Lalie Bijard

sans doute la réalité, il montre des ouvriers fiers de leur ouvrage mais il dénonce l'impasse sociale dans laquelle ils se trouvent. Parmi les scènes de misère, un des sommets est atteint avec le martyr des enfants Bijard: le père ivrogne tue sa femme d'un coup de pied au ventre, Lalie, leur fille aînée, élève son frère et sa sœur, malade elle meurt des sévices infligés pas son père. C'est ce réalisme qui va susciter le succès du roman, à travers ce roman Zola adresse un message il dénonce les problèmes

Il y a aussi parmi les scènes de misère, le martyr des enfants Bijard : le père, ivrogne, tue sa femme d’un coup de pied au ventre ; Lalie, leur fille aînée, élève son frère et sa sœur ; malade, elle meurt des sévices infligés par son père.

distille ce poison qu’est l’eau-de-vie est le lieu central du roman : il causera la perte des personnages. D’autres passages du roman décrivent les effets de l’alcool : on peut penser à la scène de délirium tremens de Coupeau et aussi à Bijard qui martyrise Lalie sous l’emprise de ce poison. Le roman se terminera par la mort des deux personnages. Quant à la petite Nana, elle illustrera le déterminisme social : livrée à elle-même, elle grandira ds la rue et deviendra prostituée. Ces personnages de

seules instances au cours desquelles l’auteur démontre les effets néfastes de l’alcool sur le plan individuel, familial et social.  Parmi les scènes de misère, un des sommets est atteint avec le martyr des enfants Bijard : le père, ivrogne, tue sa femme d’un coup de pied au ventre ; Lalie, leur fille aînée, élève son frère et sa sœur ; malade, elle meurt des sévices infligés par son père. ------------------------------------------------- La déchéance de la classe ouvrière   C’est celle d’une femme

est en quasi-permanence ivre, ne respecte que rarement le protocole et effraie Gervaise. Adèle : sœur de Virginie, Lantier quitte Gervaise pour être avec Adèle. Le père Bru : vieil homme très pauvre, habitant dans l'immeuble des Lorilleux Eulalie Bijard : fille d'un serrurier alcoolique ; encore enfant, meurt, comme sa mère peu de temps auparavant, sous les coups de son père alors qu'elle élève son petit frère et sa petite sœur. Commentaires Préparation et origines alternative de l'image

marteau avec noblesse. Zola montre des ouvriers fiers de leur ouvrage mais il dénonce l’impasse sociale dans laquelle ils se trouvent. Parmi les scènes de misère, un des sommets est atteint avec le martyre des enfants Bijard : le père, ivrogne, tue sa femme d’un coup de pied au ventre ; Lalie, leur fille aînée, élève son frère et sa sœur ; malade, elle meurt des sévices infligés par son père. Accueil du livre[modifier | modifier le code] Le roman parait en feuilletons dans le journal républicain radical

marteau avec noblesse. Zola montre des ouvriers fiers de leur ouvrage mais il dénonce l’impasse sociale dans laquelle ils se trouvent. Parmi les scènes de misère, un des sommets est atteint avec le martyre des enfants Bijard : le père, ivrogne, tue sa femme d’un coup de pied au ventre ; Lalie, leur fille aînée, élève son frère et sa sœur ; malade, elle meurt des sévices infligés par son père. Accueil du livre Le roman parait en feuilletons dans le journal républicain radical Le Bien Public à partir du

noce »[37] Motif de voyeurisme, c’est par la porte que Nana assiste à la scène d’amour entre Lantier et sa mère. Même le « jeu » des enfants dans le roman est mis en scène. Lalie prend l’allure d’un acteur en feignant d’accueillir M. Hardi (Le vent). Elle joue pour faire rire ses petits frères. Or, à l’arrivée de Bijard, « la scène changea »[38]. La visite de Gervaise aux Lorilleux et à Goujet dans l’atelier est d’ordre dramatique. Ce forgeron est notamment rehaussé au rang des figures mythologiques

patronne) matérialisation d'un idéal mais dettes, laisser aller d'une Gervaise bouffie et malléable : déclin de la mère et du fils: sénescence et ivrognerie . 6. Quartier séduit et amours idéalisées (Goujon) mais double évocation du Mal : Lantier et Bijard. Le sommet romanesque 7. Chapitre clef de voûte .Fête de l'oie : apothéose ruineux…repas rabelaisien. Mais présence du père Bru qui préfigure l'itinéraire de Gervaise et retour de Lantier . Une phase descendante Decrescendo 8 .Deux

[Victime des sévices d'un père alcoolique, la petite Lalie Bijard agonise sous l'œil navré de Gervaise.]   Gervaise, cependant, se retenait pour ne pas éclater en sanglots. Elle tendait les mains, avec le désir de soulager l'enfant; et, comme le lambeau de drap glissait, elle voulut le rabattre et arranger le lit. Alors, le pauvre petit corps de la mourante apparut. Ah ! Seigneur ! quelle misère et quelle pitié ! Les pierres auraient pleuré. Lalie était toute nue, un reste de camisole aux épaules en