Lampe

et la langue pointue évoque le cri. Un taureau, insensible à la souffrance, regarde le chaos. En bas, un guerrier décapité et démembré tient encore dans sa main une épée brisée. Un cheval fou de douleur hennit vers le ciel. Une femme tient une lampe à pétrole en un geste qui rappelle la statue de la Liberté et une femme blessée à la jambe rampe vers la lumière symbole de liberté. A droite, un personnage en proie aux flammes hurle. Au deuxième plan, on ne voit qu'un décor de toile de fond: plafonnier

gauche, s'approche de la scène centrale et fixe son regard vers la lampe à pétrole tenu par la femme au dessus d'elle qui tente de faire probablement de fuire ou de faire partir les animaux et puis un deuxième personnage à gauche les bras levés agonisant en brulant dans les flammes. La lumière provient d'une lampe au plafond, celle-ci ressemble à oeil brulant qui représente la supression ou l'autorité(elle ressemble au soleil) et de la lampe à pétrole que tient la femme: la lumière forme une pyramide dont

une épée brisée à la main, le visage tourné vers le haut. Une femme brandit une lampe à pétrole à sa fenêtre, une autre s'enfuit alors qu'au centre, un cheval terrorisé, blessé crie comme presque tous les personnages excepté le taureau et le fantôme. Au 2eme plan, on y voit une architecture intérieure, un oiseau (sûrement une colombe), des portes et des fenêtres. La lumières vient de la lampe en haut, de la lampe à pétrole ainsi que des ouvertures. La composition est double : un axe vertical

enfant et un guerrier) A gauche :une femme hurlant tenant son enfant mort Au sol les restes d’un guerrier(statue ?)(tete et bras démenbrés,main tenant une épée brisée) A droite :une femme dont le visage surgit d’une fenetre et qui tend d’un bras une lampe a huile Une femme en contrebas qui semble (s’élancer, se trainer ?)un genou a terre A l extrémité droite une femme les bras et le visage hurlant tendu vers le ciel en proie aux flammes

la Reine Sofia, à Madrid. Description de l'oeuvre : Au premier plan : Il y a une femme avec un enfant dans ses bras, un taurreau, un homme allongé avec une épée dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s'enfuyant, un personnage en proie aux flammes d'une habitation. Les expressions sont fortes et accentuées par la déformation de l'ensemble des personnages. Au deuxieme plan : Des architectures

(le jambe) déforme de l'autre femme qui rampe (traîne) et torsiona son corps vers la lampe (lampe à pétrole) qu'une autre femme porte. Elle semble être blessée et s'approche du cheval pour se reposer de ses blessures. Le genou se maintient de la main et essaie de freiner inutilement (stopper) une hémorragie. Il(elle) regarde vers la lampe, comme si la lumière était un guide pour échapper. Une femme porte une lampe et illumine la scène. Il(elle) avance avec le regard perdu (il regard perdu). Il est

à éliminer le poil par destruction irréversible de la papille dermique empêchant ainsi sa repousse. II. Les différentes méthodes 1. Les méthodes définitives - Epilation électrique - Epilation au laser - Epilation à la lampe flash 2. Les méthodes progressivement définitives - Epilation à la pince électronique - Méthode pour ralentir la pousse du poil à la sonde, au laser ou aux ultrasons. III. Epilation définitive à l’aiguille ou électrique

Aladin dans le jardin magique, Illustration de Max Liebert (1912) Aladin ou la Lampe merveilleuse1 (titre complet : Histoire d’Aladdin, ou la Lampe merveilleuse) est un conte arabo-perse. Souvent associé au recueil des Mille et Une Nuits, Aladin et la Lampe merveilleuse ne fait cependant pas partie des manuscrits originaux, contrairement à une idée largement répandue2. Il s'agit en réalité d'un ajout tardif, comme pour les histoires de Sinbad le marin et d'Ali Baba et les Quarante voleurs.

blessé : symbole du peuple sacrifié (Républicains) -Une lampe au plafond et une lampe à pétrole : symboles de l'espoir -Une femme s'enfuyant -Un personnage prit dans les flammes -La maison en feu : symbole de la guerre civile Composition de type pyramidale délimitée par la femme s'enfuyant et la main du soldat mort. À la base de la pyramide, il y a la mort représentée par le soldat et au sommet la promesse de revanche représentée par la lampe brandie. C'est un triptyque, c'est-à-dire qu'il est composé

personnages qui composent le tableau sont un taureau, une mère et son enfant, un cheval, un guerrier coupé en deux, une femme transformée en torche, une autre femme qui tend une lampe, une troisième femme au corps allongée et un oiseau. Il y a aussi des objets, une lance dans le corps du cheval, une épée fendue, une lampe à huile, une ampoule électrique, une fleur, une table, une fenêtre et le carrelage.