Le Bleu du ciel

l’ombrelle de la dame. Le ciel bleu nous laisse penser que c’est en été. La toile de 50 cm de hauteur et de 65 cm de largeur est constituée de trois plans. Le premier avec deux personnes, le deuxième avec deux autres personnes et le troisième plan avec le ciel. Le tout séparé d’une ligne d’horizon représentée ici par les nombreux arbres verts foncés. Claude Monet nous montre à travers cette œuvre qu’il maîtrise parfaitement les couleurs primaires comme le rouge et le bleu mais aussi qu’il obéit à

fr/physique_chimie_college_lycee/quatrieme/optique/synthese_additive.htm On dispose de 3 spots monochromatiques : rouge, vert et bleu. Ces trois couleurs sont appelées, en optique, couleurs primaires (attention, ce ne sont pas les mêmes qu’en peinture !). Quelle est la couleur que l’on obtient quand on superpose ces trois couleurs ? Complétez le tableau suivant : Rouge Vert Bleu Addition : couleur obtenue X X X X X X X X X La combinaison des couleurs issues de plusieurs

il s'arrêta devantMa porte, que j'ouvris d'une façon civile.Les ânes revenaient du marché de la ville,Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.C'était le vieux qui vit dans une niche au basDe la montée, et rêve, attendant, solitaire,Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu.je lui criai : « Venez vous réchauffer un peu.Comment vous nommez-vous ? » Il me dit : « Je me nommeLe pauvre. » Je lui pris la main : « Entrez, brave homme. »Et

un être hagard se serre les tempes à deux mains et crie sous un ciel sanglant. Deux ombres s'éloignent dans le lointain, leurs hauts de formes sur la tête, abandonnant le personnage principal (qui n’est autre que le peintre lui-même) sur le ponton qui surplombe un fjord, avec à droite, un vertigineux précipice. En arrière plan, des montagnes d’un bleu sombre qui, par contraste, se détachent des rouges et jaunes saturés du ciel. Enfin, La barrière et le sol du pont forment des lignes de force

utilisés: peinture à l’huile, à la tempera et au pastel sur du carton. Description de l'oeuvre: «Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait. Tout d'un coup le ciel devint rouge sang. Je m'arrêtais, fatigué, et m'appuyais sur une clôture. Il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville. Mes amis continuèrent, et j'y restais, tremblant d'anxiété. Je sentais un cri infini qui se passait à travers l'univers et déchirait la Nature.» Au premier plan

congères. Quand le ciel est bleu clair et le soleil luit, la neige semble enflammée. Elle éclate de mille feux et même fait mal aux yeux. Quand il gèle, la neige craque sous les pieds. Si on observe un petit flocon de neige, on peut voir que c’est un vrai chef-d’oeuvre, un ouvrage de fée, une dentelle magique. On peut remarquer des pas imprimés sur la neige. Les branches luxueuses des sapins sont couvertes d’un beau manteau blanc. Quand le soleil se couche, les ombres roses, bleues, violettes, cramoisies

une tente (pavillon de ténèbres tendues), à un mouchoir qu’on agite, au ciel (cheveux bleus (…) vous me rendez l’azur du ciel immense et bleu).   Les oxymores et les synesthésies permettent à Baudelaire d’établir des « correspondances » inattendues entre des réalités d’ordre différent : les oxymores « cheveux bleus », « mer d’ébène », « noir océan » suggèrent une correspondance secrète entre le bleu intense (du ciel, de la mer des tropiques) et le noir profond, le noir à reflets bleutés de

de son âme et l’envoûte. Elle apaise les peines et renferme toutes les joies. Cette voix a atteint le cœur sentimental du poète sans le blesser. La voix de ce chat qui apparaît tel un ange apporte à la voix poétique une ivresse de bonheur. L "Ciel Brouillé" Résumé : La voix poétique s’adresse à une femme dont elle subit la séduction. Elle découvre sa terrible froideur telle un climat hivernal. C’est une femme au regard mystérieux dont le poète n’arrive pas à cerner son état d’esprit. C’est

« vert », « roi », « raille » v. 3 ; « croulent », « broie », v. 4-5) reproduisent les sonorités de bombardements, qui se mêlent aux cris des soldats avec l’assonance en « a ». De même, les nombreuses monosyllabe (« siffle tous le jour par l’infini du ciel bleu », ou « vert du roi qui les raille », v. 2-3 ; « en masse dans le feu » v. 4 ; « et fait de cent millier d’hommes un tas », v.6) imitent le rythme saccadé et incessant des coups tirés. Le poète dénonce l’aspect destructeur de la guerre dans une

Lycée Pasteur / TS / DM Exercice n°1 : l'arc-en-ciel Le phénomène de l'arc-en-ciel est basé sur les lois de Descartes régissant les réflexions et réfractions de la lumière. Il n'est visible que lorsqu'un rideau de pluie (naturel ou artificiel) est éclairé et que l'observateur regarde ce rideau en tournant le dos à la source lumineuse. On se reportera à la figure 1 pour localiser les diverses notations de l'exercice. Un rayon lumineux entre en E dans une goutte d'eau sphérique avec une