Lassitude De Verlaine

leur bonheur Et leur chanson se mêle au clair de lune, Au calme clair de lune triste et beau, Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres Et sangloter d’extase les jets d’eau, Les grands jets d’eau sveltes parmi les marbres.  Paul Verlaine, ( 1844-1896) Paul Verlaine est né en 1844 et est mort en 1896. Son poème "Clair de lune" est publié en 1869 , il fait partie du receuil "fêtes galantes . Le poème Clair de lune est très représentatif du symbolisme esthétique.Le paysage est ici le symbole de l'état

 Ils furent des poètes maudits… Le poète Paul Verlaine a écrit une série d’articles sur des poètes qu’il a baptisés « poètes maudits ». Il y nommait Tristan Corbière, Arthur Rimbaud, Stéphane Mallarmé, Marceline Desbordes-Valmore, Auguste de Villiers de L’Isle-Adam et lui-même. Par la suite, la tradition littéraire a ajouté Nerval, Baudelaire et Lautréamont. « Pourquoi ces poètes sont-ils maudits ? Parce qu’ils trouvent leur vie tragique : ils ont vécu une enfance malheureuse, ils manquent

renouvellement fait penser au refrain d’une chanson. Leur composition n’est encore une fois pas choisie au hasard, ce sont des heptasyllabes, vers impairs dont Verlaine avait montré la musicalité. Ces répétitions en guise de refrain rappellent la métaphore filée de la Seine. En effet, cela crée un rythme sinueux qui renforce l’impression de monotonie et de lassitude. Autre forme permettant d’évoquer cette idée, la structure circulaire du texte. En effet, le premier vers du poème « Sous le pont Mirabeau coule la

concerne la pérennité des sentiments, la peine en particulier qui passe et qui demeure entière : c'est très paradoxal. Cela se termine par une interrogation qui rappelle le vers 5 en l'élargissant douloureusement : la vie lourde à porter, une extrême lassitude traduite dans des termes très simples ; les perspectives lointaines lui font peur. II) Le temps 1. Pas de chronologie linéaire dans ce poème Il y a un certain brouillage dans ce poème, pas de points de repères (voir les temps de la première et

amoureuse pour l’aquarelliste Marie Laurencien trouvera écho dans « Le Pont Mirabeau ». Ce poème, avec son vocabulaire simple, ses mots familiers et sa forme incantatoire, se rattache à toute une tradition qui va des vieilles chansons moyenâgeuses à Verlaine. Les amours du poète ne « coulent »  que sous « Le Pont Mirabeau » qui acquiert ainsi une valeur mythique en tant que témoin de ses sentiments amoureux. Éternel « mal- aimé », Apollinaire a connu la mélancolie d’une solitude incomprise et aspiré

« C’est l’extase langoureuse » ouvre le recueil des Romances sans paroles de Verlaine. Le titre de ce recueil paru en 1874 est emprunté à un vers des Fêtes galantes : « Mystiques barcarolles, romances sans paroles ». Ce vers associe les romances aux chansons des bateliers et des gondoliers et s’inspire du titre allemand Lied ohne Worte donné par Mendelssohn à un recueil de pièces brèves pour piano qui répondent à l’idéal vocal du piano romantique. « C’est l’extase langoureuse » est également le premier

s’intercale un refrain. Chaque strophe est composée de trois décasyllabes, le deuxième vers (de quatre syllabes) et le troisième (de six syllabes) constituant ensemble un décasyllabe. Le refrain est un distique de vers de sept syllabes, vers impairs dont Verlaine avait montré la musicalité. Toutes les rimes sont féminines sauf celles des premiers segments des décasyllabes rompus (deuxièmes vers des trophes). La ponctuation est absente : elle a été, comme pour tous les poèmes du recueil ‘’Alcools’’ où il figura

s’intercale un refrain. Chaque strophe est composée de trois décasyllabes, le deuxième vers (de quatre syllabes) et le troisième (de six syllabes) constituant ensemble un décasyllabe. Le refrain est un distique de vers de sept syllabes, vers impairs dont Verlaine avait montré la musicalité. Toutes les rimes sont féminines sauf celles des premiers segments des décasyllabes rompus (deuxièmes vers des trophes). La ponctuation est absente : elle a été, comme pour tous les poèmes du recueil ‘’Alcools’’ où il figura

s’intercale un refrain. Chaque strophe est composée de trois décasyllabes, le deuxième vers (de quatre syllabes) et le troisième (de six syllabes) constituant ensemble un décasyllabe. Le refrain est un distique de vers de sept syllabes, vers impairs dont Verlaine avait montré la musicalité. Toutes les rimes sont féminines sauf celles des premiers segments des décasyllabes rompus (deuxièmes vers des strophes). La ponctuation est absente : elle fut, comme pour tous les poèmes du recueil ‘’Alcools’’ où il figura

....................................4 2) Le symbolisme..................................................................................................5 2.1. Introduction au symbolisme 2.2. Chanson d'automne, Paul Verlaine 2.2.1. Discours d'escorte 2.2.2. Biographie de Paul Verlaine 2.3. Le Pont Mirabeau, Guillaume Apollinaire 2.3.1. Discours d'escorte 2.3.2. Biographie de Guillaume Apollinaire 2.3.3. Analyse de l'œuvre 3) Le surréalisme.........................................................