Le Bateau ivre

retenir. 9-10. La voix poétique se réexprime à la première personne avec encore un rythme assez brusqué en début de vers « je partirai ». Le futur simple sert ici à marquer la décision forte du voyageur qui va être renforcé par un appel direct au bateau, comme s'il était animé « Steamer balançant ta mâture, lève l'ancre ». L'impératif marque le désir impérieux du poète de s'en aller pour son voyage initiatique, qui va prendre place vers cette « exotique nature » dont on a déjà mentionné

Cros, André Gill et même quelques jours chez Théodore de Banville[15]. Le 20 octobre de cette année, Rimbaud a tout juste 17 ans. Il a atteint sa maturité poétique comme en témoignent plusieurs chefs-d'œuvre comme Les Premières communions et Le Bateau ivre. En mars 1872, les provocations de Rimbaud excèdent le milieu parisien depuis quelque temps. L'incident Carjat au dîner des Vilains Bonshommes de mars 1872 fut la goutte qui fait déborder le vase. Rimbaud complètement saoul y a blessé le célèbre

Rimbaud, affirmant vouloir rejoindre sa femme et menace de se suicider. Il repart alors en Belgique où Rimbaud le rejoint convaincu que Verlaine n'a pas le courage de mettre fin à ses jours. Rimbaud décide alors d'une rupture définitive mais Verlaine, ivre mort, n'accepte pas cette décision et tire deux coups de feu sur son ami. Il est alors condamné par la justice Belge à deux mois d'incarcération dans la prison de Mons. Rimbaud rejoint sa mère et termine Une Saison en enfer. Il retourne un temps à

« Clown », il évoque le thème de la condition humaine à travers l’image du clown. Afin d’exister il projette de se liberer de tous les carcans qui le maintiennent dans la minorité . Plan : I. Projet de libération -Rapprochement au « bateau ivre » de Rimbaud. -Bateau = liberté, voyage, rêve. -La liberation est présentée comme un projet( verbes au futur (pas d’indications temporelles) -Anaphore (répétition d'un terme en tête de vers qui permet d'insister sur une idée)( Un jour (v.1,2,3). -Sa libération

Clown », il évoque le thème de la condition humaine à travers l’image du clown. Afin d’exister il projette de se liberer de tous les carcans qui le maintiennent dans la minorité . Plan : I. Projet de libération -Rapprochement au « bateau ivre » de Rimbaud. -Bateau = liberté, voyage, rêve. -La liberation est présentée comme un projet verbes au futur (pas d’indications temporelles) -Anaphore (répétition d'un terme en tête de vers qui permet d'insister sur une idée) Un jour (v.1,2,3). -Sa libération

« Clown », il évoque le thème de la condition humaine à travers l’image du clown. Afin d’exister il projette de se libérer de tous les carcans qui le maintiennent dans la minorité. Plan : I. Projet de libération -Rapprochement au « bateau ivre » de Rimbaud. -Bateau = liberté, voyage, rêve. -La libération est présentée comme un projet verbes au futur (pas d’indications temporelles) -Anaphore (répétition d'un terme en tête de vers qui permet d'insister sur une idée) Un jour (v.1, 2,3). -Sa libération

Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. 13 mai et 15 mai 1871 : les lettres du « voyant » Rimbaud exprime clairement sa solidarité avec le mouvement insurrectionnel et y ébauche un "art poétique". Il compose un long poème, Bateau ivre qui décrit de façon symbolique l’expérience dont il rêve. Peu après, Rimbaud écrit son sonnet des Voyelles. Le poète établit un système de correspondance entre les sons et les couleurs. Il nous invite ainsi à le suivre sur la voie mystérieuse des

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cadre réaliste. Le narrateur raconte une histoire insolite qu'il a vécue dans un cadre précis et renvoie à un monde réel. Avec les mots" un soir, …" commence le récit. En revenant d'un dîner avec son ami Louis Bernet, il alla sur le fleuve avec son bateau et jeta son ancre pour profiter de cette belle soirée. Il s'agit de la situation initiale. Tout à coup il voulu retirer son ancre mais quelque chose l'en empêcha. Il s'agit de l'élément perturbateur. Il s'imagine alors toute sorte de choses:

pairs plus âgés, au dîner des « Vilains Bonshommes » le 30 septembre. Il y rencontre une part essentielle des grands poètes de son temps. En octobre 1871, lors du premier dîner des parnassiens, auquel il est convié, il fait la lecture de son Bateau ivre. Le "nourrisson des muses" fascine, enchante et soulève l'enthousiasme de la communauté des poètes parisiens. Pourtant en quelques mois, le jeune poète passe de mode, et devient même la bête noire des artistes de Saint-Germain des Près, lassés