Lambaréné

qui pourrait, dans certains cas, permettre à l'individu d'en finir avec ses démons et d'affronter la vie en se forgeant de nouvelles armes.L'iboga pour décrocher L'un des principes actifs de l'iboga, l'ibogaïne, fut le principal constituant du Lambarene®, un médicament (retiré du marché en 1966) dont Albert Schweitzer et Haroun Tazieff se servaient à faible dose pour combattre la fatigue. Un rituel bien précis L'iboga qu'on trouve au Congo, au Cameroun et au Gabon se prend toujours dans le cadre

Mâ dzô nâ .. 18. Je suis seul = Me n’étam 5.2. Le punu[19] Le punu est parlé par 12% de la population gabonaise, surtout dans les provinces du Ngounié et de la Nyanga. Il est concentré surtout dans les villes et on le retrouve même à Lambaréné (en Moyen-Ougooué) et dans la capitale du pays, Libreville. Le tableau suivant montre les emprunts du punu à l’anglais, au portugais et au français : |Singulier |Pluriel |Origine |Langue source |Glosse

scories d’ISS 4, VIA 3, LAL 1 et EBO montrent une technique qui les place dans la même fourchette chronologique évolutive que ce site OTOUMBI 2. C. Le site de KANGO (Estuaire) Située à une centaine de kilomètres de la capitale en direction de Lambaréné, le secteur de Kango révèle des industries du M.S.A. On y a découvert un outillage macrolithique, obtenu directement sur galet. Il comprenait, entre autres, un hachereau en quartzite, des bifaces grossiers, des rabots. Ces pièces lourdes portaient

Airtel Gabon va étendre son réseau à l'intérieur du pays * Du 22 au 28 novembre 2002: Extension du réseau à Franceville, Mounana et Moanda * 26 octobre 2002: Extension du réseau Oyem * 2 juillet 2002: Extension du réseau à Ndjolé et à Lambaréné * 10 octobre 2001: Extension du réseau GSM à Ntoum et à Kango * 4 décembre 2001: Extension depuis POG du réseau jusqu'à Gamba * 24 septembre 2000: Ouverture commerciale sur le réseau de Port-Gentil * 1 août 2000: Interconnexion

Jacques Foccart, n’acceptant pas le renversement de Léon M’Ba, fomenta un contre-coup d’État pour le réinstaller au pouvoir. Mon ami Ekoh m’écrivit du lieu qu’il appelait « camp de concentration de Dom-lèsBam », avant d’être jugé lors du procès de Lambaréné. Par un heureux hasard, Aristide Issembé, ambassadeur du Gabon à Washington et à l’ONU, que je connaissais bien, fut nommé procureur et me demanda de lui rédiger l’introduction de son réquisitoire. Espérant pouvoir faire porter la responsabilité

Jacques Foccart, n’acceptant pas le renversement de Léon M’Ba, fomenta un contre-coup d’État pour le réinstaller au pouvoir. Mon ami Ekoh m’écrivit du lieu qu’il appelait « camp de concentration de Dom-lèsBam », avant d’être jugé lors du procès de Lambaréné. Par un heureux hasard, Aristide Issembé, ambassadeur du Gabon à Washington et à l’ONU, que je connaissais bien, fut nommé procureur et me demanda de lui rédiger l’introduction de son réquisitoire. Espérant pouvoir faire porter la responsabilité

équipée avec un studio de 100 m2 et un laboratoire de développement des films au quartier « Ancien Sobraga » (Photo 3). Des émetteurs plus puissants furent acquis et des stations construites pour une liaison hertzienne entre Libreville, Franceville, Lambaréné et Port-Gentil. En 1974, la télévision couvrait déjà la moitié du territoire national. L’année 1976 verra l’implantation de la télévision en couleur à Libreville et Franceville. Ainsi, en une dizaine d’années, la télévision gabonaise avait réussi

Répartition des réfugiés selon les localités Localités Libreville Franceville Moanda Tchibanga Mouila Effectifs 3885 1795 1630 1459 608 Pourcentages 31,07 19,51 13,04 11,67 04,86 84 Port-Gentil Ndendé Koulamoutou Gamba Mounana Lastourville Lebamba Lambarené Boumango Mayumba Oyem Makokou Bitam Ntoum Mitzic Autres villes et zone rurale Total Source : HCR Gabon, Juillet 2006 Tableau 6 : 383 380 250 223 184 110 76 54 45 40 26 19 8 5 4 1318 12502 03,06 03,04 02,00 01,78 01,47 00,88 00,61 00,43 00,36

difficiles tant avec les autres ethnies qu’avec les autorités françaises. K ZF l Nous avons déjà si nalé l’importance du bassin de l’Ogooué (e fleuve, ses affluents et son embouc ue, ainsi que celle de l ré ion des lacs (région de r) a Lambaréné), dans les migrations historiques. I1 était norma que les circuits intérieurs de l traite empruntent les mêmes itinéraires. a R f I1 est important de rappeler que toutes les tribus “gabonaises”n’ont pas joué le t m ê m e rôle : certaines

joindre les autres pays de la CEMAC. Ces axes routiers sont : o Yaoundé-Brazzaville, long de près 1 631 km et dont l’aménagement en route exige la construction d’environ 12 ponts ; o Libreville-Brazzaville, long d’environ 1 137 km en passant par Lambaréné et Dolisie ; o Brazzaville-Bangui, une combinaison route/fleuve pour assurer la liaison entre les 2 villes. La composante route est évaluée à 410 km, et relie Brazzaville à la ville d'Impfondo. Le transport ferroviaire : le CFCO traverse depuis plusieurs