Lanterne Magique

que cette vision des évènements n’est pas nécessairement la bonne. Pour ce qui est des éléments surnaturels et fantastiques présents dans la majorité des nouvelles des deux auteurs, il y a une importante distinction à faire, à savoir le réalisme magique ou merveilleux présent dans les nouvelles de Borges où tous les évènements surnaturels restent vraisemblables pour les personnages. Par exemple, lorsque le temps s’arrête dans Le miracle secret et que le personnage accepte tout simplement cet évènement

organisation au niveau de laccueil 2. Quel est le point fort qui vous a le plus surpris 3. Quel a t pour vous le point faible le plus inattendu 4. Quest-ce qui devrait tre amlior, modifi ou abandonn prioritairement selon vous 5. Si vous aviez une baguette magique, quelle est la chose que vous changeriez dans notre entreprise 6. Quest-ce qui vous a tonn dans la manire dont nous servons nos clients 7. Quelle est la force de nos produits et nos services que vous ne souponniez pas avant de travailler dans notre

personne invisible au cheveux long, habillé tout en blanc, j'ai tout de suite pensais a un fantôme assez étrange par rapport a ce qu'on raconte dans les contes pour enfant. Voilà ce que j'ai vu d'elle. Et là cette personne ma lancé une sorte de potion magique qui c'est installe en moi même et depuis qu'elle ma lancé cette chose, je me sens vraiment folle, j'ai des hallucinations...Je suis allé voir un médecin; il ma conseillait un cachait que je devais prendre a chaque fois que j'avais des hallucinations

d´admiration » (Introduction), se rappelle possiblement d´un autre temps, quand elle était plus jeune et tissait la première fois. En répétant les mêmes mouvements qu´avant, la nostalgie des souvenirs s´allie avec la joie du travail. Comme une formule magique, la protagoniste Barbe répète « Aime joie, aime joie » (l. 9) tout en continuant à travailler. On pourrait donc interpréter le métier de tisser comme symbole de l´esprit de sa jeunesse. Cette chanson énigmatique de Barbe, mystérieuse surtout parce

Effectivement, les adjectifs employés par Simon pour le décrire montrent un frère davantage vulnérable qu’effrayant. Quant à la « formule magique » (l.16) dont Simon fait mention en parlant de la prière du soir, elle est digne d’un conte de fée. À une époque où la religion est encore très présente, comparer le « Notre Père » à une « formule magique » paraît presque insensé, d’autant plus que cela rappelle les histoires entendues enfants telles que « Cendrillon » où marraine la bonne fée

danger du narcissisme et la difficulté de céder sa « place » symbolique à ses enfants. Elle intéragit avec le Miroir, un homme qui évolut autour d'elle sans qu'elle semble le voir. L'intéressant est que tout en discutant, la Reine et le miroir magique font les mêmes gestes en inversé, comme de part et d'autre d'un miroir. Il y a eu un compromis dans la mise en scène entre le choix de ne pas passer par un accessoire et la volonté de maintenir le rôle du miroir en tant qu'acteur à part entière de

une morale ? Nous verrons les caractéristiques de l'apologue avant de dégager la morale de cette histoire. I-Un conte de fée, ses caractéristiques : I1-Le registre merveilleux : Onomastique, noms symbolique. Présence de la magie (miroir magique...), du surnaturel (une bête qui parle) sans que cela étonne les personnages. Donc registre merveilleux + opposition entre la beauté et la bestialité : blâme antithétique. I2- 2 figure en opposition : Un seigneur bestial (« le monstre » proposé

Mais la reine mourut en la mettant au monde. Au bout d'un an, le roi prit une autre femme qui était très belle, mais si fière et si orgueilleuse de sa beauté qu'elle ne pouvait supporter qu'une autre la surpassât. Elle possédait un miroir magique avec lequel elle parlait quand elle allait s'y contempler: Miroir, gentil miroir, dis-moi, dans le royaume Qui est la femme la plus belle ? Et le miroir lui répondait:

contribue au bien-être matériel. C’est ainsi qu’il permet de posséder une voiture, ou encore une maison, de se nourrir, de se vêtir, d’avoir les moyens d’acheter sans compter, de voyager beaucoup, et par là même, être heureux. L'argent est la clé magique qui ouvre toutes les portes. Pour certains, il offre un grand pouvoir de séduction. Il permet à d'autres de se sentir rassurés. Ou bien encore, il incarne un symbole de liberté. Chacun entretient donc avec l'argent une relation particulière et

l’histoire du héros. Le lecteur, pour être charmé, doit entrer dans un monde imaginaire, souvent plus beau que le sien, qui lui changera les idées, chaque conte possède donc une part de « magie » qui va faire voyager le lecteur, par exemple le miroir magique dans Aventure du pèlerin ou encore la fée qui portera bonheur au héros et le protégera (ex : La Belle au Bois Dormant, Barbe Bleu,…) : le lecteur doit retomber en enfance. L’histoire doit forcément « bien finir » pour le héros afin que le lecteur