Le Beau Kant L Un Aime Le Son

goût en tant qu’il est un des 5 sens, du goût en esthétique, qui est la faculté universelle du juger du beau –et non la sensibilité particulière d’un individu. Retenez pour le moment que le « goût » esthétique ne se limite pas au sens du goût – un des 5 sens : lorsqu’on dit de quelqu’un qu’il a bon goût ou mauvais goût, on ne dit pas quelque chose de semblable à ce que l’on dit de quelqu’un qui aime ou non les sushis : si vous avez une dissertation sur le goût, ne l’assimilez pas au sens permettant

Dépassement de la Réduction Anthropologique ▪ Bergson : '' religion statique = facteur de cohésion sociale ∟ ≠ dynamique = mystique, transcendant '' ▪ Hegel : H conduit vers des valeurs qui le dépasse (le Beau, le Bien, le Vrai) Le Mystère : une présence vécue dans la foi ▪ Kant : dépassement de la Sensibilité, et de la SCE, on ne peut pas prouver l’E de D, juste l’éprouver ▪ Pascal : '' foi en dieu ≠ démonstration rationnelle (« Croire, c’est parier ») ∟ relève d’une conviction

Wolfgang von Goethe achève le monument de son existence, Faust, et meurt le 22 mars 1832 à l’âge de 83 ans. L’œuvre, son contexte, et sa portée XVIIIème siècle, siècle des Lumières en Europe, époque de Voltaire, de Mozart, de la Pérouse, de Kant et de Napoléon 1er. Effervescence des arts et des sciences. Siècle aussi de mouvements sociaux plus ou moins importants (en France les changements sociaux mèneront à la Révolution Française). En Allemagne, c’est le temps du Sturm und Drang (en français

organes. On peut reconnaître Maupassant lui-même dans les traits de ce personnage. Maupassant n’a pas cessé de chercher une vie pourvoyeuse de « plaisir sauvage », c'est-à-dire les plus immédiats. Dans une lettre adressée à Mme Strauss où il dit qu’il aime « ces joies de brutes lâchées qui sent et ne pense pas, qui voit sans regarder, qui boit des impressions de l’air et de la lumière ». A cela se mêle la revendication d’une forme hyperesthésie que Maupassant définit comme ça : « il faut sentir, tout

celui-ci va finalement être bénéfique à tous en faisant avancer et progresser l’histoire. C’est donc pour cela que l’on ne reconnaît un Grand Homme qu’après coup, car il est souvent peu aimé, incompris, voir haï par ses contemporains. Ainsi, Napoléon, figure emblématique de l’histoire française, n’était pas aimé par tout le monde, bien qu’il était suivi par la plupart. Socrate était lui aussi un grand Homme, et a contribué au progrès dans l’histoire grâce à son enseignement. Un autre grand homme

les « lumières » selon Kant ? : Dans son œuvre qu’est-ce que les Lumières ?, Kant dit «Les Lumière, c’est la sortie de l’homme de l’état de tutelle dont il est lui-même responsable. » L’homme éclairé est celui qui va agir selon sa raison et non son libre arbitre. L’homme éclairé est majeur, il est capable de réfléchir par luimême. L’homme sous l’état de tutelle est au contraire mineur il dépend d’un autre et n’utilise pas sa raison. 13. La sensibilité pathologique chez Kant : ce qui relève du sentiment

Un ami Les femmes ne recherchent pas le bel homme. Les femmes recherchent l’homme qui a eu de belles femmes. Kundera, Le Livre du rire et de l’oubli Toutes les passions sont des désirs qui vont seulement d’humain à humain et non vers les choses. Kant, Anthropologie au point de vue pragmatique Du fait que nous imaginons qu’un objet semblable à nous […] est […] affecté d’un certain affect, nous sommes par là affectés d’un affect semblable. […] Cette imitation des affects s’appelle pitié quand elle

en revanche, est l’expression d’une nécessité vitale. Parmi ces besoins, les besoins vitaux comme se nourrir et dormir, se distinguent de ceux liés à l’épanouissement individuel des êtres tels que le sont les besoins spirituels et moraux comme être aimé ou être considéré. Concevoir l’art comme un besoin, revient donc à s’interroger s’il est l’expression d’une nécessité. Si l’art ne semble pas être un besoin vital puisqu’il recouvre la notion d’utilité, alors en quels sens peut-on concevoir l’art comme

leur amour propre et cherchent dans la société à satisfaire d'abord leur intérêt propre : "Chacun commença à regarder les autres et à vouloir être regardé lui-même, et l'estime publique eut un prix. Celui qui chantait ou dansait le mieux, le plus beau, le plus éloquent, devint le plus considéré ; et ce fut là le premier pas vers l'inégalité (...) Sitôt que les hommes eurent commencé à s'apprécier mutuellement, et que l'idée de la considération fut formée dans leur esprit, chacun prétendit y avoir

conscience réflexive, conscience positionnelle de soi, se différencie du rapport immédiat de soi à soi qui accompagne ordinairement notre visée des objets. Le sujet se prend lui-même pour objet et se pose des exigences par rapport à la vérité, au bien, au beau. La conscience de soi est donc une connaissance plus ou moins claire que le sujet possède de son « moi ». La conscience que j’ai de moi-même est le regard que j’exerce sur moi-même à travers le « je », c’est lorsque je me rend compte de ma propre existence