippias peine à trouver une définition de la beauté : il le définit à travers deux exemples, une « belle jeune fille » et « le beau n’est autre chose que l’or » : c’est insuffisant et n’explique pas la beauté !, puis par son contraire, le laid (en quoi ça nous avance ?). Au terme du dialogue, Socrate conclut par une aporie «  Les belles choses sont difficiles »

ravissante et riche propriétaire terrienne, adore son fils Patrice, mais cet adolescent d'une beauté admirable est idiot, ce qu'elle refuse d'admettre, d'où le nom de "belle bête." Par contre, cette femme n'éprouve que dégoût envers sa fille aînée, Isabelle-Marie, qui est laide. Devant ce rejet, celle-ci, tout en idéalisant le père mort, jalouse son frère et haït l'injuste mère d'une égale passion qui la consume. Dans sa souffrance solitaire, elle s'adonne entièrement à la culture des champs et à son ressentiment:

princesse n'aurait point d'esprit, et qu'elle serait aussi stupide qu'elle était belle. Cela mortifia beaucoup la reine; mais elle eut, quelques moments après, un bien plus grand chagrin: car la seconde fille se trouva extrêmement laide. - Ne vous affligez point tant, madame, lui dit la fée, votre fille sera récompensée d'ailleurs, et elle aura tant d'esprit, qu'on ne s'apercevra presque pas qu'il lui manque de la beauté. - Dieu le veuille, répondit la reine; mais n'y aurait-il point moyen de faire

Bête/comportement II- Et aussi didactique --> Recours à la forme de dialogue -> Facilite la réflexion -> Présent de vérité général, le dialogue tourne autour de l’antithèse apparence/réalité --> Antithèse Belle/Bête : [la Bête] « elle est si laide »/  [la belle] « elle est si bonne » --> Évolution des réactions de la Belle, elle n’a plus peur du monstre Incitation à quitter nos préjugés Conclusion : Il y’a des ingrédients du merveilleux, qui sont au service d’une réflexion morale. L’auteur

l'influence du célèbre Daniel Defoe, qu'elle entreprend de rédiger une série de traités d'éducation et de contes moraux. Le désormais célèbre "La Belle et la Bête" appartient à cette veine didactique. Il s'agit de montrer qu'à la laideur physique ne s'associe pas nécessairement la laideur morale. Nous verrons dans l'extrait proposé que si la Bête est un monstre physique, il gagne néanmoins par ses qualités ses galons d'humanité. La monstruosité Trois opinions semblent confirmer la bestialité du personnage

En effet, ce dernier tente de tuer la Dame sans Orgueil, car il l'aime, mais elle en aime un autre. Arthur, guidé par Amour, suit sa requête et l'accompagne jusqu'à sa cour, afin de concourir contre Lion sans Merci (§5), dont l'amie est extrêmement laide, cela pour prouver que la Dame sans Orgueil est la plus belle. Il gagne le concours et remporte par la même occasion le papegau (§6). Il continue ensuite sa route avec Belle sans Vilénie et parvient à tuer le Poisson Chevalier, délivrant ainsi la Dame