Laud de Coutances

Fiche Négociation : I : Présentation de la situation 1. Identification de l’entreprise : Agence de Saint Lô 35 rue Torteron, 50000 Saint-Lô Secteur d’activité : Vente/Agence de Voyages 2. Contexte   de la situation : Mardi matin, Mme Lemoigne se trouve à l’agence, Pour la demande d’un voyage au Canaries ou éventuellement La destination Baléares. Elle me donne les informations suivantes Afin de lui trouvée un séjour qui lui correspond : *Un budget de 1200€/ pers. *Départ de Paris ;

Edwin avait été peut-être le pire ennemi de Guillaume. En apparence Guillaume le respecte et l’honore. Au cours de ce couronnement, il faut noter un fait nouveau qui est le cérémonial de l’acclamation. Selon les coutumes normandes, l’évêque de Coutances et l’évêque d’York demandent, l’un en français, l’autre en anglais à ceux qui sont présent s’ils reconnaissent Guillaume comme Roi. C’est un procédé complètement nouveau qui remplace l’élection du roi selon la coutume par l’assemblée par un cérémonial

COQUELOURDE; COUQUELOURDE: julienne (Hesperis matronalis). La véritable coquelourde est l'Agrostemma coronaria. COQUER et non pas CAUCHER: cocher, en parlant du coq ou de toute autre volaille qui féconde sa femelle. COQUÉRAN: hermaphrodite. Coutances. COQUET: cochet, jeune coq. CORBICHÉE: cabriole. CORDER (v. a): cordeler, disposer en corde le bois de chauffage. CORE: encore. Par aphérèse. Voyez ACO. CORÉE: fressure. Du latin præcordia; de l'italien corata. App. au patois Bourguignon. Voyez

du IXème au XIVème siècle", dans Histoire de l'Eglise depuis les origines jusqu'à nos jours, par A. FLICHE et V. MARTIN, t. 14, Paris, 1951. J. FOURNIER, Le Jugement Dernier. Essai d'exégèse d'une oeuvre d'art : le vitrail de la cathédrale de Coutance, Paris, 1964. P. FRANCASTEL, "Suger et les débuts de l'art gothique", Annales E.S.C., 7, 1952, pp. 237-244. J.R. GABOIT, Art gothique, dans Histoire mondiale de la sculpture, Hachette, Paris, 1978. M. de GANDILLAC et E. JEAUNEAU, Entretiens

de la mort prochaine. Une atmosphère de cauchemar s’appesantissait sur sa cour, où bien peu étaient admis : de tous, il se méfiait, il exigeait des garanties, des otages, des serments sur ses reliques préférées, telle que la fameuse croix de Saint-Laud. Il se croyait empoisonné ou lépreux. Deux attaques d’hydropisie, en 1480 et en 1481, avaient définitivement ébranlé sa santé, et il ne cessait de s’enquérir de remèdes, cherchait à se procurer philtres ou reliques, dont, dans sa dévotion superstitieuse

coutelier et Beaumais, mercier, convertirent beaucoup d’hérétiques, par leurs controverses, mais plus encore par leur sainteté, Clément en convertissait en moyenne jusqu’à six par jour. Marie de Valence, Marie des Vallées, surnommée la sainte de Coutances, si intimement liée avec le B. Père Eudes, Marie Rousseau, femme d’un marchand de vin, qui soutint M. Olier dans ses œuvres et que les personnages les plus éminents consultaient, Esprite de Jésus, Madeleine Vigneron, Armelle Nicolas, qui furent favorisées

modus vivendi avec les autres chrétiens, se trouvaient les zélés, les purs. Réunis en bandes obéissant à un chef, ils se mirent à parcourir le pays dans le but, disaient-ils, de faire reconnaître la sainteté de leur foi. Leur cri de ralliement était Laudes Deo (Louanges à Dieu !), et il fut bientôt redouté comme un signal de pillage et de mort. Faisant profession de mépriser les biens de la terre et de vivre dans la continence, ils ne tardèrent pas à ériger la destruction en principe. Ils n’ont du reste