Lawrence Lessig

potentiellement post ACTA, et post SOPA. BIBLIOGRAPHIE Note : Tous les liens présentés dans cette bibliographie étaient accessible au 07 mai 2012 (le site de la commission européenne est régulièrement inaccessible pour des courtes durées). Lawrence LESSIG, Remix: Making Art and Commerce Thrive in the Hybrid Economy, Bloomsbury, Londres, 2008, 352pp. (Le livre étant publié sous licence Creative Commons (BY-NC), il est aussi accessible gratuitement et intégralement en ligne à l’adresse : http://www

l'importance aux enfants ? Il y a deux raisons : premièrement, les enfants qui font partie du monde, sont tout d'abord un groupe de récepteurs de la publicité, et même les plus nombreux. Les enfants passent beaucoup de temps devant l'écran. Selon Lawrence LESSIG, un enfant verrait jusqu'à 390 heures de publicités télévisées par année. Aujourd'hui, avec la télévision, les enfants se trouvent confrontés très tôt au milieu des « grands », avec sa complexité, ses violences, sa sexualité, ses excès. Contrairement

qui peut quant à lui peut être soumis à controverses concernant les copyright bien souvent bafoués. Bref, aujourd'hui, il semble qu'il en soit fini de l'industrie culturelle traitée comme une industrie marchande devant l'apparition de ce que Lawrence Lessig nomme « la culture libre ». Nous sommes désormais dans une ère d'hybridation entre culture et technique et il semble évident que cette évolution va encore s'accélérer dans les prochaines années. Il va donc falloir rester bien attentif à ce que

de Marx telles que la paupérisation de la population et l'écroulement du système capitaliste ne s'étant pas réalisées, cela ne suggère-t-il pas l'oubli de facteurs dans son analyse, comme les notions de culture libre et de biens communs (voir Lawrence Lessig) ? * Marx ne confère-t-il pas une intention collective à une classe bourgeoise moins homogène et soudée qu'il ne le prétend ? (voir cependant l'article Émergence)

L’industrie culturelle est très en lien avec les problématiques que pose la propriété intellectuelle. Toutes les industries qui sont régies par le droit d’auteur (cinéma, musique, radio, télévision) ont résulté d’une certaine forme de piratage (Lessig Lawrence, « Industries de la culture, pirates et « culture libre »). Depuis toujours il est difficile de protéger une œuvre. La crise que connaît actuellement les industries du disques et de la cinématographie en est la preuve et les différentes lois

cyberespace, disait-on, ne peut pas être régulé. Il ne ‘peut pas être gouverné’, il a une habileté innée à résister à la régulation. C’est là sa nature, son essence, c’est ainsi que sont les choses (…). Le cyberespace est un espace de non contrôle », L. LESSIG, Code and other Laws of Cyberespace, New York, Basic Books, 1999, p. 24 . ; Comp. Negroponte (Being Digital, New York, Vintage Books, 1995, p. 237 : “(Le droit est) un poisson mourant sur les quais, parcouru de spasmes, tentant de happer une dernière

Beatles et du Black Album du rappeur Jay-Z), le label musical ayant produit des injonctions « cease and desist » concernant les échantillons non-autorisés des Beatles. Depuis 2001, un mouvement de culture libre - commencé principalement par Lawrence Lessig - a incité de nombreux artistes à publier leur travail audio sous une des licences Creative Commons (les trois licences en question sont : sampling[1], sampling+[2] et NonCommercial Sampling Plus[3]) qui autorisent l'échantillonnage de l'œuvre

ne s’avance pas plus loin (du moins au vu des textes dont nous disposons) dans l’exercice du P2P en « économie réelle ». Il mobilise les écrits de Lawrence Lessig, législateur de la licence GPL (General Public Licence), professeur de l’université de Stanford traitant de cette tragédie des communs que l’on entretien fictivement sur le Net. Lawrence Lessig est par ailleurs un fervent défenseur des Commons (bien commun en français, cf. Philippe Aigrain - Cause commune) et de la neutralité du réseau Internet

Castells (1998; 1999a; 1999b), pour radical que soit le changement, il n’en constitue qu’une nouvelle forme du capitalisme, le capitalisme informationnel. Rheingold (2000), pour sa part, met l’accent sur la créativité et le virtuel; et le juriste Lessig (2004) mène un combat pour la liberté d’accès. Toutefois, au-delà des accents et des différences de ses multiples avatars, le modèle de la société de l’information s’est constitué autour d’un noyau de valeurs qui lui tient tout à la fois de fondement

que cela va apporter à la société, mais aussi et surtout de ce que cela implique. 4. Le pouvoir politique des géants du numérique L'intelligence artificielle devient le pouvoir. La fameuse citation « Code is Law48 » issue de l'article de Lawrence Lessig en janvier 2000 résume bien l'état de ce constat. Ce n'est plus la loi qui dicte les règles mais bien certaines superpuissances de l'internet dont l'influence est mondiale et qui à elle seule peuvent contraindre la loi de certains pays. En