Langue des signes française

personnes sourdes, sourdes-aveugles avec ou sans handicap associé reconnue d'utilité publique loi 1901 dans laquelle j'ai réalisé mon projet. II. Présentation de la structure Cette association existe depuis 1897. C'est la première association française qui a accueilli, éduqué, accompagné et formé les personnes sourdes, sourds aveugles, avec ou sans handicaps associés. Cette association gère plusieurs

des académies. La généralisation de l’épreuve facultative de langue des signes française (LSF) À compter de la session 2009, cette épreuve est proposée à toutes les séries technologiques (STG, ST2S, STI, STL, TMD et Hôtellerie). À la session 2008 du baccalauréat, les élèves des classes terminales des séries générales et de la série technologique « Hôtellerie » avaient pu, pour la première fois, passer la « Langue des signes française » comme épreuve facultative. Tout candidat (malentendant ou

...................................................................................... 14 Comprendre................................................................................................................................ 23 Disposer d’une langue .............................................................................................................. 26 Devenir bilingue ...................................................................................................................

de ses décisions, ainsi que la gestion du fonds départemental de compensation du handicap. Les chaînes hertziennes devront rendre leurs programmes accessibles aux sourds et aux malentendants dans un délai de 5 ans. La langue des signes française reconnue comme une langue à part entière.

au-dessus d'un océan de bruits qu'elle n'entendait pas, avec la sensation d'être enfermée derrière une énorme porte, qu'elle ne pouvait pas ouvrir pour se faire comprendre des autres." Lorsque Emmanuelle Laborit a sept ans, elle découvre la langue des signes. Le monde s'ouvre enfin. Elle devient une petite fille rieuse et "bavarde". A l'adolescence, pourtant, tout bascule. Aux désarrois de son âge s'ajoute la révolte de voir nier l'identité des sourds. Emmanuelle ne peut plus concilier l'univers

7 + 2 (1) |écrite |4h ou 4h et 1h | | | | |(1) | | Langue vivante 1 (étrangère) |3 |écrite |3 h | | Langue vivante 2 (étrangère ou |3 ou 3 + 2 (1) |orale | 20 ou 30 mn (1) | |régionale) | |

Justifiez en donnant 2 exemples. Elle s’appelle Marie .Elle la considère comme une amie, une confidente, une complice, une alter ego…Elle dit qu’elle l’utilise pour communiquer : c’est elle qui répond au téléphone …elle connaît la langue des signes et la langue orale . 3. Cite 3 étapes fondamentales (écoles, lieux , méthodes) du parcours effectué par d’Emmanuelle dans son ouverture vers le monde de la communication. 1/L’orthophoniste durant sa plus tendre enfance qui l’aide à communiquer

l’intégration de T. enfant sourd, appareillé, en apprentissage de la langue des signes française, entrant au CP en classe ordinaire. Il nous a fallu travailler sur la représentation de la surdité au sein de l’école, aussi bien auprès de l’équipe éducative que les élèves. Pour cela, j’ai mis en place des actions pour comprendre la surdité, connaitre les différents moyens de communication, ainsi que des ateliers de langue des signes. J’ai aussi eu la chance de l’accompagner dans son apprentissage à

ce livre. Mais l’année de ses 7 ans, la Langue des Signes Française, fait alors son apparition, ce qui lui permet derenaître, elle peut dés à présent s’exprimer avec ses mains et elle comprends alors qu’elle existe vraiment. Cette même année, Emmanuelle a une petite sœur, qui au fil des années deviendra saconfidente puisqu’elle lui apprendra la LSF. A l’âge de 11 ans, Emmanuelle rentre au cours Morvan mais il lui est interdit de s’exprimer avec les signes, elle se révolte alors et décide de ne plustravailler

rapport en effet entre une personne née sourde et qui perd la vue (par exemple une personne atteinte du syndrome de Usher) et une personne née entendante et qui perd la vue puis l’audition. La première communiquera essentiellement en LSF (Langue des Signes Française) et la seconde utilisera le canal oral et auditif, même déficient. Les personnes de contact ou les auxiliaires de vie qui accompagneront ces personnes sourdes aveugles auront donc des fonctions différentes selon les individus : adultes